Partenariats entre les multinationales et l'Etat. L'exemple de la RD Congo

Par : Jean-Pierre Lotoy Ilango-Banga

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  • Nombre de pages265
  • PrésentationBroché
  • Poids0.375 kg
  • Dimensions15,5 cm × 24,0 cm × 1,5 cm
  • ISBN978-2-296-96208-8
  • EAN9782296962088
  • Date de parution01/03/2012
  • CollectionGéopolitique mondiale
  • ÉditeurL'Harmattan
  • PréfacierEugène Banyaku Luape Epotu

Résumé

En République Démocratique du Congo comme dans d'autres pays en voie de développement, le sous-développement et la pauvreté sont un mal absolu contre lequel luttent les pouvoirs publics avec des fortunes diverses. Pour vaincre ce mal, la création des richesses s'impose. Et pour créer les richesses, la mobilisation des facteurs de production (capital, technologie, travail) est vitale. Or, cette mobilisation est en perdition en RDC, à cause d'une rationalité douteuse de l'action publique, l'attrait à l'enrichissement sans cause, la fragmentation des politiques publiques, la lourdeur des procédures ou formalités administratives, l'impunité, etc.
Dès lors, l'Etat congolais est moins attractif pour drainer des capitaux productifs dont les multinationales sont pourvoyeuses. Pour briser ce cercle vicieux, un partenariat secteur public/secteur privé s'impose comme variable dépendante d'une intelligence sociale et d'une action publique rénovées (inculturation du développement). Et ce, à condition de faire émerger en RDC un Etat de droit, à la fois Etat stratège, Etat intelligent et Etat manager, pour lequel le partenariat public/privé est un outil au service de création et de redistribution des richesses, au mieux des intérêts de toutes les parties prenantes.
En République Démocratique du Congo comme dans d'autres pays en voie de développement, le sous-développement et la pauvreté sont un mal absolu contre lequel luttent les pouvoirs publics avec des fortunes diverses. Pour vaincre ce mal, la création des richesses s'impose. Et pour créer les richesses, la mobilisation des facteurs de production (capital, technologie, travail) est vitale. Or, cette mobilisation est en perdition en RDC, à cause d'une rationalité douteuse de l'action publique, l'attrait à l'enrichissement sans cause, la fragmentation des politiques publiques, la lourdeur des procédures ou formalités administratives, l'impunité, etc.
Dès lors, l'Etat congolais est moins attractif pour drainer des capitaux productifs dont les multinationales sont pourvoyeuses. Pour briser ce cercle vicieux, un partenariat secteur public/secteur privé s'impose comme variable dépendante d'une intelligence sociale et d'une action publique rénovées (inculturation du développement). Et ce, à condition de faire émerger en RDC un Etat de droit, à la fois Etat stratège, Etat intelligent et Etat manager, pour lequel le partenariat public/privé est un outil au service de création et de redistribution des richesses, au mieux des intérêts de toutes les parties prenantes.