Pendant Smara, l'acteur géographique. Suivi de Pissarro & Co
Par :Formats :
Disponible d'occasion :
- Paiement en ligne :
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
- Retrait Click and Collect en magasin gratuit
- Nombre de pages142
- PrésentationBroché
- Poids0.13 kg
- Dimensions12,0 cm × 17,0 cm × 0,8 cm
- ISBN978-2-84761-737-5
- EAN9782847617375
- Date de parution13/11/2015
- ÉditeurAl Dante (Editions)
Résumé
L'acteur géographique (le narrateur) de Pendant Smara construit, sous la forme d'un journal, un espace à la fois physique et mental. Progression difficile, interminable, crevassée çà et là par des flashes prenant la forme de bribes d'observations, d'annotations, de locutions banales, de réflexions sociologiques, économiques, etc. Mais si un basculement s'opère au moment où Smara, ville fantôme réelle ou illusoire apparaît, alors tous ces discours, qui tentent chacun à sa façon de réinventer une réalité toujours chaotique, peuvent s'affirmer – tandis que l'acteur géographique s'épuise, se détraque.
S'interrogeant sur l'hétérogénéité constitutive de la langue, Jacques Sivan continue à explorer ici ses potentialités visuelles et phonétiques en l'envisageant sous l'angle de la réévaluation et de la reconstruction perpétuelle d'un sujet forcément contextuel, qu'il qualifie de « motléculaire ». Son écriture performative et visuelle, désafublée de toute contrainte stylistique, s'inscrit dans la continuité des recherches poétiques formelles issues des avant-gardes.
S'interrogeant sur l'hétérogénéité constitutive de la langue, Jacques Sivan continue à explorer ici ses potentialités visuelles et phonétiques en l'envisageant sous l'angle de la réévaluation et de la reconstruction perpétuelle d'un sujet forcément contextuel, qu'il qualifie de « motléculaire ». Son écriture performative et visuelle, désafublée de toute contrainte stylistique, s'inscrit dans la continuité des recherches poétiques formelles issues des avant-gardes.
L'acteur géographique (le narrateur) de Pendant Smara construit, sous la forme d'un journal, un espace à la fois physique et mental. Progression difficile, interminable, crevassée çà et là par des flashes prenant la forme de bribes d'observations, d'annotations, de locutions banales, de réflexions sociologiques, économiques, etc. Mais si un basculement s'opère au moment où Smara, ville fantôme réelle ou illusoire apparaît, alors tous ces discours, qui tentent chacun à sa façon de réinventer une réalité toujours chaotique, peuvent s'affirmer – tandis que l'acteur géographique s'épuise, se détraque.
S'interrogeant sur l'hétérogénéité constitutive de la langue, Jacques Sivan continue à explorer ici ses potentialités visuelles et phonétiques en l'envisageant sous l'angle de la réévaluation et de la reconstruction perpétuelle d'un sujet forcément contextuel, qu'il qualifie de « motléculaire ». Son écriture performative et visuelle, désafublée de toute contrainte stylistique, s'inscrit dans la continuité des recherches poétiques formelles issues des avant-gardes.
S'interrogeant sur l'hétérogénéité constitutive de la langue, Jacques Sivan continue à explorer ici ses potentialités visuelles et phonétiques en l'envisageant sous l'angle de la réévaluation et de la reconstruction perpétuelle d'un sujet forcément contextuel, qu'il qualifie de « motléculaire ». Son écriture performative et visuelle, désafublée de toute contrainte stylistique, s'inscrit dans la continuité des recherches poétiques formelles issues des avant-gardes.