Correspondance avec André Gide et les siens. 1899-1926
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- Nombre de pages463
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.44 kg
- Dimensions14,0 cm × 20,4 cm × 3,0 cm
- ISBN978-2-07-310646-9
- EAN9782073106469
- Date de parution29/05/2025
- CollectionLes cahiers de la NRF
- ÉditeurGallimard
- Directeur de publicationPierre Masson
- Directeur de publicationPeter Schnyder
Résumé
L'histoire de l'amitié qui a uni André Gide et le peintre belge néo-impressionniste Théo Van Rysselberghe ne peut se raconter sans qu'on évoque la femme de ce dernier, Maria Van Rysselberghe. C'est par le charme de ce couple que Gide a été conquis. Si Maria a acquis auprès de l'écrivain une place privilégiée, c'est bien Théo, par son talent et son esprit d'ouverture à l'égard des autres créateurs, qui a constitué pour Gide un passeur idéal vers le monde de l'art : le peintre n'a-t-il pas reconnu en lui une figure tutélaire du monde littéraire et artistique, en le plaçant dès 1903 au centre de son grand tableau-manifeste Une lecture ? Cette correspondance, témoignage d'une intimité, renforcée par la proximité entre Gide et Elisabeth Van Rysselberghe - la fille de Théo -, qui devait finalement provoquer la rupture entre les deux hommes, rend compte de leurs réflexions sur l'oeuvre à accomplir selon l'idéal propre à "l'esprit NRF" : la recherche patiente de la qualité, sans compromis ni compromissions.
L'histoire de l'amitié qui a uni André Gide et le peintre belge néo-impressionniste Théo Van Rysselberghe ne peut se raconter sans qu'on évoque la femme de ce dernier, Maria Van Rysselberghe. C'est par le charme de ce couple que Gide a été conquis. Si Maria a acquis auprès de l'écrivain une place privilégiée, c'est bien Théo, par son talent et son esprit d'ouverture à l'égard des autres créateurs, qui a constitué pour Gide un passeur idéal vers le monde de l'art : le peintre n'a-t-il pas reconnu en lui une figure tutélaire du monde littéraire et artistique, en le plaçant dès 1903 au centre de son grand tableau-manifeste Une lecture ? Cette correspondance, témoignage d'une intimité, renforcée par la proximité entre Gide et Elisabeth Van Rysselberghe - la fille de Théo -, qui devait finalement provoquer la rupture entre les deux hommes, rend compte de leurs réflexions sur l'oeuvre à accomplir selon l'idéal propre à "l'esprit NRF" : la recherche patiente de la qualité, sans compromis ni compromissions.