La doctrine de Marx, en dépit des tragédies qui ont accompagné sa mise en oeuvre au XXe siècle, continue de recueillir la faveur de nombreux intellectuels pour qui elle seule a posé les bases d'une conception scientifique de l'histoire et donc d'une critique efficace du système capitaliste. Qu'en est-il en réalité ? Scientificité et efficacité sont-elles avérées ? La première partie de cet ouvrage s'efforce, après d'autres, de répondre à cette question, n'en appelant qu'aux textes de Marx.
Cependant, vraie ou fausse, cette doctrine a aussi introduit dans la pensée philosophique un thème assez nouveau, qui a pris une importance décisive, celui du "sens de l'histoire". La seconde partie de l'ouvrage examine ce thème dans la lumière de la tradition chrétienne. Mais, qu'on ne se méprenne pas ! Il ne s'agit pas de confronter la conception marxiste à celle du christianisme. Le souci de l'auteur est autre : étant donné la "nature" du temps, lieu de l'histoire, à quelles conditions est-il philosophiquement possible de concevoir un "sens de l'histoire" ? Question qui nous entraîne vers des horizons peu fréquentés et nous amène à l'ultime interrogation : en quoi la figure du Christ est-elle la clé métaphysique du mystère du temps ?
La doctrine de Marx, en dépit des tragédies qui ont accompagné sa mise en oeuvre au XXe siècle, continue de recueillir la faveur de nombreux intellectuels pour qui elle seule a posé les bases d'une conception scientifique de l'histoire et donc d'une critique efficace du système capitaliste. Qu'en est-il en réalité ? Scientificité et efficacité sont-elles avérées ? La première partie de cet ouvrage s'efforce, après d'autres, de répondre à cette question, n'en appelant qu'aux textes de Marx.
Cependant, vraie ou fausse, cette doctrine a aussi introduit dans la pensée philosophique un thème assez nouveau, qui a pris une importance décisive, celui du "sens de l'histoire". La seconde partie de l'ouvrage examine ce thème dans la lumière de la tradition chrétienne. Mais, qu'on ne se méprenne pas ! Il ne s'agit pas de confronter la conception marxiste à celle du christianisme. Le souci de l'auteur est autre : étant donné la "nature" du temps, lieu de l'histoire, à quelles conditions est-il philosophiquement possible de concevoir un "sens de l'histoire" ? Question qui nous entraîne vers des horizons peu fréquentés et nous amène à l'ultime interrogation : en quoi la figure du Christ est-elle la clé métaphysique du mystère du temps ?