Oeuvres. Tome 8, Rapports des sciences naturelles avec la psychologie
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- Nombre de pages496
- PrésentationBroché
- Poids0.68 kg
- Dimensions21,5 cm × 13,5 cm × 3,0 cm
- ISBN2-7116-2067-0
- EAN9782711620678
- Date de parution01/01/1986
- CollectionTextes Philosophiques
- ÉditeurVrin
Résumé
Les textes rassemblés ici marquent un tournant décisif de la philosophie biranienne : après avoir développé sa pensée dans les Mémoires couronnés (tomes II, III, IV, VI), Maine de Biran, revenant sur ses pas, estime qu'il a laissé sans solution les problèmes de la métaphysiques classiques. Il s'efforce d'y répondre à partir de son propre point de vue et élabore à cet effet ses théories de la croyance et de l'absolu : l'être ne se réduit pas au phénomène qui le manifeste ; être, ce n'est pas être perçu.
C'est dans les Rapports des sciences naturelles avec la psychologie que Biran traite pour la première fois ces questions de manière détaillée, ce qui l'oblige à reprendre sa distinction du sujet et de l'objet, et à revoir sa critique de Condillac et des cartésiens. On trouvera aussi dans ce volume plusieurs opuscules de la même époque abordant ces questions, et notamment des discours prononcés à la société philosophique qu'il animait alors.
C'est dans les Rapports des sciences naturelles avec la psychologie que Biran traite pour la première fois ces questions de manière détaillée, ce qui l'oblige à reprendre sa distinction du sujet et de l'objet, et à revoir sa critique de Condillac et des cartésiens. On trouvera aussi dans ce volume plusieurs opuscules de la même époque abordant ces questions, et notamment des discours prononcés à la société philosophique qu'il animait alors.
Les textes rassemblés ici marquent un tournant décisif de la philosophie biranienne : après avoir développé sa pensée dans les Mémoires couronnés (tomes II, III, IV, VI), Maine de Biran, revenant sur ses pas, estime qu'il a laissé sans solution les problèmes de la métaphysiques classiques. Il s'efforce d'y répondre à partir de son propre point de vue et élabore à cet effet ses théories de la croyance et de l'absolu : l'être ne se réduit pas au phénomène qui le manifeste ; être, ce n'est pas être perçu.
C'est dans les Rapports des sciences naturelles avec la psychologie que Biran traite pour la première fois ces questions de manière détaillée, ce qui l'oblige à reprendre sa distinction du sujet et de l'objet, et à revoir sa critique de Condillac et des cartésiens. On trouvera aussi dans ce volume plusieurs opuscules de la même époque abordant ces questions, et notamment des discours prononcés à la société philosophique qu'il animait alors.
C'est dans les Rapports des sciences naturelles avec la psychologie que Biran traite pour la première fois ces questions de manière détaillée, ce qui l'oblige à reprendre sa distinction du sujet et de l'objet, et à revoir sa critique de Condillac et des cartésiens. On trouvera aussi dans ce volume plusieurs opuscules de la même époque abordant ces questions, et notamment des discours prononcés à la société philosophique qu'il animait alors.






