Maison de deuil, maison de liesse ?. The House of Mirth d'Edith Wharton

Par : Marc Amfreville, Carol J. Singley

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  • Nombre de pages200
  • PrésentationBroché
  • Poids0.3 kg
  • Dimensions14,0 cm × 21,0 cm × 1,0 cm
  • ISBN978-2-9540919-4-5
  • EAN9782954091945
  • Date de parution01/11/2013
  • ÉditeurFahrenheit

Résumé

Maison de deuil, maison de liesse ? propose une lecture riche et approfondie du chef-d'oeuvre d'Edith Wharton, The House of Mirth (1905), à travers trois études critiques distinctes, qui s'intéressent aussi bien à sa genèse qu'aux nombreuses interprétations qu'il a suscitées (dont celle de Terence Davies dans l'adaptation filmique qu'il a réalisée en 2000). Dans une première partie en anglais - From Context To Text - Carol J Singley offre une synthèse biographique et critique qui replace la vie et l'oeuvre de la romancière dans leur contexte esthétique, philosophique, socio-économique, historique et théorique, et éclaire habilement les liens secrets et les passages dérobés entre l'une et l'autre.
Dans la partie centrale de l'ouvrage, en français, Marc Amfreville se livre à une véritable auscultation critique du roman à travers la question de son inscription générique. Il donne ainsi à voir comment l'explication naturaliste, l'expressivité du romance, la poésie tragique et l'art de la suggestion moderniste tissent chacune leurs fils distincts pour produire une étoffe, ici synonyme d'envergure et de valeur, comme on dit d'un personnage qu'il a "de l'étoffe".
L'analyse thématique ("du roman de moeurs au naturalisme", "du conte de fées au romance" etc.) s'appuie sur l'analyse détaillée de scènes clés du roman ("ouverture", "avant-dernière rencontre", etc.), et permet d'en dévoiler progressivement toute la force enténébrée. Loin de la chronique mondaine, The House en Mirth est en effet si profondément traversé par la mort, que même l'image de la " Maison de deuil " semble impropre à traduire sa profonde et mystérieuse mélancolie.
La troisième partie est consacrée au passage du roman au film. Zachary Baqué y envisage l'adaptation filmique du roman par Terence Davies, d'abord sous l'angle des inévitables contraintes économiques liées à sa production, puis sous celui du travail de transfert et d'adaptation aux spécificités du médium-cible, et enfin de façon autonome, en tant que film indépendant de sa source littéraire.
Maison de deuil, maison de liesse ? propose une lecture riche et approfondie du chef-d'oeuvre d'Edith Wharton, The House of Mirth (1905), à travers trois études critiques distinctes, qui s'intéressent aussi bien à sa genèse qu'aux nombreuses interprétations qu'il a suscitées (dont celle de Terence Davies dans l'adaptation filmique qu'il a réalisée en 2000). Dans une première partie en anglais - From Context To Text - Carol J Singley offre une synthèse biographique et critique qui replace la vie et l'oeuvre de la romancière dans leur contexte esthétique, philosophique, socio-économique, historique et théorique, et éclaire habilement les liens secrets et les passages dérobés entre l'une et l'autre.
Dans la partie centrale de l'ouvrage, en français, Marc Amfreville se livre à une véritable auscultation critique du roman à travers la question de son inscription générique. Il donne ainsi à voir comment l'explication naturaliste, l'expressivité du romance, la poésie tragique et l'art de la suggestion moderniste tissent chacune leurs fils distincts pour produire une étoffe, ici synonyme d'envergure et de valeur, comme on dit d'un personnage qu'il a "de l'étoffe".
L'analyse thématique ("du roman de moeurs au naturalisme", "du conte de fées au romance" etc.) s'appuie sur l'analyse détaillée de scènes clés du roman ("ouverture", "avant-dernière rencontre", etc.), et permet d'en dévoiler progressivement toute la force enténébrée. Loin de la chronique mondaine, The House en Mirth est en effet si profondément traversé par la mort, que même l'image de la " Maison de deuil " semble impropre à traduire sa profonde et mystérieuse mélancolie.
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