Paris-Orphée. Carnet d'un poète américain à Paris
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- Nombre de pages176
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.222 kg
- Dimensions13,5 cm × 20,5 cm × 1,2 cm
- ISBN978-2-35873-122-5
- EAN9782358731225
- Date de parution16/06/2018
- ÉditeurBruit du temps (Le)
- TraducteurClaire Malroux
Résumé
Ce livre, publié simultanément aux Etats-Unis par les éditions de la New York Review of Books, rassemble des chroniques parisiennes par le poète américain Henri Cole données au New Yorker. Il y mêle autobiographie, journal, essai et poésie en prose à des photographies, composant une sorte de "journal d'un poète américain" à Paris d'un genre nouveau, qu'il qualifie lui-même d'"élégiaque". La magie de ce livre, placé sous l'ombre tutélaire d'Orphée, figure du poète mystique, oraculaire, enchanteur, c'est qu'il parvient à renouveler la vision que l'on peut avoir de la ville-lumière non parce qu'il chercherait à nous faire découvrir un Paris secret ou méconnu mais au contraire parce qu'il parvient à réenchanter les lieux, les clichés les plus "communs" de la capitale.
Dans la préface à Terre médiane, le premier recueil traduit en français à nos éditions, Claire Malroux parlait de l'"innocence retrouvée" et même de la "candeur" qui se dégage de ces poèmes. Ce sont ces mêmes qualités qui permettent à Henri Cole de nous émouvoir à la lecture de ces croquis parisiens où les souvenirs de lecture (Rilke, Elisabeth Bishop, Dickinson), les évocations d'oeuvres admirées surgissent sans cesse des lieux visités ou des personnes rencontrées (notamment son ami James Lord), donnant lieu à des rêveries, à des méditations où il s'interroge en poète, avec l'acuité sensible qui lui est propre (à la fois pleine de fraîcheur et pénétrante), sur ses liens amicaux et familiaux, sur la nature de la poésie et son rapport à la solitude, à son moi profond et à la liberté.
Dans la préface à Terre médiane, le premier recueil traduit en français à nos éditions, Claire Malroux parlait de l'"innocence retrouvée" et même de la "candeur" qui se dégage de ces poèmes. Ce sont ces mêmes qualités qui permettent à Henri Cole de nous émouvoir à la lecture de ces croquis parisiens où les souvenirs de lecture (Rilke, Elisabeth Bishop, Dickinson), les évocations d'oeuvres admirées surgissent sans cesse des lieux visités ou des personnes rencontrées (notamment son ami James Lord), donnant lieu à des rêveries, à des méditations où il s'interroge en poète, avec l'acuité sensible qui lui est propre (à la fois pleine de fraîcheur et pénétrante), sur ses liens amicaux et familiaux, sur la nature de la poésie et son rapport à la solitude, à son moi profond et à la liberté.
Ce livre, publié simultanément aux Etats-Unis par les éditions de la New York Review of Books, rassemble des chroniques parisiennes par le poète américain Henri Cole données au New Yorker. Il y mêle autobiographie, journal, essai et poésie en prose à des photographies, composant une sorte de "journal d'un poète américain" à Paris d'un genre nouveau, qu'il qualifie lui-même d'"élégiaque". La magie de ce livre, placé sous l'ombre tutélaire d'Orphée, figure du poète mystique, oraculaire, enchanteur, c'est qu'il parvient à renouveler la vision que l'on peut avoir de la ville-lumière non parce qu'il chercherait à nous faire découvrir un Paris secret ou méconnu mais au contraire parce qu'il parvient à réenchanter les lieux, les clichés les plus "communs" de la capitale.
Dans la préface à Terre médiane, le premier recueil traduit en français à nos éditions, Claire Malroux parlait de l'"innocence retrouvée" et même de la "candeur" qui se dégage de ces poèmes. Ce sont ces mêmes qualités qui permettent à Henri Cole de nous émouvoir à la lecture de ces croquis parisiens où les souvenirs de lecture (Rilke, Elisabeth Bishop, Dickinson), les évocations d'oeuvres admirées surgissent sans cesse des lieux visités ou des personnes rencontrées (notamment son ami James Lord), donnant lieu à des rêveries, à des méditations où il s'interroge en poète, avec l'acuité sensible qui lui est propre (à la fois pleine de fraîcheur et pénétrante), sur ses liens amicaux et familiaux, sur la nature de la poésie et son rapport à la solitude, à son moi profond et à la liberté.
Dans la préface à Terre médiane, le premier recueil traduit en français à nos éditions, Claire Malroux parlait de l'"innocence retrouvée" et même de la "candeur" qui se dégage de ces poèmes. Ce sont ces mêmes qualités qui permettent à Henri Cole de nous émouvoir à la lecture de ces croquis parisiens où les souvenirs de lecture (Rilke, Elisabeth Bishop, Dickinson), les évocations d'oeuvres admirées surgissent sans cesse des lieux visités ou des personnes rencontrées (notamment son ami James Lord), donnant lieu à des rêveries, à des méditations où il s'interroge en poète, avec l'acuité sensible qui lui est propre (à la fois pleine de fraîcheur et pénétrante), sur ses liens amicaux et familiaux, sur la nature de la poésie et son rapport à la solitude, à son moi profond et à la liberté.