Finance et éthique. Le prix de la vertu...

Par : Philippe Quême

Formats :

Offrir maintenant
Ou planifier dans votre panier
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format PDF est :
  • Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
  • Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
  • Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony
Logo Vivlio, qui est-ce ?

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement

Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
C'est si simple ! Lisez votre ebook avec l'app Vivlio sur votre tablette, mobile ou ordinateur :
Google PlayApp Store
  • Nombre de pages278
  • FormatPDF
  • ISBN978-2-336-35126-1
  • EAN9782336351261
  • Date de parution01/06/2014
  • Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille2 Mo
  • ÉditeurL'Harmattan
  • PréfacierDaniel Lebègue

Résumé

Ce livre revient sur les principaux scandales financiers qui ont jalonné la crise actuelle, en traitant toutes les composantes de la finance : les banques, la "finance de l'ombre" (paradis fiscaux et évasion fiscale), la finance publique. Il identifie cinq terrains de dérives (complexité, défiance, opacité, déconnexion de l'économie, surdimensionnement) et exprime un doute majeur : les autorités de la finance (Etats, UE, Banques centrales etc.) ont-elles réellement pu ignorer ces dérives éthiques ?
Ce livre revient sur les principaux scandales financiers qui ont jalonné la crise actuelle, en traitant toutes les composantes de la finance : les banques, la "finance de l'ombre" (paradis fiscaux et évasion fiscale), la finance publique. Il identifie cinq terrains de dérives (complexité, défiance, opacité, déconnexion de l'économie, surdimensionnement) et exprime un doute majeur : les autorités de la finance (Etats, UE, Banques centrales etc.) ont-elles réellement pu ignorer ces dérives éthiques ?