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  • Nombre de pages272
  • PrésentationBroché
  • FormatPoche
  • Poids0.17 kg
  • Dimensions11,0 cm × 17,8 cm × 1,6 cm
  • ISBN978-2-07-300196-2
  • EAN9782073001962
  • Date de parution05/01/2023
  • CollectionFolio
  • ÉditeurFolio

Résumé

"En 1999 débutait le casting pour trouver le jeune garçon qui allait interpréter Harry Potter et qui, par la même occasion, deviendrait mondialement célèbre. Des centaines d'acteurs furent auditionnés. Finalement, il n'en resta plus que deux. Ce roman raconte l'histoire de celui qui n'a pas été choisi".
"En 1999 débutait le casting pour trouver le jeune garçon qui allait interpréter Harry Potter et qui, par la même occasion, deviendrait mondialement célèbre. Des centaines d'acteurs furent auditionnés. Finalement, il n'en resta plus que deux. Ce roman raconte l'histoire de celui qui n'a pas été choisi".

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1 Coup de cœur
de nos libraires
Carine G. - 1Decitre Annemasse
4/5
Celui qui a failli être Harry Potter
Martin Hill a dix ans, vit seul à Londres avec son père, accessoiriste de cinéma lorsqu’Il est repéré par le producteur du premier volet d’Harry Potter. Se prenant au jeu, il se lance à fond dans cette audition mais voici que surgit Daniel Radcliffe qui lui ravit le rôle du plus célèbre sorcier du monde. Gestion de l’échec, sentiment de rejet et répercussions sur l’estime de soi, Foenkinos nous fait passer un moment agréable et touchant dans cet univers grandiose et impitoyable du 7ième art et de la vie finalement.
Martin Hill a dix ans, vit seul à Londres avec son père, accessoiriste de cinéma lorsqu’Il est repéré par le producteur du premier volet d’Harry Potter. Se prenant au jeu, il se lance à fond dans cette audition mais voici que surgit Daniel Radcliffe qui lui ravit le rôle du plus célèbre sorcier du monde. Gestion de l’échec, sentiment de rejet et répercussions sur l’estime de soi, Foenkinos nous fait passer un moment agréable et touchant dans cet univers grandiose et impitoyable du 7ième art et de la vie finalement.

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4.4/5
sur 5 notes dont 3 avis lecteurs
L'envers du décor
Martin est un peu myope. Il doit porter des lunettes. Il choisira ces petites lunettes rondes qui correspondent bien à son attitude studieuse et sa veste d’uniforme scolaire britannique écussonnée. Se doute-t-il un seul instant que tourner la première page du premier roman de la saga Harry Potter changera sa vie à jamais ? Non, car sinon il n’aurait jamais commis cette terrible erreur. Lorsque le projet de porter la saga au succès fulgurant à l’écran est lancé, Martin se retrouve propulsé dans la machine infernale du casting. On recherche le seul, l’unique qui pourra incarner le petit sorcier. Le père de Martin fait jouer ses relations dans le milieu, il en est certain : c’est son fils. Et là une occasion inespérée de voir enfin ses échecs effacés par la réussite de sa progéniture. Numéro deux est le récit de ce garçon qui, à l’issue d’un parcours pourtant prometteur, n’a pas été choisi. Ou comment le rêve que l’on a touché du bout du doigt se transforme en cauchemar. Ou comment se construire sur l’obsession du rejet. Ou comment vivre avec une souffrance qui ne cesse de s’alimenter par le succès grandissant de l’autre. Entre réalité et fiction, David Foenkinos dissèque l’histoire de ce numéro deux qui a vécu l’ombre à travers la médiatisation démesurée d’une vie qu’il aurait pu avoir. Il livre une très belle réflexion autour du hasard, de l’échec et de la résilience. Comme à son habitude, l’auteur use d’une plume habile, fine avec la juste dose d’humour et de sensibilité pour développer cette histoire singulière. Encore une fois, une belle réussite car tous les ingrédients sont réunis et nul besoin d’être incollable sur le sujet Harry Potter pour se régaler de cette lecture.
Martin est un peu myope. Il doit porter des lunettes. Il choisira ces petites lunettes rondes qui correspondent bien à son attitude studieuse et sa veste d’uniforme scolaire britannique écussonnée. Se doute-t-il un seul instant que tourner la première page du premier roman de la saga Harry Potter changera sa vie à jamais ? Non, car sinon il n’aurait jamais commis cette terrible erreur. Lorsque le projet de porter la saga au succès fulgurant à l’écran est lancé, Martin se retrouve propulsé dans la machine infernale du casting. On recherche le seul, l’unique qui pourra incarner le petit sorcier. Le père de Martin fait jouer ses relations dans le milieu, il en est certain : c’est son fils. Et là une occasion inespérée de voir enfin ses échecs effacés par la réussite de sa progéniture. Numéro deux est le récit de ce garçon qui, à l’issue d’un parcours pourtant prometteur, n’a pas été choisi. Ou comment le rêve que l’on a touché du bout du doigt se transforme en cauchemar. Ou comment se construire sur l’obsession du rejet. Ou comment vivre avec une souffrance qui ne cesse de s’alimenter par le succès grandissant de l’autre. Entre réalité et fiction, David Foenkinos dissèque l’histoire de ce numéro deux qui a vécu l’ombre à travers la médiatisation démesurée d’une vie qu’il aurait pu avoir. Il livre une très belle réflexion autour du hasard, de l’échec et de la résilience. Comme à son habitude, l’auteur use d’une plume habile, fine avec la juste dose d’humour et de sensibilité pour développer cette histoire singulière. Encore une fois, une belle réussite car tous les ingrédients sont réunis et nul besoin d’être incollable sur le sujet Harry Potter pour se régaler de cette lecture.
Une réflexion originale
Un jeune Londonien de dix ans participe au casting, qui, en 1999, doit sélectionner le garçon qui interprètera Harry Potter au cinéma. A son grand désespoir, alors qu’ils n’étaient plus que deux candidats en lice, il n’est finalement pas choisi. Il suffit parfois d’un rien pour que le destin bascule. Et pas toujours dans le bon sens, quoi qu’en dise le fameux adage sur le hasard qui fait bien les choses. Martin Hill, propulsé à portée de rêve par un extraordinaire concours de circonstances, se voit aussitôt ravir cette chance inespérée, alors que rien ne permettant de le départager de son dernier concurrent, le choix qu’il faut bien opérer l’écarte définitivement. Se remet-on jamais d’avoir perdu le ticket gagnant au loto ? D’avoir raté l’embranchement décisif qui pouvait transformer votre existence au-delà de toute espérance ? La plupart du temps, « notre route unique n’offre pas le moindre accès aux chemins que nous n’empruntons pas », mais, pour Martin, bientôt témoin désespéré de l’inextinguible Potter Mania qui viendra notamment, au travers du merchandising, contaminer jusqu’aux objets les plus usuels de son quotidien, tout n’est, sa vie durant, que rappel cuisant de son échec et de ce qu’il a l’impression qu’un autre lui a volé. Même si construit autour de multiples et bien réelles anecdotes liées à la saga Harry Potter, Martin Hill est un personnage fictif. Inventé à partir du plus impressionnant engouement collectif qui soit, phénomène de société exploité commercialement jusqu’à la lie, il est un puissant prétexte à bien des réflexions. Dans un monde mené par le culte de la performance et de l’image, où le bonheur s’affiche - et se réverbère à l’infini sur les réseaux sociaux - à grands coups de standards aussi vains que factices, ne finit-on pas par trouver la réalité bien plus terne et plus détestable qu’elle ne l’est, et par se laisser dérober le véritable bonheur d’exister, dissous dans la frustration et un absurde sentiment d’échec ? A envier tout ce qu’on nous fait miroiter comme désirable, à quantifier la réussite à l’aune de la notoriété et de la fortune, à ne se satisfaire que d’avoir plus que son voisin, n’en oublie-t-on pas de vivre, tout simplement ? Mêlant un humour discrètement affleurant à son génie des petites phrases qui font mouche, David Foenkinos réussit d’une bien originale façon à nous faire comprendre, que cet autre que nous envions tant, est peut-être, bien souvent, juste caché au fond de nous-mêmes, incapable de se rendre compte de son bonheur et de sa chance. Coup de coeur.
Un jeune Londonien de dix ans participe au casting, qui, en 1999, doit sélectionner le garçon qui interprètera Harry Potter au cinéma. A son grand désespoir, alors qu’ils n’étaient plus que deux candidats en lice, il n’est finalement pas choisi. Il suffit parfois d’un rien pour que le destin bascule. Et pas toujours dans le bon sens, quoi qu’en dise le fameux adage sur le hasard qui fait bien les choses. Martin Hill, propulsé à portée de rêve par un extraordinaire concours de circonstances, se voit aussitôt ravir cette chance inespérée, alors que rien ne permettant de le départager de son dernier concurrent, le choix qu’il faut bien opérer l’écarte définitivement. Se remet-on jamais d’avoir perdu le ticket gagnant au loto ? D’avoir raté l’embranchement décisif qui pouvait transformer votre existence au-delà de toute espérance ? La plupart du temps, « notre route unique n’offre pas le moindre accès aux chemins que nous n’empruntons pas », mais, pour Martin, bientôt témoin désespéré de l’inextinguible Potter Mania qui viendra notamment, au travers du merchandising, contaminer jusqu’aux objets les plus usuels de son quotidien, tout n’est, sa vie durant, que rappel cuisant de son échec et de ce qu’il a l’impression qu’un autre lui a volé. Même si construit autour de multiples et bien réelles anecdotes liées à la saga Harry Potter, Martin Hill est un personnage fictif. Inventé à partir du plus impressionnant engouement collectif qui soit, phénomène de société exploité commercialement jusqu’à la lie, il est un puissant prétexte à bien des réflexions. Dans un monde mené par le culte de la performance et de l’image, où le bonheur s’affiche - et se réverbère à l’infini sur les réseaux sociaux - à grands coups de standards aussi vains que factices, ne finit-on pas par trouver la réalité bien plus terne et plus détestable qu’elle ne l’est, et par se laisser dérober le véritable bonheur d’exister, dissous dans la frustration et un absurde sentiment d’échec ? A envier tout ce qu’on nous fait miroiter comme désirable, à quantifier la réussite à l’aune de la notoriété et de la fortune, à ne se satisfaire que d’avoir plus que son voisin, n’en oublie-t-on pas de vivre, tout simplement ? Mêlant un humour discrètement affleurant à son génie des petites phrases qui font mouche, David Foenkinos réussit d’une bien originale façon à nous faire comprendre, que cet autre que nous envions tant, est peut-être, bien souvent, juste caché au fond de nous-mêmes, incapable de se rendre compte de son bonheur et de sa chance. Coup de coeur.
Coup de coeur
#Chronique : Numéro deux de David Foenkinos​ - Gallimard​ « En 1999 débutait le casting pour trouver le jeune garçon qui allait interpréter Harry Potter et qui, par la même occasion, deviendrait mondialement célèbre. Des centaines d’acteurs furent auditionnés. Finalement, il n’en resta plus que deux. Ce roman raconte l’histoire de celui qui n’a pas été choisi. »
#Chronique : Numéro deux de David Foenkinos​ - Gallimard​ « En 1999 débutait le casting pour trouver le jeune garçon qui allait interpréter Harry Potter et qui, par la même occasion, deviendrait mondialement célèbre. Des centaines d’acteurs furent auditionnés. Finalement, il n’en resta plus que deux. Ce roman raconte l’histoire de celui qui n’a pas été choisi. »
David Foenkinos
Écrivain et scénariste français né à Paris en 1974, laissez-vous entraîner dans les passionnants récits de David Foenkinos. Ancien étudiant en lettres, il aime nous parler des sentiments amoureux sous toutes ses formes. Relations de couple, adultères, rencontres, analyse fine des comportements sentimentaux... voici ses thèmes favoris. Mais toujours avec le caractère loufoque, jubilatoire et tendre qui le qualifie. Récompensé par plusieurs prix, il réussit la prouesse de nous transporter à chaque fois vers un nouveau monde et nous faire vivre des histoires émouvantes et captivantes. La délicatesse en est l'exemple type : ce texte charmant et poétique nous décrit le croisement de deux destins que tout oppose et la transformation d'un quotidien très ordinaire en un nouveau, bien plus attrayant. Avec Les souvenirs, il nous livre un récit plein d'humanité et de douceur avec toujours cette même envie de nous raconter une belle histoire d'une grande profondeur. Dans le même genre littéraire, profitez des meilleurs prix sur tous nos livres et de notre livraison à 1 centime pour vous procurer les livres qui vous font envie. Félicité Herzog avec Un héros, John Irving et A moi seul bien des personnages ou Je vais bien, ne t'en fais pas d'Olivier Adam, voici un exemple de romans poignants à vous procurer d'urgence.
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