Coup de coeur

Oscar et la dame rose

Par : Eric-Emmanuel Schmitt
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  • Nombre de pages82
  • PrésentationBroché
  • FormatPoche
  • Poids0.095 kg
  • Dimensions11,1 cm × 18,0 cm × 0,8 cm
  • ISBN978-2-253-07991-0
  • EAN9782253079910
  • Date de parution13/01/2021
  • CollectionLe Livre de Poche
  • ÉditeurLGF/Livre de Poche

Résumé

Oscar a dix ans et vit désormais à l'hôpital. Même si personne n'ose le lui dire, il sait qu'il va mourir. Parmi les dames en blouse rose qui viennent passer du temps avec les enfants malades, il en est une qui lui propose, pour qu'il se sente moins seul, d'écrire à Dieu. Ces lettres décrivent douze jours dans l'existence d'Oscar, des jours cocasses et poétiques, pleins de personnages drôles et émouvants.
Douze jours qui seront peut-être les derniers. Mais, grâce à Mamie-Rose qui noue avec Oscar un lien très fort, ils deviendront légende. C'est un livre de lumière. Un pur moment de tendresse, un hymne à la vie, une bataille gagnée contre la mort. Violaine Gelly, Psychologies magazine. Un prodigieux conte métaphysique sur la souffrance et la lâcheté. Audacieux, et sacrément plus efficace qu'une thèse ou de beaux discours.
François Busnel, L'Express. Un livre qui restera pour les âges à venir. Françoise Xenakis, Télé Matin (France 2).
Oscar a dix ans et vit désormais à l'hôpital. Même si personne n'ose le lui dire, il sait qu'il va mourir. Parmi les dames en blouse rose qui viennent passer du temps avec les enfants malades, il en est une qui lui propose, pour qu'il se sente moins seul, d'écrire à Dieu. Ces lettres décrivent douze jours dans l'existence d'Oscar, des jours cocasses et poétiques, pleins de personnages drôles et émouvants.
Douze jours qui seront peut-être les derniers. Mais, grâce à Mamie-Rose qui noue avec Oscar un lien très fort, ils deviendront légende. C'est un livre de lumière. Un pur moment de tendresse, un hymne à la vie, une bataille gagnée contre la mort. Violaine Gelly, Psychologies magazine. Un prodigieux conte métaphysique sur la souffrance et la lâcheté. Audacieux, et sacrément plus efficace qu'une thèse ou de beaux discours.
François Busnel, L'Express. Un livre qui restera pour les âges à venir. Françoise Xenakis, Télé Matin (France 2).

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

4.3/5
sur 175 notes dont 9 avis lecteurs
Un livre dense, un livre riche, qui ne peut faire que du bien !
Oscar a dix ans et il vit à l'hôpital. Même si personne n'ose le lui dire, il sait qu'il va mourir. La dame rose, qui le visite et « qui croit au ciel », lui propose d'écrire à Dieu pour qu'il se sente moins seul. À travers cette correspondance originale, le récit aborde, du point de vue de l'enfance, des questions philosophiques et existentielles : la maladie, la souffrance et la mort, la rencontre avec l'autre et avec le mystère… Les nombreux passages de paroles rapportées permettront aux élèves de découvrir ou d'approfondir les techniques du dialogue argumentatif. L'appareil pédagogique est suivi d'une interview exclusive d'Éric-Emmanuel Schmitt.
Oscar a dix ans et il vit à l'hôpital. Même si personne n'ose le lui dire, il sait qu'il va mourir. La dame rose, qui le visite et « qui croit au ciel », lui propose d'écrire à Dieu pour qu'il se sente moins seul. À travers cette correspondance originale, le récit aborde, du point de vue de l'enfance, des questions philosophiques et existentielles : la maladie, la souffrance et la mort, la rencontre avec l'autre et avec le mystère… Les nombreux passages de paroles rapportées permettront aux élèves de découvrir ou d'approfondir les techniques du dialogue argumentatif. L'appareil pédagogique est suivi d'une interview exclusive d'Éric-Emmanuel Schmitt.
Magnifique !
Qui saurait traiter de la leucémie sans choquer, sans faire peur, sans susciter le recul ? C'est pourtant une grande réussite que d'avoir traité du sujet à travers une belle histoire entre un garçon atteint par la maladie et une vieille dame. C'est magnifique. Il faut juste prévoir qu'on versera fatalement quelques larmes sur les dernières pages...
Qui saurait traiter de la leucémie sans choquer, sans faire peur, sans susciter le recul ? C'est pourtant une grande réussite que d'avoir traité du sujet à travers une belle histoire entre un garçon atteint par la maladie et une vieille dame. C'est magnifique. Il faut juste prévoir qu'on versera fatalement quelques larmes sur les dernières pages...
Une correspondance émouvante
j'avais lu ce roman au style épistolaire voilà quelques années et l'avait apprécié pour sa fraicheur, sa franchise et en même temps le choix des mots, enfantins mais plein de bon sens. A la relecture je me dis qu'il est innovant car ne craint pas de faire parler un enfant sur sa maladie, sa mort imminente et pose un regard nouveau sur l'attitude des adultes, parfois en effet plus perdus que les enfants eux-mêmes. Pas de registre larmoyant ici et la brièveté du récit aide à cela mais un discours sincère inspiré à Eric Emmanuel Schmitt par son enfance passée à suivre son père dans les hôpitaux auprès d'enfants malades. Un regard juste donc. Le thème de la religion est abordé comme un refuge, une écoute qui peut permettre à Oscar de maitriser sa colère envers les adultes et accepter la fin de sa vie. Eric Emmanuel Schmitt va très loin en comparant les souffrances de Jésus ( nommé Dieu dans le texte) et celles d'Oscar mais ici la réflexion transcende les simples points communs en soulignant que la souffrance physique peut n'être rien si le moral soutien l'être. Toutefois je suis un peu surprise que les parents soient si distants, si absents. Evidemment c'est ici la maman qui parle et je peux comprendre que l'on se sente impuissant et maladroit devant la maladie qui emporte son enfant. Mais la présence forte de Mamie Rose, la personnalité déterminée d'Oscar, laissent peu de place aux autres personnages qui apparaissent comme des formes, des passants et non des acteurs. Même à la fin, alors qu'Oscar donne à tous une leçon de vie et d'espoir, ils sont passifs et ne prennent pas la parole. C'est un petit regret pour moi. Une jolie lecture donc que l'on n'aborde pas de la même façon selon que l'on est adolescent ou adulte. Mon fils a beaucoup apprécié la langue simple, à la fois légère et affirmée. Pour ma part je reste un peu indécise quant à mon ressenti, d'une part ravie que l'on ne tombe pas dans les clichés, d'autre part un peu déçue par la perception familiale qu'il nous donne à voir.
j'avais lu ce roman au style épistolaire voilà quelques années et l'avait apprécié pour sa fraicheur, sa franchise et en même temps le choix des mots, enfantins mais plein de bon sens. A la relecture je me dis qu'il est innovant car ne craint pas de faire parler un enfant sur sa maladie, sa mort imminente et pose un regard nouveau sur l'attitude des adultes, parfois en effet plus perdus que les enfants eux-mêmes. Pas de registre larmoyant ici et la brièveté du récit aide à cela mais un discours sincère inspiré à Eric Emmanuel Schmitt par son enfance passée à suivre son père dans les hôpitaux auprès d'enfants malades. Un regard juste donc. Le thème de la religion est abordé comme un refuge, une écoute qui peut permettre à Oscar de maitriser sa colère envers les adultes et accepter la fin de sa vie. Eric Emmanuel Schmitt va très loin en comparant les souffrances de Jésus ( nommé Dieu dans le texte) et celles d'Oscar mais ici la réflexion transcende les simples points communs en soulignant que la souffrance physique peut n'être rien si le moral soutien l'être. Toutefois je suis un peu surprise que les parents soient si distants, si absents. Evidemment c'est ici la maman qui parle et je peux comprendre que l'on se sente impuissant et maladroit devant la maladie qui emporte son enfant. Mais la présence forte de Mamie Rose, la personnalité déterminée d'Oscar, laissent peu de place aux autres personnages qui apparaissent comme des formes, des passants et non des acteurs. Même à la fin, alors qu'Oscar donne à tous une leçon de vie et d'espoir, ils sont passifs et ne prennent pas la parole. C'est un petit regret pour moi. Une jolie lecture donc que l'on n'aborde pas de la même façon selon que l'on est adolescent ou adulte. Mon fils a beaucoup apprécié la langue simple, à la fois légère et affirmée. Pour ma part je reste un peu indécise quant à mon ressenti, d'une part ravie que l'on ne tombe pas dans les clichés, d'autre part un peu déçue par la perception familiale qu'il nous donne à voir.
  • XXe siècle
  • Imaginaire
  • maladie
  • oscar
  • La dame rose
Eric-Emmanuel Schmitt
Le moins qu'on puisse dire d'Eric Emmanuel Schmitt, est qu'il est l'un des auteurs francophones les plus appréciés et les plus lus. Dramaturge, auteur de plusieurs romans et nouvelles, comédien et réalisateur, cet homme aux talents nombreux est lauréat de plusieurs dizaines de prix depuis 1993, pour ses nombreuses œuvres. De plus, ses pièces de théâtre sont encore jouées dans une cinquantaine de pays et ses livres sont traduits en 48 langues. Ses œuvres font également l'objet de plusieurs études analytiques dans les collèges et les lycées. Allons voir de plus près qui est Eric Emmanuel Schmitt, son histoire, ses débuts dans la littérature et ses livres les plus lus.

Son histoire

Eric est né le 28 mars 1960 à Sainte-Foy-lès-Lyon dans le Rhône, d'une mère championne en course à pied et d'un père champion en boxe. Il ne suivra pas la voie de ses parents, puisqu'il intègre les classes préparatoires littéraires pour les grandes écoles. Il poursuit ses études à l'Ecole normale supérieure et devient, ainsi, agrégé de philosophie en 1983. Il commença d'abord par enseigner au lycée Saint-Cyr (lycée militaire), dans le cadre de son service militaire, puis à l'Université de Besançon et au lycée de Cherbourg. Jusqu'en 1994, il enseigna à l'université de Chambéry, avant que son succès d'auteur ne le pousse à arrêter l'enseignement à l'Université. Il est de nationalité franco-belge depuis 2008, l'année durant laquelle il a obtenu la naturalisation belge après s'être installé à Bruxelles en 2002. En 2012, il y est élu à l'académie royale de langue et de littérature françaises de Belgique. Suite à son succès, il devient membre du jury de l'Académie Goncourt en 2016.

Ses débuts dans la littérature

C'est grâce à « La Nuit de Valognes », pièce de théâtre publiée en 1991, que notre auteur se fera connaître comme dramaturge. Mais ce n'est qu'au bout de sa deuxième œuvre « Le Visiteur » que sa réputation dépassera les frontières de la France. Il a su mettre le théâtre au service de la philosophie et a continué à se pencher, à travers ses écrits, sur la condition humaine et pas que. Il remet sur la table les questions les plus existentielles, mais aussi les plus communes et celles qui donnent le plus à réfléchir. Il pousse ses lecteurs à s'identifier dans ses personnages, à vivre les situations qu'il imagine, à réfléchir aux questions qu'il se pose et auxquelles nous cherchons tous, intimement, une réponse. Il met à nu et présente au public, de la manière la plus simple mais aussi la plus philosophique qui soit, ses pensées, ses croyances et ses doutes. Vous saurez, ainsi, que bien qu'Eric ne soit pas qu'un dramaturge mais également un romancier et nouvelliste hors pair, toutefois, c'est bien le théâtre qui l'a immergé dans le monde de la littérature et l'a fait connaître au monde entier.

Eric Emmanuel Schmitt, ses meilleurs livres

La réputation d'Eric Emmanuel Schmitt n'est pas à refaire et ses œuvres ont toujours été appréciées par le public, l'objet d'études et de critiques, mais aussi de commentaires. Si cela pouvait témoigner d'une chose, ce serait la profondeur de ses pensées et de ses écrits. Il fait partie du top 10 des romanciers qui ont le plus vendu en France, en 2006, 2008, 2009, 2010 et en 2012
  • Le Visiteur, est sans doute la pièce théâtrale la plus connue d'Eric Emmanuel Schmitt puisqu'elle lui a valu son franc succès. Publiée en 1993, l'auteur y confronte le docteur Sigmund Freud, athée, à Dieu.
  • Oscar et la Dame Rose est l'un de ses romans, publié en 2002. Oscar est un jeune enfant âgé de 10 ans, atteint d'un cancer. Ce roman présentera les 12 lettres qu'il écrira à Dieu les 12 jours d'hospitalisation durant lesquelles une vieille dame lui rendra visite bénévolement.
  • La Part de l'Autre est un autre roman publié en 2001. Dans cette œuvre, Eric Emmanuel Schmitt se livre à l'uchronie et tente de réécrire l'Histoire. Histoire où Adolf Hitler n'a pas été recalé au concours des Beaux-arts à Vienne et n'a jamais rejoint le parti nazi.
  • Monsieur Ibrahim et les Fleurs du Coran est un récit autobiographique fictif, publié par l'auteur en 2001. Momo, le personnage principal et enfant juif âgé de 11 ans, rencontre monsieur Ibrahim, un vieil épicier musulman. Ces deux nouveaux amis se donnent aux conversations les plus ordinaires, mais aussi les plus singulières.
  • Ne citer que les œuvres littéraires d'Eric Emmanuel Schmitt, c'est ignorer son rêve d'enfant et son désir de devenir acteur. Il est d'abord réalisateur et réalise l'adaptation cinématographique de ses deux œuvres Odette Toulemonde et Oscar et la dame rose, en 2006 et 2009, respectivement. Il poursuit sa carrière comme comédien et interprète plusieurs rôles.
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