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  • Nombre de pages272
  • PrésentationBroché
  • FormatPoche
  • Poids0.198 kg
  • Dimensions11,0 cm × 17,5 cm × 1,8 cm
  • ISBN978-2-330-11847-1
  • EAN9782330118471
  • Date de parution06/03/2019
  • CollectionBabel
  • ÉditeurBabel
  • TraducteurMyriam Anderson

Résumé

Un soir, lors d'une conversation mondaine, un inconnu vous propose de profiter de sa chambre d'amis, si un jour vos pas vous entraînent vers chez lui. Et vous voilà dans un avion pour le bout du monde. Pour Elyria, qui plaque tout sans prévenir personne, c'est une tentative d'évasion très directement dirigée contre la réalité. Même si elle sait que, d'après les critères en vigueur, elle peut cocher toutes les lignes de la check-list - mari, travail, appartement, mère indigne - et s'estimer heureuse, fermer les yeux sur la médiocrité des choses est au-dessus de ses forces.
Ainsi, regard écarquillé et logique extrêmement personnelle en bandoulière, la jeune New-Yorkaise atterrit à Wellington, Nouvelle-Zélande, pour rejoindre la ferme isolée où se trouve ladite chambre d'amis, à l'autre bout de l'île du Sud... Sur la douloureuse déception d'être soi et la séduction du précipice, le premier roman de Catherine Lacey fait retentir une voix inoubliable, d'une originalité radicale et d'une drôlerie inespérée.
Un soir, lors d'une conversation mondaine, un inconnu vous propose de profiter de sa chambre d'amis, si un jour vos pas vous entraînent vers chez lui. Et vous voilà dans un avion pour le bout du monde. Pour Elyria, qui plaque tout sans prévenir personne, c'est une tentative d'évasion très directement dirigée contre la réalité. Même si elle sait que, d'après les critères en vigueur, elle peut cocher toutes les lignes de la check-list - mari, travail, appartement, mère indigne - et s'estimer heureuse, fermer les yeux sur la médiocrité des choses est au-dessus de ses forces.
Ainsi, regard écarquillé et logique extrêmement personnelle en bandoulière, la jeune New-Yorkaise atterrit à Wellington, Nouvelle-Zélande, pour rejoindre la ferme isolée où se trouve ladite chambre d'amis, à l'autre bout de l'île du Sud... Sur la douloureuse déception d'être soi et la séduction du précipice, le premier roman de Catherine Lacey fait retentir une voix inoubliable, d'une originalité radicale et d'une drôlerie inespérée.

Avis libraires
Commentaires laissés par les libraires

1 Coup de cœur
de nos libraires
Mathilde Le GuayDecitre Part-Dieu
4/5
Où il est démontré que l'homme (une femme en l'occurrence) peut errer...
Si c'est pour de bonnes raisons. Le personnage principal de ce livre est peut etre bien le libre-arbitre, dont la présomption est démasquée au bout des 50 premières pages (ne pas décrocher..) pour laisser libre court à une question en forme de road movie : quelle version de moi..? L'art de la concentration, de la danse, de la fiction à articuler en ligne de mire de cette nouvelle langue qu'apprend l'héroine narratrice (la liberté?) tout au long du roman, sont à rapprocher d'une éthique de l'aventure allergique au grégarisme, aux garçons de café sartriens : une exigence de sens palpable au bout de cette plume p65 par exemple qui fait qu'avec une apparente (fausse) désinvolture, les maladresses stylistiques sont un alibi pour dire plus avec moins (car, au passage, la vérité de soi est multidimensionnelle ou n'est rien-toujours p65 ; oui, ce n'est qu'UN exemple..)... J'ai notamment retenu un axiome : quantité de patience=temps qu'une personne peut passer à attendre gaiement. Ce roman est une mine d'or à laquelle on se rend en auto-stop...Une égofiction métaphysique audacieuse et infiniment sensible à ne surtout pas manquer : l'accueil aveugle et sourd du public français fait à ce livre est une magistrale injustice, une faute impardonnable...
Si c'est pour de bonnes raisons. Le personnage principal de ce livre est peut etre bien le libre-arbitre, dont la présomption est démasquée au bout des 50 premières pages (ne pas décrocher..) pour laisser libre court à une question en forme de road movie : quelle version de moi..? L'art de la concentration, de la danse, de la fiction à articuler en ligne de mire de cette nouvelle langue qu'apprend l'héroine narratrice (la liberté?) tout au long du roman, sont à rapprocher d'une éthique de l'aventure allergique au grégarisme, aux garçons de café sartriens : une exigence de sens palpable au bout de cette plume p65 par exemple qui fait qu'avec une apparente (fausse) désinvolture, les maladresses stylistiques sont un alibi pour dire plus avec moins (car, au passage, la vérité de soi est multidimensionnelle ou n'est rien-toujours p65 ; oui, ce n'est qu'UN exemple..)... J'ai notamment retenu un axiome : quantité de patience=temps qu'une personne peut passer à attendre gaiement. Ce roman est une mine d'or à laquelle on se rend en auto-stop...Une égofiction métaphysique audacieuse et infiniment sensible à ne surtout pas manquer : l'accueil aveugle et sourd du public français fait à ce livre est une magistrale injustice, une faute impardonnable...
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