Moi, Joseph l'Alsacien. Soldat français de la Grande Guerre
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- Nombre de pages314
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.37 kg
- Dimensions13,0 cm × 21,5 cm × 2,3 cm
- ISBN978-2-84679-575-3
- EAN9782846795753
- Date de parution24/09/2024
- CollectionMémoire d'Homme
- ÉditeurGinkgo
Résumé
"La nuit, je fais encore quelquefois d'horribles cauchemars. Ils sont toujours les mêmes... Je me retrouve dans la tranchée avec Théodore au milieu d'un bruit épouvantable d'éclats d'obus et de mitraille... C'est l'enfer de feu et de terreur. Soudain, je me retourne et je vois Théodore plein de sang qui disparaît comme une ombre qui s'enfuie..." C'est dans le grenier de la maison familiale, au fond d'un coffre fermé depuis longtemps que Miguel Haler et les siens ont découvert, il y a quelques années, cinq carnets manuscrits.
Ils avaient été rédigés par le grand-père paternel, sur le front et précieusement gardés, puis oubliés... Retrouvant ainsi son aïeul, disparu depuis longtemps, Miguel Haler a décidé de le faire revivre par l'écriture. Ces phrases et ces mots, simples et forts, écrits par le simple ajusteur devenu soldat et malgré lui chroniqueur de l'indicible, ont été ici repris par l'écrivain, son descendant. Miguel ne réécrit pas mais accompagne ce qui est déjà écrit, précisant les lieux et Les situations, se glissant ainsi dans la peau de celui qui combat et souffre.
Moi, Joseph l'Alsacien est ainsi devenu la chronique journalière, remaniée et enrichie, humaine et humaniste, de celui qui, au soir de sa vie, était appelé affectueusement "Pépé piquant"...
Ils avaient été rédigés par le grand-père paternel, sur le front et précieusement gardés, puis oubliés... Retrouvant ainsi son aïeul, disparu depuis longtemps, Miguel Haler a décidé de le faire revivre par l'écriture. Ces phrases et ces mots, simples et forts, écrits par le simple ajusteur devenu soldat et malgré lui chroniqueur de l'indicible, ont été ici repris par l'écrivain, son descendant. Miguel ne réécrit pas mais accompagne ce qui est déjà écrit, précisant les lieux et Les situations, se glissant ainsi dans la peau de celui qui combat et souffre.
Moi, Joseph l'Alsacien est ainsi devenu la chronique journalière, remaniée et enrichie, humaine et humaniste, de celui qui, au soir de sa vie, était appelé affectueusement "Pépé piquant"...
"La nuit, je fais encore quelquefois d'horribles cauchemars. Ils sont toujours les mêmes... Je me retrouve dans la tranchée avec Théodore au milieu d'un bruit épouvantable d'éclats d'obus et de mitraille... C'est l'enfer de feu et de terreur. Soudain, je me retourne et je vois Théodore plein de sang qui disparaît comme une ombre qui s'enfuie..." C'est dans le grenier de la maison familiale, au fond d'un coffre fermé depuis longtemps que Miguel Haler et les siens ont découvert, il y a quelques années, cinq carnets manuscrits.
Ils avaient été rédigés par le grand-père paternel, sur le front et précieusement gardés, puis oubliés... Retrouvant ainsi son aïeul, disparu depuis longtemps, Miguel Haler a décidé de le faire revivre par l'écriture. Ces phrases et ces mots, simples et forts, écrits par le simple ajusteur devenu soldat et malgré lui chroniqueur de l'indicible, ont été ici repris par l'écrivain, son descendant. Miguel ne réécrit pas mais accompagne ce qui est déjà écrit, précisant les lieux et Les situations, se glissant ainsi dans la peau de celui qui combat et souffre.
Moi, Joseph l'Alsacien est ainsi devenu la chronique journalière, remaniée et enrichie, humaine et humaniste, de celui qui, au soir de sa vie, était appelé affectueusement "Pépé piquant"...
Ils avaient été rédigés par le grand-père paternel, sur le front et précieusement gardés, puis oubliés... Retrouvant ainsi son aïeul, disparu depuis longtemps, Miguel Haler a décidé de le faire revivre par l'écriture. Ces phrases et ces mots, simples et forts, écrits par le simple ajusteur devenu soldat et malgré lui chroniqueur de l'indicible, ont été ici repris par l'écrivain, son descendant. Miguel ne réécrit pas mais accompagne ce qui est déjà écrit, précisant les lieux et Les situations, se glissant ainsi dans la peau de celui qui combat et souffre.
Moi, Joseph l'Alsacien est ainsi devenu la chronique journalière, remaniée et enrichie, humaine et humaniste, de celui qui, au soir de sa vie, était appelé affectueusement "Pépé piquant"...