Madame Hemingway

Par : Paula McLain
Définitivement indisponible
Cet article ne peut plus être commandé sur notre site (ouvrage épuisé ou plus commercialisé). Il se peut néanmoins que l'éditeur imprime une nouvelle édition de cet ouvrage à l'avenir. Nous vous invitons donc à revenir périodiquement sur notre site.
  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages478
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.472 kg
  • Dimensions13,9 cm × 20,6 cm × 3,1 cm
  • ISBN978-2-283-02531-4
  • EAN9782283025314
  • Date de parution02/02/2012
  • ÉditeurBuchet-Chastel
  • TraducteurSophie Bastide-Foltz

Résumé

Chicago, octobre 1920. Sur un air de jazz de la Nouvelle- Orléans, la douce Hadley Richardson, tout juste arrivée du Missouri, rencontre un garçon de vingt ans, grand, svelte, cheveux noirs et yeux noisette. Avec à la joue droite, une irresistible fossette. Il s'appelle Ernest Hemingway et fascine l'assistance par ses récits sur la Grande Guerre dont il est rentré blessé… Hadley succombe aux yeux de braise du jeune homme.

Elle a vingt-huit ans, elle ignore tout du jazz mais joue Rachmaninov avec passion… Après un mariage éclair, les Hemingway, follement amoureux, embarquent le 8 décembre 1921 à bord du Leopoldina pour Paris la trépidante. Ils se retrouvent vite au coeur d'une "génération perdue" d'écrivains anglo-saxons expatriés où figurent déjà Gertrude Stein, Ezra Pound, James Joyce et Scott Fitzgerald… Rive gauche, entre l'alcool qui coule à flots et la cocaïne, la guerre des ego, les couples qui se font et se défont et la beauté des femmes, Ernest travaille à son premier roman : Le soleil se lève aussi, qui lui apportera consécration et argent.

Mais à quel prix ? Hadley, la fille du Midwest, droite et fidèle à ses valeurs, saura-t-elle répondre aux exigences et aux excès de l'écrivain le plus important de sa génération ? Pourra-t-elle rester sa muse, sa complice, son épouse… surtout face à la belle Pauline Pfeiffer au corps de liane ?
Chicago, octobre 1920. Sur un air de jazz de la Nouvelle- Orléans, la douce Hadley Richardson, tout juste arrivée du Missouri, rencontre un garçon de vingt ans, grand, svelte, cheveux noirs et yeux noisette. Avec à la joue droite, une irresistible fossette. Il s'appelle Ernest Hemingway et fascine l'assistance par ses récits sur la Grande Guerre dont il est rentré blessé… Hadley succombe aux yeux de braise du jeune homme.

Elle a vingt-huit ans, elle ignore tout du jazz mais joue Rachmaninov avec passion… Après un mariage éclair, les Hemingway, follement amoureux, embarquent le 8 décembre 1921 à bord du Leopoldina pour Paris la trépidante. Ils se retrouvent vite au coeur d'une "génération perdue" d'écrivains anglo-saxons expatriés où figurent déjà Gertrude Stein, Ezra Pound, James Joyce et Scott Fitzgerald… Rive gauche, entre l'alcool qui coule à flots et la cocaïne, la guerre des ego, les couples qui se font et se défont et la beauté des femmes, Ernest travaille à son premier roman : Le soleil se lève aussi, qui lui apportera consécration et argent.

Mais à quel prix ? Hadley, la fille du Midwest, droite et fidèle à ses valeurs, saura-t-elle répondre aux exigences et aux excès de l'écrivain le plus important de sa génération ? Pourra-t-elle rester sa muse, sa complice, son épouse… surtout face à la belle Pauline Pfeiffer au corps de liane ?

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

4.1/5
sur 11 notes dont 2 avis lecteurs
Paris est-il une fête ?
Madame Hemingway est le roman de la première épouse du grand écrivain de la Génération Perdue, celle qu’il rencontra en 1920. Le roman commence par cette rencontre, même s’il revient ensuite sur les antécédents des deux jeunes gens. Hadley Richardson a vingt-huit ans lorsque, chez son amie Kate, elle rencontre ce beau garçon, « grand et mince, avec d’abondants cheveux bruns et, à la joue gauche, une fossette à tomber dedans ». Il est plus jeune qu’elle, à peine vingt ans, et il revient de la guerre où il a été blessé en Italie, et a connu son premier amour. Ernest lui propose, moins d’un an plus tard, le mariage, et de le suivre en Italie. C’est finalement à Paris qu’ils iront, vivant dans un appartement très modeste que Hadley entretient, et où elle s’exerce au piano, pendant qu’Ernest va écrire dans les cafés ou dans une chambre de bonne. Ils fréquentent d’autres écrivains de la même génération, Gertrude Stein, Ezra Pound, James Joyce, et surtout le couple formé par Francis et Zelda Fitzgerald. Hadley, bien qu’étant la muse, la confidente, se sent mal à l’aise et inférieure au milieu de ce cercle d’écrivains. Ils passent une partie de l’hiver en Suisse, vont pour les besoins d’écriture d’Hemingway aux courses de chevaux ou à la féria de Pampelune, suivent les Fitzgerald sur la Côte d’Azur… J’ai passionnément dévoré ce roman, et beaucoup apprécié le point de vue d’Hadley Richardson choisi par l’auteur, qui la fait s’exprimer, et analyser ses sentiments, sentiments profonds mais mis à rude épreuve par le tempérament d’Ernest. Pour compléter ma lecture, et comme je n’avais pas envie de les quitter, j’ai complété par la relecture de Paris est une fête, et son point de vue fort différent a éclairé cette période d’une tout autre lumière. Les deux sont à lire, ensemble ou séparément, à Paris ou ailleurs !
Madame Hemingway est le roman de la première épouse du grand écrivain de la Génération Perdue, celle qu’il rencontra en 1920. Le roman commence par cette rencontre, même s’il revient ensuite sur les antécédents des deux jeunes gens. Hadley Richardson a vingt-huit ans lorsque, chez son amie Kate, elle rencontre ce beau garçon, « grand et mince, avec d’abondants cheveux bruns et, à la joue gauche, une fossette à tomber dedans ». Il est plus jeune qu’elle, à peine vingt ans, et il revient de la guerre où il a été blessé en Italie, et a connu son premier amour. Ernest lui propose, moins d’un an plus tard, le mariage, et de le suivre en Italie. C’est finalement à Paris qu’ils iront, vivant dans un appartement très modeste que Hadley entretient, et où elle s’exerce au piano, pendant qu’Ernest va écrire dans les cafés ou dans une chambre de bonne. Ils fréquentent d’autres écrivains de la même génération, Gertrude Stein, Ezra Pound, James Joyce, et surtout le couple formé par Francis et Zelda Fitzgerald. Hadley, bien qu’étant la muse, la confidente, se sent mal à l’aise et inférieure au milieu de ce cercle d’écrivains. Ils passent une partie de l’hiver en Suisse, vont pour les besoins d’écriture d’Hemingway aux courses de chevaux ou à la féria de Pampelune, suivent les Fitzgerald sur la Côte d’Azur… J’ai passionnément dévoré ce roman, et beaucoup apprécié le point de vue d’Hadley Richardson choisi par l’auteur, qui la fait s’exprimer, et analyser ses sentiments, sentiments profonds mais mis à rude épreuve par le tempérament d’Ernest. Pour compléter ma lecture, et comme je n’avais pas envie de les quitter, j’ai complété par la relecture de Paris est une fête, et son point de vue fort différent a éclairé cette période d’une tout autre lumière. Les deux sont à lire, ensemble ou séparément, à Paris ou ailleurs !
  • Emouvant
Magnifique portrait de femme !
je viens de terminer ce roman magnifique sur la vie de la première femme d'Hemingway. Un roman poignant qui vous fait passer par de nombreuses émotions : la joie, la folie, la désinvolture, la tristesse, la haine, le dégoût, la pitié... autant d'émotions qui vous font vivre les 5 années de vie commune d'Hadley Richardson et d'Ernest Hemingway. Une vie bouleversante qui vous fait détester Hemingway, dépeint comme un monstre d'égoïsme, bipolaire, infidèle et ne ressentant aucune empathie... N'ayant que sa carrière comme préoccupation, suivant son instinct sans même se rendre compte du mal qu'il pouvait faire autour de lui. J'ai fermé ce livre en me disant que Hadley avait bien fait de divorcer de cet homme infecte pour vivre une vie heureuse et harmonieuse avec Paul Mowrer et que finalement, Pauline Pfeiffer a eu tout ce qu'elle méritait en se faisant elle aussi plaquer !
je viens de terminer ce roman magnifique sur la vie de la première femme d'Hemingway. Un roman poignant qui vous fait passer par de nombreuses émotions : la joie, la folie, la désinvolture, la tristesse, la haine, le dégoût, la pitié... autant d'émotions qui vous font vivre les 5 années de vie commune d'Hadley Richardson et d'Ernest Hemingway. Une vie bouleversante qui vous fait détester Hemingway, dépeint comme un monstre d'égoïsme, bipolaire, infidèle et ne ressentant aucune empathie... N'ayant que sa carrière comme préoccupation, suivant son instinct sans même se rendre compte du mal qu'il pouvait faire autour de lui. J'ai fermé ce livre en me disant que Hadley avait bien fait de divorcer de cet homme infecte pour vivre une vie heureuse et harmonieuse avec Paul Mowrer et que finalement, Pauline Pfeiffer a eu tout ce qu'elle méritait en se faisant elle aussi plaquer !
  • Passionnant
  • XXe siècle
  • Paris
  • Chicago
  • Madrid
  • Bouleversant
  • Enivrant
  • Antibes
  • Hadley Richardson
L'aviatrice
4/5
Paula McLain
E-book
12,99 €
L'aviatrice
4/5
Paula McLain
Poche
8,70 €
La troisième Hemingway
5/5
Paula McLain
E-book
13,99 €
Love & Ruin
Paula McLain
E-book
3,99 €
Circling the Sun
Paula McLain
E-book
3,49 €
Madame Hemingway
4.1/5
Paula McLain
E-book
8,49 €
The Company She Keeps
Mary McCarthy, Paula McLain
E-book
3,99 €
The Paris Wife
Paula McLain
E-book
3,99 €
A Ticket to Ride
Paula McLain
E-book
7,99 €
Love & Ruin
Paula McLain
Grand Format
15,40 €