Métapolitique africaine. Une contribution à la renaissance de la pensée
Par :Formats :
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format PDF est :
- Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
- Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
- Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement
Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
- Nombre de pages178
- FormatPDF
- ISBN978-2-14-035216-4
- EAN9782140352164
- Date de parution28/07/2023
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille2 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
- PréfacierLucien Ayissi
Résumé
Lorsque les politiques hasardeuses de la Banque Mondiale conduisent des millions de personnes en Afrique dans un tel état de déshumanité, il devient indispensable pour l'intellectuel d'assumer sans concession une contre-culture qui défend l'Afrique, la patrie, la famille, l'identité, l'histoire, la mémoire, les traditions, l'éducation, les valeurs, les langues, etc. ? qui sont autant de réseaux qui ramènent les hommes auprès d'autres hommes.
Le simple bon sens nous apprend que sans patrie, sans État, sans famille, sans les valeurs de solidarité qui nous lient les uns avec les autres, nous sommes les esclaves nus de volontés extérieures plus fortes. Ce bon sens prescrit également que c'est en assumant intellectuellement ce à quoi on demande à l'Afrique de renoncer que l'intellectuel dénoue l'écheveau des raisons qui font la force de celle-ci.
Car en somme, la différence de l'Afrique est ce grâce à quoi elle contribue le mieux à la diversité du monde, à l'enrichir et à le renouveler.
Le simple bon sens nous apprend que sans patrie, sans État, sans famille, sans les valeurs de solidarité qui nous lient les uns avec les autres, nous sommes les esclaves nus de volontés extérieures plus fortes. Ce bon sens prescrit également que c'est en assumant intellectuellement ce à quoi on demande à l'Afrique de renoncer que l'intellectuel dénoue l'écheveau des raisons qui font la force de celle-ci.
Car en somme, la différence de l'Afrique est ce grâce à quoi elle contribue le mieux à la diversité du monde, à l'enrichir et à le renouveler.
Lorsque les politiques hasardeuses de la Banque Mondiale conduisent des millions de personnes en Afrique dans un tel état de déshumanité, il devient indispensable pour l'intellectuel d'assumer sans concession une contre-culture qui défend l'Afrique, la patrie, la famille, l'identité, l'histoire, la mémoire, les traditions, l'éducation, les valeurs, les langues, etc. ? qui sont autant de réseaux qui ramènent les hommes auprès d'autres hommes.
Le simple bon sens nous apprend que sans patrie, sans État, sans famille, sans les valeurs de solidarité qui nous lient les uns avec les autres, nous sommes les esclaves nus de volontés extérieures plus fortes. Ce bon sens prescrit également que c'est en assumant intellectuellement ce à quoi on demande à l'Afrique de renoncer que l'intellectuel dénoue l'écheveau des raisons qui font la force de celle-ci.
Car en somme, la différence de l'Afrique est ce grâce à quoi elle contribue le mieux à la diversité du monde, à l'enrichir et à le renouveler.
Le simple bon sens nous apprend que sans patrie, sans État, sans famille, sans les valeurs de solidarité qui nous lient les uns avec les autres, nous sommes les esclaves nus de volontés extérieures plus fortes. Ce bon sens prescrit également que c'est en assumant intellectuellement ce à quoi on demande à l'Afrique de renoncer que l'intellectuel dénoue l'écheveau des raisons qui font la force de celle-ci.
Car en somme, la différence de l'Afrique est ce grâce à quoi elle contribue le mieux à la diversité du monde, à l'enrichir et à le renouveler.