Permanence d'André Gide. Ecriture, Littérature, Culture
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- Nombre de pages291
- PrésentationBroché
- Poids0.43 kg
- Dimensions13,5 cm × 21,0 cm × 1,5 cm
- ISBN978-2-296-02872-2
- EAN9782296028722
- Date de parution01/02/2007
- CollectionCritiques littéraires
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Salué à ses débuts par Mallarmé et dans sa vieillesse par Jean-Paul Sartre, André Gide (1869-1951) a longtemps été un clandestin des lettres françaises. On comprend que le lecteur contemporain ait été un peu perdu devant une oeuvre protéiforme, difficile à saisir, s'écartant des genres traditionnels et qui, au travers d'une exploration formelle, s'attaqua à bien des tabous. Or, Gide n'a pas simplement cherché à écrire des livres.
Il a mis sa vie entière au service d'une oeuvre qui se devait de refléter les questions morales d'une société, mais aussi de les critiquer. Auteur engagé avant la lettre, sa morale est contenue dans l'art, dans l'oeuvre d'art. Une phrase incorrecte le faisait sursauter. Vieil homme, il n'avait pas peur de mourir, mais d'écrire des phrases grammaticalement incorrectes. Jeune homme, il avait fait sien le mot des Ecritures : " C'est à ses fruits que l'on reconnaîtra l'arbre.
" Dans une approche ternaire (Ecriture - Littérature - Culture), les neuf études ici réunies essaient de déterminer pourquoi ses fruits restent si savoureux, l'arbre si verdoyant.
Il a mis sa vie entière au service d'une oeuvre qui se devait de refléter les questions morales d'une société, mais aussi de les critiquer. Auteur engagé avant la lettre, sa morale est contenue dans l'art, dans l'oeuvre d'art. Une phrase incorrecte le faisait sursauter. Vieil homme, il n'avait pas peur de mourir, mais d'écrire des phrases grammaticalement incorrectes. Jeune homme, il avait fait sien le mot des Ecritures : " C'est à ses fruits que l'on reconnaîtra l'arbre.
" Dans une approche ternaire (Ecriture - Littérature - Culture), les neuf études ici réunies essaient de déterminer pourquoi ses fruits restent si savoureux, l'arbre si verdoyant.
Salué à ses débuts par Mallarmé et dans sa vieillesse par Jean-Paul Sartre, André Gide (1869-1951) a longtemps été un clandestin des lettres françaises. On comprend que le lecteur contemporain ait été un peu perdu devant une oeuvre protéiforme, difficile à saisir, s'écartant des genres traditionnels et qui, au travers d'une exploration formelle, s'attaqua à bien des tabous. Or, Gide n'a pas simplement cherché à écrire des livres.
Il a mis sa vie entière au service d'une oeuvre qui se devait de refléter les questions morales d'une société, mais aussi de les critiquer. Auteur engagé avant la lettre, sa morale est contenue dans l'art, dans l'oeuvre d'art. Une phrase incorrecte le faisait sursauter. Vieil homme, il n'avait pas peur de mourir, mais d'écrire des phrases grammaticalement incorrectes. Jeune homme, il avait fait sien le mot des Ecritures : " C'est à ses fruits que l'on reconnaîtra l'arbre.
" Dans une approche ternaire (Ecriture - Littérature - Culture), les neuf études ici réunies essaient de déterminer pourquoi ses fruits restent si savoureux, l'arbre si verdoyant.
Il a mis sa vie entière au service d'une oeuvre qui se devait de refléter les questions morales d'une société, mais aussi de les critiquer. Auteur engagé avant la lettre, sa morale est contenue dans l'art, dans l'oeuvre d'art. Une phrase incorrecte le faisait sursauter. Vieil homme, il n'avait pas peur de mourir, mais d'écrire des phrases grammaticalement incorrectes. Jeune homme, il avait fait sien le mot des Ecritures : " C'est à ses fruits que l'on reconnaîtra l'arbre.
" Dans une approche ternaire (Ecriture - Littérature - Culture), les neuf études ici réunies essaient de déterminer pourquoi ses fruits restent si savoureux, l'arbre si verdoyant.