Nûr al nûr, Farid, oubliés de Dieu
Par :Formats :
- Paiement en ligne :
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
- Retrait Click and Collect en magasin gratuit
- Réservation en ligne avec paiement en magasin :
- Indisponible pour réserver et payer en magasin
- Nombre de pages179
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.24 kg
- Dimensions13,5 cm × 20,0 cm × 1,1 cm
- ISBN2-7087-0772-8
- EAN9782708707726
- Date de parution01/04/2006
- ÉditeurPresence Africaine
Résumé
Dans ce roman fragmenté en brefs chapitres pour mieux appréhender la violence des émotions, sonder les blessures des personnages, s'infiltrer dans le tréfonds des âmes violentées de l'Algérie contemporaine, Anne Tiddis a recours à la pudeur du merveilleux où l'onirisme et le sacré côtoient le poétique pour que les cris du bestiaire humain contre les fauves de Dieu, deviennent un hymne incantatoire à la vie.
Ce roman est un chant d'espérance en un monde pourtant de violences, de tueries et de désespérance. " Je ne veux pas oublier même dans l'odieux, la part d'humanité. " Comment pourrons-nous la désapprendre après avoir croisé sur notre route Nûr al Nûr et Farid ? enfants de Dieu, oubliés de Dieu, mais pas des hommes.
Ce roman est un chant d'espérance en un monde pourtant de violences, de tueries et de désespérance. " Je ne veux pas oublier même dans l'odieux, la part d'humanité. " Comment pourrons-nous la désapprendre après avoir croisé sur notre route Nûr al Nûr et Farid ? enfants de Dieu, oubliés de Dieu, mais pas des hommes.
Dans ce roman fragmenté en brefs chapitres pour mieux appréhender la violence des émotions, sonder les blessures des personnages, s'infiltrer dans le tréfonds des âmes violentées de l'Algérie contemporaine, Anne Tiddis a recours à la pudeur du merveilleux où l'onirisme et le sacré côtoient le poétique pour que les cris du bestiaire humain contre les fauves de Dieu, deviennent un hymne incantatoire à la vie.
Ce roman est un chant d'espérance en un monde pourtant de violences, de tueries et de désespérance. " Je ne veux pas oublier même dans l'odieux, la part d'humanité. " Comment pourrons-nous la désapprendre après avoir croisé sur notre route Nûr al Nûr et Farid ? enfants de Dieu, oubliés de Dieu, mais pas des hommes.
Ce roman est un chant d'espérance en un monde pourtant de violences, de tueries et de désespérance. " Je ne veux pas oublier même dans l'odieux, la part d'humanité. " Comment pourrons-nous la désapprendre après avoir croisé sur notre route Nûr al Nûr et Farid ? enfants de Dieu, oubliés de Dieu, mais pas des hommes.