Necron Tome 7
Par :Formats :
- Réservation en ligne avec paiement en magasin :
- Indisponible pour réserver et payer en magasin
- Nombre de pages150
- PrésentationBroché
- FormatAlbum
- Poids0.424 kg
- Dimensions15,2 cm × 21,0 cm × 2,0 cm
- ISBN978-2-915492-95-8
- EAN9782915492958
- Date de parution01/03/2010
- CollectionPaul
- ÉditeurEditions Cornélius
- TraducteurMarc Voline
Résumé
La scientifique Frieda Boher est nécrophile. Cette émule lubrique du docteur Frankenstein se bricole un amant parfait avec des morceaux de cadavres " premier choix ". C'est ainsi que naît sous son scalpel virtuose, le géant Necron, qui se révélera un cannibale dune sentimentalité pathétique. De carnages homériques en orgasmes séismiques, la faiseuse de monstres et sa créature phallique, descendants dépravés de Mary Shelley, revisitent à grand fracas décors et thèmes de la littérature romantique.
Alors que triomphent la morale publique et le bon goût, il était temps de ressusciter ce réjouissant avatar du roman gothique et d'enseigner aux petits lecteurs que si la nécrophilie est, comme le dit la doctoresse Boher, un mal qui ne pardonne pas, elle permet au moins de passer des moments bien sympathiques. Et mort au " politiquement correct " !
La scientifique Frieda Boher est nécrophile. Cette émule lubrique du docteur Frankenstein se bricole un amant parfait avec des morceaux de cadavres " premier choix ". C'est ainsi que naît sous son scalpel virtuose, le géant Necron, qui se révélera un cannibale dune sentimentalité pathétique. De carnages homériques en orgasmes séismiques, la faiseuse de monstres et sa créature phallique, descendants dépravés de Mary Shelley, revisitent à grand fracas décors et thèmes de la littérature romantique.
Alors que triomphent la morale publique et le bon goût, il était temps de ressusciter ce réjouissant avatar du roman gothique et d'enseigner aux petits lecteurs que si la nécrophilie est, comme le dit la doctoresse Boher, un mal qui ne pardonne pas, elle permet au moins de passer des moments bien sympathiques. Et mort au " politiquement correct " !