"Le printemps qui un jour en folâtre compagnie vint animer ma cour de son rire cristallin, bruissant dans les rameaux fleuris du grenadier dans les palâsha en épi, les vermeils kânchana, les pârul et dans les bois aux pousses nouvelles, qui fit rougir de son baiser mutin le ciel bleu subjugué.
"Le printemps qui un jour en folâtre compagnie vint animer ma cour de son rire cristallin, bruissant dans les rameaux fleuris du grenadier dans les palâsha en épi, les vermeils kânchana, les pârul et dans les bois aux pousses nouvelles, qui fit rougir de son baiser mutin le ciel bleu subjugué.