Peinture froide prend feu
1e édition
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- Nombre de pages160
- PrésentationBroché
- Poids0.744 kg
- Dimensions20,1 cm × 28,0 cm × 1,8 cm
- ISBN978-2-900840-12-2
- EAN9782900840122
- Date de parution19/11/2021
- ÉditeurIMOGENE
Résumé
Pascale Remita convoque le réel en l'assourdissant. L'étrangeté qui se dégage de sa peinture révèle une grande finesse aux abords opaques et aux contours flous. Les surfaces, les paysages, le vivant y cohabitent pour ne faire parfois plus qu'un. L'oeil tente de s'accrocher pour finalement être emporté. On découvre le travail de Pascale Remita comme on regarde un film de Lynch : on tente de se rassurer en se référant au réel ou on accepte de lâcher prise pour jouir des sensations que la peinture nous offre.
Accepter de se laisser submerger par ces images engourdies, c'est sans nul doute la meilleure façon d'entrer en contact avec ces peintures, ces fusains et ces films qui touchent tantôt à l'informel, à l'évanescent, tantôt à la trivialité et la rugosité d'images trouvées revisitées. "Pascale Rémita peint des choses mouvementées mais arrêtées, tenues en laisse du bout d'un pinceau calme, mais pas si net qu'il n'y paraît.
[... ] Elle décrit le tumulte, la frénésie, les forces (de la nature) mais comme au ralenti". Judicaël Lavrador
Accepter de se laisser submerger par ces images engourdies, c'est sans nul doute la meilleure façon d'entrer en contact avec ces peintures, ces fusains et ces films qui touchent tantôt à l'informel, à l'évanescent, tantôt à la trivialité et la rugosité d'images trouvées revisitées. "Pascale Rémita peint des choses mouvementées mais arrêtées, tenues en laisse du bout d'un pinceau calme, mais pas si net qu'il n'y paraît.
[... ] Elle décrit le tumulte, la frénésie, les forces (de la nature) mais comme au ralenti". Judicaël Lavrador
Pascale Remita convoque le réel en l'assourdissant. L'étrangeté qui se dégage de sa peinture révèle une grande finesse aux abords opaques et aux contours flous. Les surfaces, les paysages, le vivant y cohabitent pour ne faire parfois plus qu'un. L'oeil tente de s'accrocher pour finalement être emporté. On découvre le travail de Pascale Remita comme on regarde un film de Lynch : on tente de se rassurer en se référant au réel ou on accepte de lâcher prise pour jouir des sensations que la peinture nous offre.
Accepter de se laisser submerger par ces images engourdies, c'est sans nul doute la meilleure façon d'entrer en contact avec ces peintures, ces fusains et ces films qui touchent tantôt à l'informel, à l'évanescent, tantôt à la trivialité et la rugosité d'images trouvées revisitées. "Pascale Rémita peint des choses mouvementées mais arrêtées, tenues en laisse du bout d'un pinceau calme, mais pas si net qu'il n'y paraît.
[... ] Elle décrit le tumulte, la frénésie, les forces (de la nature) mais comme au ralenti". Judicaël Lavrador
Accepter de se laisser submerger par ces images engourdies, c'est sans nul doute la meilleure façon d'entrer en contact avec ces peintures, ces fusains et ces films qui touchent tantôt à l'informel, à l'évanescent, tantôt à la trivialité et la rugosité d'images trouvées revisitées. "Pascale Rémita peint des choses mouvementées mais arrêtées, tenues en laisse du bout d'un pinceau calme, mais pas si net qu'il n'y paraît.
[... ] Elle décrit le tumulte, la frénésie, les forces (de la nature) mais comme au ralenti". Judicaël Lavrador