Memoires D'Un Village Palestinien Disparu. Recit Commente Par Joseph Algazy
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- Nombre de pages166
- PrésentationBroché
- Poids0.225 kg
- Dimensions13,0 cm × 20,0 cm × 1,6 cm
- ISBN2-226-13279-1
- EAN9782226132796
- Date de parution03/04/2002
- Collectionhistoire à deux voix
- ÉditeurAlbin Michel
Résumé
"Nous sommes seuls de manière accablante. S'il n'y avait pas eu ces fouilles pleines de pièges, en particulier celui de la Torah qui tisse son histoire sur les abords de notre pays ? " En 1948, à l'âge de quatre ans, Mohammed Al-Asaad assiste à la Naqba qui arrache des milliers de Palestiniens à leur terre. Publié en arabe quarante-deux ans plus tard sous le titre Les Enfants de la rosée, ce récit mêle souvenirs d'enfance, témoignages et contes allégoriques qui évoquent l'histoire d'un peuple successivement soumis aux dominations ottomane, britannique et aujourd'hui israélienne.
Mais ce que Mohammed Al-Asaad, l'un des plus grands poètes palestiniens, met en cause, c'est la disparition de toute trace qui prouverait l'appartenance de son peuple à cette terre. Cette histoire condamnée - villages effacés ou rayés des cartes -, il revient à la mémoire de lui redonner vie. Procédant à une rigoureuse reconstitution historique des spoliations auxquelles s'est livré l'Etat d'Israël, Joseph Algazy dresse un réquisitoire sans appel contre une politique discriminatoire qui empêche, aujourd'hui plus que jamais, de "discerner la moindre lueur au bout du tunnel" .
Mais ce que Mohammed Al-Asaad, l'un des plus grands poètes palestiniens, met en cause, c'est la disparition de toute trace qui prouverait l'appartenance de son peuple à cette terre. Cette histoire condamnée - villages effacés ou rayés des cartes -, il revient à la mémoire de lui redonner vie. Procédant à une rigoureuse reconstitution historique des spoliations auxquelles s'est livré l'Etat d'Israël, Joseph Algazy dresse un réquisitoire sans appel contre une politique discriminatoire qui empêche, aujourd'hui plus que jamais, de "discerner la moindre lueur au bout du tunnel" .
"Nous sommes seuls de manière accablante. S'il n'y avait pas eu ces fouilles pleines de pièges, en particulier celui de la Torah qui tisse son histoire sur les abords de notre pays ? " En 1948, à l'âge de quatre ans, Mohammed Al-Asaad assiste à la Naqba qui arrache des milliers de Palestiniens à leur terre. Publié en arabe quarante-deux ans plus tard sous le titre Les Enfants de la rosée, ce récit mêle souvenirs d'enfance, témoignages et contes allégoriques qui évoquent l'histoire d'un peuple successivement soumis aux dominations ottomane, britannique et aujourd'hui israélienne.
Mais ce que Mohammed Al-Asaad, l'un des plus grands poètes palestiniens, met en cause, c'est la disparition de toute trace qui prouverait l'appartenance de son peuple à cette terre. Cette histoire condamnée - villages effacés ou rayés des cartes -, il revient à la mémoire de lui redonner vie. Procédant à une rigoureuse reconstitution historique des spoliations auxquelles s'est livré l'Etat d'Israël, Joseph Algazy dresse un réquisitoire sans appel contre une politique discriminatoire qui empêche, aujourd'hui plus que jamais, de "discerner la moindre lueur au bout du tunnel" .
Mais ce que Mohammed Al-Asaad, l'un des plus grands poètes palestiniens, met en cause, c'est la disparition de toute trace qui prouverait l'appartenance de son peuple à cette terre. Cette histoire condamnée - villages effacés ou rayés des cartes -, il revient à la mémoire de lui redonner vie. Procédant à une rigoureuse reconstitution historique des spoliations auxquelles s'est livré l'Etat d'Israël, Joseph Algazy dresse un réquisitoire sans appel contre une politique discriminatoire qui empêche, aujourd'hui plus que jamais, de "discerner la moindre lueur au bout du tunnel" .