Mai 68 : l'éruption postmoderne
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- Nombre de pages196
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.239 kg
- Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 1,5 cm
- ISBN978-2-343-15154-0
- EAN9782343151540
- Date de parution21/06/2018
- CollectionQuestions contemporaines
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Mai 68 : une révolte étudiante contre une société conservatrice ? Un mouvement social d'ampleur inégalée comptant 10 millions de grévistes ? Le signe d'une crise de civilisation ? Un demi-siècle plus tard, le bilan doit être établi à partir des évolutions marquantes de la société française. L'auteur tente de prendre la mesure du changement dont Mai 68 témoigne. Il perçoit dans la remise en cause de la société une onde de choc qui a modifié en profondeur les mentalités en France.
Les courants révolutionnaires apparus en Mai 68 ont, sur le mode convulsif de la révolte, ouvert la voie à des innovations en rupture avec les canons de la modernité. Mai 81 a relayé ce mouvement en permettant à la "génération 68" d'accéder au pouvoir, devenant la "génération Mitterrand". Les grandes catégories du "politiquement correct" se sont alors élaborées pour marquer une nouvelle étape : la postmodernité.
En étudiant la filiation des idées d'alors et l'état de la France aujourd'hui il pointe les contradictions et les impasses où les idées dominantes de la postmodernité ont conduit la France et l'Occident en général. Soucieux de ne pas céder au catastrophisme, l'auteur se livre à une mise en perspective historiosophique. Mai 68 est ambivalent dans la signification qu'il porte. Il esquisse le passage à une nouvelle ère dans la vie de l'Occident et une nouvelle voie dans le destin du monde.
L'espérance, selon le proverbe russe, n'est-elle pas ce qui meurt en dernier ?
Les courants révolutionnaires apparus en Mai 68 ont, sur le mode convulsif de la révolte, ouvert la voie à des innovations en rupture avec les canons de la modernité. Mai 81 a relayé ce mouvement en permettant à la "génération 68" d'accéder au pouvoir, devenant la "génération Mitterrand". Les grandes catégories du "politiquement correct" se sont alors élaborées pour marquer une nouvelle étape : la postmodernité.
En étudiant la filiation des idées d'alors et l'état de la France aujourd'hui il pointe les contradictions et les impasses où les idées dominantes de la postmodernité ont conduit la France et l'Occident en général. Soucieux de ne pas céder au catastrophisme, l'auteur se livre à une mise en perspective historiosophique. Mai 68 est ambivalent dans la signification qu'il porte. Il esquisse le passage à une nouvelle ère dans la vie de l'Occident et une nouvelle voie dans le destin du monde.
L'espérance, selon le proverbe russe, n'est-elle pas ce qui meurt en dernier ?
Mai 68 : une révolte étudiante contre une société conservatrice ? Un mouvement social d'ampleur inégalée comptant 10 millions de grévistes ? Le signe d'une crise de civilisation ? Un demi-siècle plus tard, le bilan doit être établi à partir des évolutions marquantes de la société française. L'auteur tente de prendre la mesure du changement dont Mai 68 témoigne. Il perçoit dans la remise en cause de la société une onde de choc qui a modifié en profondeur les mentalités en France.
Les courants révolutionnaires apparus en Mai 68 ont, sur le mode convulsif de la révolte, ouvert la voie à des innovations en rupture avec les canons de la modernité. Mai 81 a relayé ce mouvement en permettant à la "génération 68" d'accéder au pouvoir, devenant la "génération Mitterrand". Les grandes catégories du "politiquement correct" se sont alors élaborées pour marquer une nouvelle étape : la postmodernité.
En étudiant la filiation des idées d'alors et l'état de la France aujourd'hui il pointe les contradictions et les impasses où les idées dominantes de la postmodernité ont conduit la France et l'Occident en général. Soucieux de ne pas céder au catastrophisme, l'auteur se livre à une mise en perspective historiosophique. Mai 68 est ambivalent dans la signification qu'il porte. Il esquisse le passage à une nouvelle ère dans la vie de l'Occident et une nouvelle voie dans le destin du monde.
L'espérance, selon le proverbe russe, n'est-elle pas ce qui meurt en dernier ?
Les courants révolutionnaires apparus en Mai 68 ont, sur le mode convulsif de la révolte, ouvert la voie à des innovations en rupture avec les canons de la modernité. Mai 81 a relayé ce mouvement en permettant à la "génération 68" d'accéder au pouvoir, devenant la "génération Mitterrand". Les grandes catégories du "politiquement correct" se sont alors élaborées pour marquer une nouvelle étape : la postmodernité.
En étudiant la filiation des idées d'alors et l'état de la France aujourd'hui il pointe les contradictions et les impasses où les idées dominantes de la postmodernité ont conduit la France et l'Occident en général. Soucieux de ne pas céder au catastrophisme, l'auteur se livre à une mise en perspective historiosophique. Mai 68 est ambivalent dans la signification qu'il porte. Il esquisse le passage à une nouvelle ère dans la vie de l'Occident et une nouvelle voie dans le destin du monde.
L'espérance, selon le proverbe russe, n'est-elle pas ce qui meurt en dernier ?
















