Prosper Mérimée est né en septembre 1803 à Paris. Il est mort à Cannes en septembre 1870. D’origine française, il est un archéologue, un écrivain et un historien. Il a fait de longues études et est non seulement titulaire d’une licence en droit, mais aussi détenteur d’un certificat musical de fin d’études. Il maîtrise l’anglais, l’arabe, le grec et le russe. Les parents de Prosper disposent d’un solide bagage littéraire et intellectuel qui lui a permis de porter un certain intérêt à la littérature.
Dès 1825, il commence à publier ses premières œuvres. « La Vénus d'Ille » est l’une de ses nouvelles les plus fameuses. L’action se déroule sur Ille-sur-Têt, une ville dans le département des Pyrénées Orientales. Elle met en scène le narrateur (un archéologue), M. de Peyrehorade et sa femme, Alphonse de Peyrehorade ainsi que la Statue de Vénus. Ici, l’auteur nous plonge au cœur de l’histoire fantastique, imaginaire et intrigante d’une statue. Cette statue semble être à l’origine d’accidents, existe-t-il une explication rationnelle à ce phénomène ?
Sensible et émotionnel, Prosper Mérimée n’hésite pas à aborder des thèmes comme la femme, l’amour ou la nature dans ses œuvres. C’est le cas dans l’ouvrage « La perle de Tolède ». C’est une histoire passionnante que vous prendrez beaucoup de plaisir à lire.
Mateo Falcone. Et autres nouvelles de "Mosaïque"
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- Nombre de pages221
- PrésentationBroché
- FormatPoche
- Poids0.165 kg
- Dimensions11,0 cm × 17,8 cm × 1,2 cm
- ISBN2-253-13888-6
- EAN9782253138884
- Date de parution11/09/2003
- CollectionLe Livre de Poche
- ÉditeurLGF/Livre de Poche
Résumé
Un notable corse qui n'hésite pas à tuer son fils coupable d'avoir dénoncé un bandit aux gendarmes, un roi de Suède qui prophétise l'assassinat de son successeur, un jeune officier insouciant qui découvre les horreurs de la guerre, une révolte sur un négrier, un combat naval où l'on expie une déloyauté aux cartes, des matadors mourants. Dans les nouvelles de " Mosaïque ", Mérimée fait le tableau de l'énergie individuelle poussée à son comble, en crimes et en vertus.
Même les salons des gens du monde, dans le murmure banal des conversations, bruissent des tortures du remords et de la jalousie, s'illuminent de brusques envies de meurtre. Et pour dire tout cela, pour raconter au lecteur intelligent et complice les forces des passions et l'ironie du sort, une simplicité parfaite et continue, qui serre la vérité au plus près, un style dépouillé et bref, qui rend chaque trait essentiel.
Mérimée sait que la bonne littérature ne se paie pas de mots.
Même les salons des gens du monde, dans le murmure banal des conversations, bruissent des tortures du remords et de la jalousie, s'illuminent de brusques envies de meurtre. Et pour dire tout cela, pour raconter au lecteur intelligent et complice les forces des passions et l'ironie du sort, une simplicité parfaite et continue, qui serre la vérité au plus près, un style dépouillé et bref, qui rend chaque trait essentiel.
Mérimée sait que la bonne littérature ne se paie pas de mots.
Un notable corse qui n'hésite pas à tuer son fils coupable d'avoir dénoncé un bandit aux gendarmes, un roi de Suède qui prophétise l'assassinat de son successeur, un jeune officier insouciant qui découvre les horreurs de la guerre, une révolte sur un négrier, un combat naval où l'on expie une déloyauté aux cartes, des matadors mourants. Dans les nouvelles de " Mosaïque ", Mérimée fait le tableau de l'énergie individuelle poussée à son comble, en crimes et en vertus.
Même les salons des gens du monde, dans le murmure banal des conversations, bruissent des tortures du remords et de la jalousie, s'illuminent de brusques envies de meurtre. Et pour dire tout cela, pour raconter au lecteur intelligent et complice les forces des passions et l'ironie du sort, une simplicité parfaite et continue, qui serre la vérité au plus près, un style dépouillé et bref, qui rend chaque trait essentiel.
Mérimée sait que la bonne littérature ne se paie pas de mots.
Même les salons des gens du monde, dans le murmure banal des conversations, bruissent des tortures du remords et de la jalousie, s'illuminent de brusques envies de meurtre. Et pour dire tout cela, pour raconter au lecteur intelligent et complice les forces des passions et l'ironie du sort, une simplicité parfaite et continue, qui serre la vérité au plus près, un style dépouillé et bref, qui rend chaque trait essentiel.
Mérimée sait que la bonne littérature ne se paie pas de mots.