Monnaie bien public ou "banque-casino"?. Finance mondiale versus éthique et utilité sociale

Par : Philippe Quême

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  • Nombre de pages398
  • PrésentationBroché
  • Poids0.63 kg
  • Dimensions15,5 cm × 24,0 cm × 3,0 cm
  • ISBN978-2-296-56373-5
  • EAN9782296563735
  • Date de parution01/11/2011
  • CollectionQuestions contemporaines
  • ÉditeurL'Harmattan
  • PréfacierDaniel Lebègue

Résumé

Le but de ce livre est de placer les acteurs de la Finance mondiale devant leur responsabilité dans les crises financières et dans les graves conséquences sociales qui en ont résulté, notamment dans la crise actuelle. Pour ce faire, il propose aux financiers deux priorités : la prise de conscience de leur nécessaire utilité sociale, et le souci permanent de l'éthique dans leurs opérations.
En effet, il met en évidence que de nombreux acteurs de la Finance, aux Etats-Unis ou en Europe, ont, par leurs manquements éthiques, fortement contribué à l'irruption de la crise. Il dénonce à la fois la "prédation" de l'économie réelle par l'économie financière, et la nuisance sociale de certaines activités de la Finance ; il critique en particulier la persistance de banques too big to fa il, qui, en cas de faillite, sont secourues par l'Etat, c'est-à-dire par le contribuable ; il dénonce aussi la spéculation des banques pour compte propre, l'abus de certains "produits dérivés", la dictature des marchés et des agences de notation, les erreurs des banques centrales, les dérives des monnaies, les zones de non-droit de la Finance et l'existence d'un "système bancaire fantôme".
Il se préoccupe aussi de la crise de l'euro, et propose un scénario de "sortie par le haut" de cette crise. Il conclut enfin les considérations précédentes par la proposition de treize mesures, dont la création d'une "Autorité Mondiale des Systèmes Financiers", autour du FMI.
Le but de ce livre est de placer les acteurs de la Finance mondiale devant leur responsabilité dans les crises financières et dans les graves conséquences sociales qui en ont résulté, notamment dans la crise actuelle. Pour ce faire, il propose aux financiers deux priorités : la prise de conscience de leur nécessaire utilité sociale, et le souci permanent de l'éthique dans leurs opérations.
En effet, il met en évidence que de nombreux acteurs de la Finance, aux Etats-Unis ou en Europe, ont, par leurs manquements éthiques, fortement contribué à l'irruption de la crise. Il dénonce à la fois la "prédation" de l'économie réelle par l'économie financière, et la nuisance sociale de certaines activités de la Finance ; il critique en particulier la persistance de banques too big to fa il, qui, en cas de faillite, sont secourues par l'Etat, c'est-à-dire par le contribuable ; il dénonce aussi la spéculation des banques pour compte propre, l'abus de certains "produits dérivés", la dictature des marchés et des agences de notation, les erreurs des banques centrales, les dérives des monnaies, les zones de non-droit de la Finance et l'existence d'un "système bancaire fantôme".
Il se préoccupe aussi de la crise de l'euro, et propose un scénario de "sortie par le haut" de cette crise. Il conclut enfin les considérations précédentes par la proposition de treize mesures, dont la création d'une "Autorité Mondiale des Systèmes Financiers", autour du FMI.