Martin Amis, né le 25 août 1949, est considéré par le "Times" comme l'un des plus grands écrivains britanniques de la seconde moitié du XXème siècle. Il est l'auteur d'une douzaine d'uvres de fiction et de quelques essais dont certains ne sont pas encore traduits en langue française. Il y dépeint une société gangrenée par l'argent roi et les médias ; ses portraits plutôt négatifs des femmes lui ont valu à plusieurs reprises le courroux des organisations féministes. Son premier roman : "Le dossier Rachel" édité en 1975, a été porté à l'écran en 1989 et publié en France en 1998. Parmi ceux qui ont suivi : "Money,Money" en 1984 (1987 en France), "Train de nuit" (1999), "Poupées crevées" (2001), "Maison des rencontres" (2008) ou "La veuve enceinte" (2012) ont été très bien accueillis par le public.
Money, money
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- Nombre de pages624
- PrésentationBroché
- FormatPoche
- Poids0.332 kg
- Dimensions11,0 cm × 17,8 cm × 2,8 cm
- ISBN978-2-253-08761-8
- EAN9782253087618
- Date de parution26/08/2015
- CollectionLe Livre de Poche
- ÉditeurLGF/Livre de Poche
- TraducteurSimone Hilling
Résumé
Ce qui suit est une lettre pour expliquer mon suicide. Quand vous la poserez, John Self aura cessé d'exister. M. A. En ce début des années 1980, Margaret Thatcher est Premier ministre du Royaume-Uni et Ronald Reagan président des Etats-Unis. Le cynisme et le fric sont au pouvoir. Le narrateur de Money, money se nomme John Self. Réalisateur de films publicitaires, John est obsédé par l'argent, la bouffe, le tabac, l'alcool, la drogue, le sexe, la pornographie...
Il consomme tout : ce qui est illicite et néfaste comme ce qui ne l'est pas. Résultat, à trente-cinq ans, il est obèse, ses dents sont pourries, son corps guère mieux. Il est également ignorant et égoïste. Mais si le personnage est ignoble, il a un atout dans son jeu : le sens de la dérision. Publié en 1984, Money, money a consacré Martin Amis comme l'un des meilleurs écrivains britanniques de sa génération.
Il consomme tout : ce qui est illicite et néfaste comme ce qui ne l'est pas. Résultat, à trente-cinq ans, il est obèse, ses dents sont pourries, son corps guère mieux. Il est également ignorant et égoïste. Mais si le personnage est ignoble, il a un atout dans son jeu : le sens de la dérision. Publié en 1984, Money, money a consacré Martin Amis comme l'un des meilleurs écrivains britanniques de sa génération.
Ce qui suit est une lettre pour expliquer mon suicide. Quand vous la poserez, John Self aura cessé d'exister. M. A. En ce début des années 1980, Margaret Thatcher est Premier ministre du Royaume-Uni et Ronald Reagan président des Etats-Unis. Le cynisme et le fric sont au pouvoir. Le narrateur de Money, money se nomme John Self. Réalisateur de films publicitaires, John est obsédé par l'argent, la bouffe, le tabac, l'alcool, la drogue, le sexe, la pornographie...
Il consomme tout : ce qui est illicite et néfaste comme ce qui ne l'est pas. Résultat, à trente-cinq ans, il est obèse, ses dents sont pourries, son corps guère mieux. Il est également ignorant et égoïste. Mais si le personnage est ignoble, il a un atout dans son jeu : le sens de la dérision. Publié en 1984, Money, money a consacré Martin Amis comme l'un des meilleurs écrivains britanniques de sa génération.
Il consomme tout : ce qui est illicite et néfaste comme ce qui ne l'est pas. Résultat, à trente-cinq ans, il est obèse, ses dents sont pourries, son corps guère mieux. Il est également ignorant et égoïste. Mais si le personnage est ignoble, il a un atout dans son jeu : le sens de la dérision. Publié en 1984, Money, money a consacré Martin Amis comme l'un des meilleurs écrivains britanniques de sa génération.