Métapolitique africaine. Une contribution à la renaissance de la pensée

Par : Antoine Nguidjol

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  • Nombre de pages178
  • PrésentationBroché
  • Poids0.222 kg
  • Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 1,0 cm
  • ISBN978-2-14-035215-7
  • EAN9782140352157
  • Date de parution28/07/2023
  • CollectionÉtudes africaines
  • ÉditeurL'Harmattan
  • PréfacierLucien Ayissi

Résumé

Lorsque les politiques hasardeuses de la Banque Mondiale conduisent des millions de personnes en Afrique dans un tel état de déshumanité, il devient indispensable pour l'intellectuel d'assumer sans concession une contre-culture qui défend l'Afrique, la patrie, la famille, l'identité, l'histoire, la mémoire, les traditions, l'éducation, les valeurs, les langues, etc. qui sont autant de réseaux qui ramènent les hommes auprès d'autres hommes.
Le simple bon sens nous apprend que sans patrie, sans Etat, sans famille, sans les valeurs de solidarité qui nous lient les uns avec les autres, nous sommes les esclaves nus de volontés extérieures plus fortes. Ce bon sens prescrit également que c'est en assumant intellectuellement ce à quoi on demande à l'Afrique de renoncer que l'intellectuel dénoue l'écheveau des raisons qui font la force de celle-ci.
Car en somme, la différence de l'Afrique est ce grâce à quoi elle contribue le mieux à la diversité du monde, à l'enrichir et à le renouveler.
Lorsque les politiques hasardeuses de la Banque Mondiale conduisent des millions de personnes en Afrique dans un tel état de déshumanité, il devient indispensable pour l'intellectuel d'assumer sans concession une contre-culture qui défend l'Afrique, la patrie, la famille, l'identité, l'histoire, la mémoire, les traditions, l'éducation, les valeurs, les langues, etc. qui sont autant de réseaux qui ramènent les hommes auprès d'autres hommes.
Le simple bon sens nous apprend que sans patrie, sans Etat, sans famille, sans les valeurs de solidarité qui nous lient les uns avec les autres, nous sommes les esclaves nus de volontés extérieures plus fortes. Ce bon sens prescrit également que c'est en assumant intellectuellement ce à quoi on demande à l'Afrique de renoncer que l'intellectuel dénoue l'écheveau des raisons qui font la force de celle-ci.
Car en somme, la différence de l'Afrique est ce grâce à quoi elle contribue le mieux à la diversité du monde, à l'enrichir et à le renouveler.
Congo
Antoine Nguidjol
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