En juillet 1930, avec H.L. Mermod l'éditeur mécène au volant de sa 35 chevaux, le sculpteur jean Clerc, le poète Gustave Roud passionné de photographies, Ramuz monte au Grand-Saint-Bernard. Ce qui aurait pu n'être que le récit d'une excursion, émaillé de réflexions critiques sur le touriste "moyen" ou ironiques sur le partage purement artificiel des frontières s'élève, ici, à la méditation. "Pèlerinage"...
les mots prennent alors toute leur valeur spirituelle et poétique. J.-L. P.
En juillet 1930, avec H.L. Mermod l'éditeur mécène au volant de sa 35 chevaux, le sculpteur jean Clerc, le poète Gustave Roud passionné de photographies, Ramuz monte au Grand-Saint-Bernard. Ce qui aurait pu n'être que le récit d'une excursion, émaillé de réflexions critiques sur le touriste "moyen" ou ironiques sur le partage purement artificiel des frontières s'élève, ici, à la méditation. "Pèlerinage"...
les mots prennent alors toute leur valeur spirituelle et poétique. J.-L. P.