Oraisons funèbres

Par : Jacques Bénigne Bossuet

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  • Nombre de pages464
  • PrésentationBroché
  • FormatPoche
  • Poids0.26 kg
  • Dimensions11,0 cm × 18,0 cm × 2,2 cm
  • ISBN2-07-031359-X
  • EAN9782070313594
  • Date de parution11/03/2004
  • CollectionFolio. Classique
  • ÉditeurGallimard
  • AnnotateurJacques Truchet

Résumé

Bossuet a composé sa première oraison funèbre à vingt-huit ans (1655). Il y en a eu dix, l'auteur a publié les six dernières, consacrées à de grands personnages, en 1689, à l'époque du plein épanouissement de sa personnalité. Ce genre a connu un immense développement (et n'est pas complètement mort). Il a ses règles: l'orchestration du deuil, expression de la douleur et déploration, en un temps où on aimait les émotions collectives.
Puis l'éloge du défunt, cher à l'orateur comme à son public et la volonté d'instruire les fidèles dans l'art de bien mourir; enfin, des questions d'actualité, parfois brûlantes. Si Bossuet triomphe dans ce genre, ce n'est pas seulement par la magie du style, mais aussi parce qu'il a affaire à des personnages de premier plan, qu'il a bien connus; sa douleur est personnelle; il ne cache pas son émotion.
La mort, selon Bossuet, démasque tous les vices: ce qui compte, c'est l'immortalité.
Bossuet a composé sa première oraison funèbre à vingt-huit ans (1655). Il y en a eu dix, l'auteur a publié les six dernières, consacrées à de grands personnages, en 1689, à l'époque du plein épanouissement de sa personnalité. Ce genre a connu un immense développement (et n'est pas complètement mort). Il a ses règles: l'orchestration du deuil, expression de la douleur et déploration, en un temps où on aimait les émotions collectives.
Puis l'éloge du défunt, cher à l'orateur comme à son public et la volonté d'instruire les fidèles dans l'art de bien mourir; enfin, des questions d'actualité, parfois brûlantes. Si Bossuet triomphe dans ce genre, ce n'est pas seulement par la magie du style, mais aussi parce qu'il a affaire à des personnages de premier plan, qu'il a bien connus; sa douleur est personnelle; il ne cache pas son émotion.
La mort, selon Bossuet, démasque tous les vices: ce qui compte, c'est l'immortalité.
Traité du libre arbitre
Bossuet, Jacques Bénigne Bossuet, Aurélien Hupé
E-book
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