Il y avait si longtemps que je n’avais pas lu d’aphorismes aussi drôles (légers sans être futiles), pertinents, éloquents !
J’avais fini pas croire que le secret s’en était perdu.
Abel Castel a le sens de la formule, l’art de dire beaucoup en quelques mots bien choisis :
« Je voulais collectionner les dames : je collectionne les échecs. »
« Elle m’a ouvert son cœur fébrilement, précipitamment, sans même prendre le temps de dégrafer son corsage. »
« Prenez garde, douces dames, à ne pas confondre le bellâtre avec l’homme au foyer. »
« Paradis : si beau qu’on n’en revient pas. »
Un humour pour gourmets, à savourer.
Il y avait si longtemps que je n’avais pas lu d’aphorismes aussi drôles (légers sans être futiles), pertinents, éloquents !
J’avais fini pas croire que le secret s’en était perdu.
Abel Castel a le sens de la formule, l’art de dire beaucoup en quelques mots bien choisis :
« Je voulais collectionner les dames : je collectionne les échecs. »
« Elle m’a ouvert son cœur fébrilement, précipitamment, sans même prendre le temps de dégrafer son corsage. »
« Prenez garde, douces dames, à ne pas confondre le bellâtre avec l’homme au foyer. »
« Paradis : si beau qu’on n’en revient pas. »
Un humour pour gourmets, à savourer.