Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
La femme occidentale n'a pas obtenu plus de droits grâce à la Bible ou à une nouvelle interprétation de celle-ci, mais en raison des nouvelles exigences...
Lire la suite
Livré chez vous entre le 26 septembre et le 1 octobre
En librairie
Résumé
La femme occidentale n'a pas obtenu plus de droits grâce à la Bible ou à une nouvelle interprétation de celle-ci, mais en raison des nouvelles exigences que pose la société moderne. Sans perdre de vue la spécificité socio-historique des pays de confession islamique, la femme arabo-musulmane doit, elle aussi, obtenir ses droits. Cela ne relève pas non plus d'une meilleure interprétation du Coran, mais, comme ce fut le cas en Occident, d'une demande concrète de la société d'aujourd'hui. La seule et juste façon de sortir du dilemme actuel est de retirer des mains des représentants de la Sharî'a le droit de législation - ou de regard - dans le domaine du statut personnel. La prise d'une telle décision est devenue la responsabilité et le devoir des gouvernements arabes. Tant que persistera l'infériorité juridique de la femme musulmane, ce seront donc les autorités politiques, et avec elles la plupart des intellectuels arabes, qu'il faudra réprouver et non pas les anciens savants islamiques ni même les ulémas-législateurs actuels, qui, eux, ne peuvent pas faire volontairement abstraction de la Sharî'a. Nous sommes très conscients que le pas à franchir dans cette question très sensible est considérable. Mais nous savons aussi que c'est une condition sine qua non pour que les pays islamiques puissent rester dans le dialogue avec le reste du monde à propos des Droits de l'Homme et des lois internationales. Le caractère sacré du Coran n'en sera aucunement altéré et ces pays n'auront aucune raison de craindre la perte de leur identité islamique.