Mort et thérapie en Afrique. Enjeux, représentations et symboles

Par : Lamine Ndiaye

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  • Nombre de pages244
  • PrésentationBroché
  • Poids0.4 kg
  • Dimensions15,5 cm × 24,0 cm × 1,7 cm
  • ISBN978-2-296-54910-4
  • EAN9782296549104
  • Date de parution01/05/2012
  • CollectionNouvelles études anthropologiq
  • ÉditeurL'Harmattan
  • PréfacierAbdoulaye-Bara Diop

Résumé

A travers des exemples pleins d'images et de symboles – nous convenons qu'un symbole est une image signifiante, ce livre s'attache à élucider, par l'usage de la "toute-puissance" (le l'écrit, la manière dont des communautés données perpétuent, en adoptant le principe de la modification des faits, des comportements sociaux et des weltanschuung. C'est de la sorte qu'est abordée la question du rite articulé autour de la mort, du deuil, de la parenté, de la maladie et de la quête de la bonne santé qui, souvent, dans le contexte négro-africain, en évoquant le sacré, s'oppose à la mort ainsi insérée dans la vie.
Par conséquent, devrons-nous signaler que, en (re)posant la question du rapport fondamental entre la mort et la thérapie, l'auteur veut simplement montrer en quoi la faucheuse, au travers d'un ensemble d'imaginaires, de symboles, de représentations socioculturelles, de pratiques rituelles, etc., devient, souvent, une voie assurée de maintien, de consolidation, de recomposition ou de "re-création" des équilibres somatique, mental et social, momentanément perturbés, et dont dépend la survie du groupe.
A travers des exemples pleins d'images et de symboles – nous convenons qu'un symbole est une image signifiante, ce livre s'attache à élucider, par l'usage de la "toute-puissance" (le l'écrit, la manière dont des communautés données perpétuent, en adoptant le principe de la modification des faits, des comportements sociaux et des weltanschuung. C'est de la sorte qu'est abordée la question du rite articulé autour de la mort, du deuil, de la parenté, de la maladie et de la quête de la bonne santé qui, souvent, dans le contexte négro-africain, en évoquant le sacré, s'oppose à la mort ainsi insérée dans la vie.
Par conséquent, devrons-nous signaler que, en (re)posant la question du rapport fondamental entre la mort et la thérapie, l'auteur veut simplement montrer en quoi la faucheuse, au travers d'un ensemble d'imaginaires, de symboles, de représentations socioculturelles, de pratiques rituelles, etc., devient, souvent, une voie assurée de maintien, de consolidation, de recomposition ou de "re-création" des équilibres somatique, mental et social, momentanément perturbés, et dont dépend la survie du groupe.