Moi, le Suprême - Grand Format

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Né sous le signe du Capricorne, il aimait braquer le télescope sur les cieux équinoxiaux. Seul à sa naissance et à sa mort, le même cri à la bouche... Lire la suite
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  • Grand format
    • Moi, le Suprême
      Paru le : 01/01/1993
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Résumé

Né sous le signe du Capricorne, il aimait braquer le télescope sur les cieux équinoxiaux. Seul à sa naissance et à sa mort, le même cri à la bouche : L'indépendance ou la mort ! C'est l'histoire de José Caspar de Francia dite, dictée et écrite par lui-même sous la plume d'Augusto Roa Bastos. Plume reçue de Raymond Roussel, trempée dans l'encre sanglante de la Révolution française, inspirée par les Lumières mais aussi par Montaigne, Pascal et Rousseau.
Ecrire sur le pouvoir, c'est écrire sur les pouvoirs de l'écriture, l'auteur doit reconnaître sa responsabilité comme faire connaître celle du dictateur. La dissection de ces mécanismes est un défi, ici vécu absolument et intimement, via un monologue à plusieurs voix du double personnage de ce roman fleuve en crue qui transporte le lecteur au coeur de l'Amérique latine et de notre conscience politique et humaine.

Caractéristiques

  • Date de parution
    07/02/2020
  • Editeur
  • ISBN
    978-2-35654-095-9
  • EAN
    9782356540959
  • Format
    Grand Format
  • Présentation
    Broché
  • Nb. de pages
    520 pages
  • Poids
    0.65 Kg
  • Dimensions
    15,0 cm × 22,6 cm × 3,6 cm

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À propos de l'auteur

Biographie d'Augusto Roa Bastos

Augusto Roa Bastos (né sous le signe des Gémeaux en 1917 à Asunción, où il meurt le 26 avril 2005) est un écrivain, journaliste et scénariste paraguayen. Il passe son enfance à Iturbe, petit village du sud du pays où il apprend le guarani. Parmi ses premières lectures il y a la Bible et Shakespeare. A l'âge de 15 ans, il participe à la guerre du Chaco (1932-1935) contre la Bolivie. Il exerce ensuite divers métiers dont celui de journaliste, il voyage en Europe comme correspondant de guerre pour El Pais.
En 1947, les façades du quotidien national sont mitraillées, c'est la guerre civile. Roa Bastos s'exile en Argentine, où il commence à publier ses premières oeuvres (poèmes, contes, deux romans majeurs : Fils d'homme en 1960 et Moi, le Suprême en 1974). Mais il doit s'enfuir de nouveau lors du putsch militaire de 1976. Il s'installe alors en France où il va enseigner la littérature sud-américaine et le guarani à l'université de Toulouse.
Il ne reviendra au pays qu'après la chute d'un autre dictateur, Alfredo Stroessner, en 1989 : l'année où il reçoit le prix Cervantès.

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