Prix La Plume du Paon des lycéens

Parle-leur de batailles, de rois et d'éléphants
Edition de luxe - Occasion

Par : Mathias Enard
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  • Nombre de pages169
  • PrésentationBroché
  • FormatPoche
  • Poids0.14 kg
  • Dimensions11,0 cm × 17,5 cm × 1,1 cm
  • ISBN978-2-330-03742-0
  • EAN9782330037420
  • Date de parution05/11/2014
  • CollectionBabel
  • ÉditeurActes Sud

Résumé

13 mai 1506, un certain Michelangelo Buonarotti débarque à Constantinople à l'invitation du Sultan qui veut lui confier la conception d'un pont sur la Corne d'Or. Urgence de la commande, tourbillon des rencontres, séductions et dangers de l'étrangeté byzantine, Michel Ange, l'homme de la Renaissance, esquisse avec l'Orient un sublime rendez-vous manqué, couronné par le prix Goncourt des lycéens 2010 et le prix du livre en Poitou-Charentes 2011.
13 mai 1506, un certain Michelangelo Buonarotti débarque à Constantinople à l'invitation du Sultan qui veut lui confier la conception d'un pont sur la Corne d'Or. Urgence de la commande, tourbillon des rencontres, séductions et dangers de l'étrangeté byzantine, Michel Ange, l'homme de la Renaissance, esquisse avec l'Orient un sublime rendez-vous manqué, couronné par le prix Goncourt des lycéens 2010 et le prix du livre en Poitou-Charentes 2011.

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2 Coups de cœur
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 Voici une page d'Histoire étrange et peu connue: le voyage de Michel-Ange à Constantinople pour la construction d'un pont. La découverte de coutumes différentes, le pape à ses trousses pour des travaux non terminés dans la chapelle Sixtine, tout n'est que bouleversement pour cet artiste au talent extraordinaire. Superbement écrit, soigné et original.
 Voici une page d'Histoire étrange et peu connue: le voyage de Michel-Ange à Constantinople pour la construction d'un pont. La découverte de coutumes différentes, le pape à ses trousses pour des travaux non terminés dans la chapelle Sixtine, tout n'est que bouleversement pour cet artiste au talent extraordinaire. Superbement écrit, soigné et original.
Michel Ange à Constantinople !?
Un livre surprenant qui dévoile une œuvre inconnue (voir inédite) de Michel Ange qui eut pour projet en son temps semble-t-il de construire un pont à Constantinople. C'est aussi la découverte de l'Orient pour cet Italien et artiste qui fuit un Pape mauvais payeur... Sera-t-il mieux rétribué et plus considéré pour son art ? Pas si sûr, mais son dessin aura le temps de saisir quelques aspects d'un monde qui le fascine et lui échappe en compagnie d'un poète, génie du lieu, fraternel et corrompu par la ville... Un scénario surprenant et une belle découverte dans cette rentrée littéraire... Un pont imaginaire entre deux cultures.
Un livre surprenant qui dévoile une œuvre inconnue (voir inédite) de Michel Ange qui eut pour projet en son temps semble-t-il de construire un pont à Constantinople. C'est aussi la découverte de l'Orient pour cet Italien et artiste qui fuit un Pape mauvais payeur... Sera-t-il mieux rétribué et plus considéré pour son art ? Pas si sûr, mais son dessin aura le temps de saisir quelques aspects d'un monde qui le fascine et lui échappe en compagnie d'un poète, génie du lieu, fraternel et corrompu par la ville... Un scénario surprenant et une belle découverte dans cette rentrée littéraire... Un pont imaginaire entre deux cultures.
  • Inattendu
  • Passionnant
  • XVIe siècle
  • Constantinople
  • roman
  • littérature française
  • art
  • michel ange
  • pape

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3.7/5
sur 35 notes dont 10 avis lecteurs
4/5
parles leur de batailles, de rois et d'éléphants
lien vers ma chronique: http://www.lesmiscellaneesdepapier.com/parle-leur-de-batailles-de-rois-et-delephants-de-mathias-enard/ Résumé : Michel-Ange déçu par le comportement peu fiable du Pape Jules II quitte l’Italie pour rejoindre la capitale Byzantine. Le sultan lui passe commande d’un pont pour traverser le Bosphore. Le mot de la fin : On peut douter de la véracité historique, même si, l’orient et l’occident opèrent un magnifique syncrétisme chez le maître italien qui lui donne de la crédibilité. L’histoire elle est totalement prenante, le style est fluide et poétique, pour ce roman qui tient du conte. Je suis conquise par Mathias Enard.
lien vers ma chronique: http://www.lesmiscellaneesdepapier.com/parle-leur-de-batailles-de-rois-et-delephants-de-mathias-enard/ Résumé : Michel-Ange déçu par le comportement peu fiable du Pape Jules II quitte l’Italie pour rejoindre la capitale Byzantine. Le sultan lui passe commande d’un pont pour traverser le Bosphore. Le mot de la fin : On peut douter de la véracité historique, même si, l’orient et l’occident opèrent un magnifique syncrétisme chez le maître italien qui lui donne de la crédibilité. L’histoire elle est totalement prenante, le style est fluide et poétique, pour ce roman qui tient du conte. Je suis conquise par Mathias Enard.
3/5
Parle-leur de batailles, de rois et d'éléphants
Ciselé comme un joyau d'orfèvrerie, l'écriture de Mathias Enard nous entraine dans les confins de l'orient à la rencontre d'êtres évanescents et mystérieux. Un voyage initiatique, entre conte et réalité, qui nous mène en quête de sens, à la recherche de l'art, de la beauté et de l'acte de créer. Une chronique de l'histoire romancée qui nous entraine à la découverte de l'homme qu'aurait pu être Michel-Ange. Un être nuancé, fait de désirs et de travail, d'obsessions et de pensées créatives. Un joli récit, à l'ambiance chaude et lourde et aux lumières contrastées, qui nous pousse, par son écriture lumineuse, à la réflexion sur l'acte de créer et parvient, même s'il aurait pu mener ses personnages plus loin, à nous faire voyager dans l'espace et dans le temps. http://art-enciel.over-blog.com/2014/07/parle-leur-de-batailles-de-rois-et-d-elephants-de-mathias-enard.html
Ciselé comme un joyau d'orfèvrerie, l'écriture de Mathias Enard nous entraine dans les confins de l'orient à la rencontre d'êtres évanescents et mystérieux. Un voyage initiatique, entre conte et réalité, qui nous mène en quête de sens, à la recherche de l'art, de la beauté et de l'acte de créer. Une chronique de l'histoire romancée qui nous entraine à la découverte de l'homme qu'aurait pu être Michel-Ange. Un être nuancé, fait de désirs et de travail, d'obsessions et de pensées créatives. Un joli récit, à l'ambiance chaude et lourde et aux lumières contrastées, qui nous pousse, par son écriture lumineuse, à la réflexion sur l'acte de créer et parvient, même s'il aurait pu mener ses personnages plus loin, à nous faire voyager dans l'espace et dans le temps. http://art-enciel.over-blog.com/2014/07/parle-leur-de-batailles-de-rois-et-d-elephants-de-mathias-enard.html
Sur la rive du Bosphore
Michel-Ange, dans une période où il a quelques problèmes à Rome avec le pape Jules II, décide de répondre à la demande du sultan Bayzid et de se rendre à Constantinople pour réaliser un pont qui traversera la Corne d’Or. A son arrivée, il passe plusieurs jours, un peu désorienté, à attendre que le sultan veuille bien le recevoir et lui expliquer son projet. Il dessine, écrit des listes, s’imprègne de la ville en compagnie du poète Mesihi. Je me rends compte que je vais avoir un peu du mal à raconter l’histoire, qui est distillée dans le livre par petites touches, tantôt suivant Michelangelo, tantôt s’exprimant par la voix d’une danseuse, à moins que ce ne soit un danseur, personnage équivoque qui a ébloui le sculpteur florentin. C’est plus un roman de sensations, de couleurs, de bruits, d’odeurs (on n’ose pas penser à celle de Michel-Ange qui ne se lavait jamais), de frôlements, d’ombre et de lumière… Les chapitres courts créent la ville, à laquelle l’artiste semble toujours rester un peu extérieur, sans s’investir à fond dans le projet, ayant envie de repartir à peine arrivé. Il se montre un peu fragile, assez inconsistant, et n’est que très rarement montré dans son acte de création, ce qui m’a un peu manqué. Le thème de l’art dans le roman m’intéresse en ce moment, et c’est encore une vision différente de l’artiste que nous offre Mathias Enard, il en saisit la solitude, les tourments qui le paralysent presque, l’inadéquation à la vie orientale, qui le repousse en même temps qu’elle l’attire. Un beau roman sur un épisode peu connu de la vie d’un artiste, un style à découvrir, même si je suis restée un peu en attente, un peu sur la rive…
Michel-Ange, dans une période où il a quelques problèmes à Rome avec le pape Jules II, décide de répondre à la demande du sultan Bayzid et de se rendre à Constantinople pour réaliser un pont qui traversera la Corne d’Or. A son arrivée, il passe plusieurs jours, un peu désorienté, à attendre que le sultan veuille bien le recevoir et lui expliquer son projet. Il dessine, écrit des listes, s’imprègne de la ville en compagnie du poète Mesihi. Je me rends compte que je vais avoir un peu du mal à raconter l’histoire, qui est distillée dans le livre par petites touches, tantôt suivant Michelangelo, tantôt s’exprimant par la voix d’une danseuse, à moins que ce ne soit un danseur, personnage équivoque qui a ébloui le sculpteur florentin. C’est plus un roman de sensations, de couleurs, de bruits, d’odeurs (on n’ose pas penser à celle de Michel-Ange qui ne se lavait jamais), de frôlements, d’ombre et de lumière… Les chapitres courts créent la ville, à laquelle l’artiste semble toujours rester un peu extérieur, sans s’investir à fond dans le projet, ayant envie de repartir à peine arrivé. Il se montre un peu fragile, assez inconsistant, et n’est que très rarement montré dans son acte de création, ce qui m’a un peu manqué. Le thème de l’art dans le roman m’intéresse en ce moment, et c’est encore une vision différente de l’artiste que nous offre Mathias Enard, il en saisit la solitude, les tourments qui le paralysent presque, l’inadéquation à la vie orientale, qui le repousse en même temps qu’elle l’attire. Un beau roman sur un épisode peu connu de la vie d’un artiste, un style à découvrir, même si je suis restée un peu en attente, un peu sur la rive…
Mathias Enard
Né le 11 janvier 1972 à Niort, Mathias Enard est passionné par les civilisations du Moyen-Orient. Il a notamment étudié le persan et enseigne l'arabe à Barcelone où il réside depuis les années 2000. Parallèlement à son activité de traducteur, il écrit des romans, presque tous publiés par Actes Sud : "La perfection du tir" (2003), "Remonter l'Orénoque" (2005), "Bréviaire des artificiers" (2007), et "Zone" (2008) ; ce volume de 500 pages écrites d'un seul souffle a été repéré par la critique et a reçu le Prix Décembre en 2008 et le Prix du Livre Inter en 2009. Depuis sont parus "Parle-leur de batailles, de rois et d'éléphants" (2010), roman sur la tolérance dans la Constantinople du seizième siècle, récompensé par le Prix Goncourt des lycéens, et "L'alcool et la nostalgie" (2011), qui nous invite à revisiter l'histoire contemporaine russe.
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