Ma culture, c'est les mains. La quête identitaire des sourds au Québec

Par : Charles Gaucher
  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages183
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.26 kg
  • Dimensions15,0 cm × 23,0 cm × 1,0 cm
  • ISBN978-2-7637-8938-5
  • EAN9782763789385
  • Date de parution01/06/2009
  • CollectionSociétés, cultures et santé
  • ÉditeurPresses Université Laval
  • PréfacierHenri-Jacques Stiker

Résumé

"Revenir aux sourds eux-mêmes ne consiste pas seulement à analyser la sémantique de leurs diverses langues des signes (LSQ, LSF, et toutes les autres) - démarche somme toute assez récente que Mottez pratiquait, mais spécialement développée par l'anthropologue Yves Delaporte -, il faut aussi prendre en compte ce que Charles Gaucher nomme les fondements expérientiels de l'identité sourde. Sous ce titre, il montre comment se construit cette identité irrécusable et indispensable, mais pourtant plus souple qu'un discours convenu le laisserait penser.
Ces analyses sont pleines d'aspects inattendus et sont révélatrices de pratiques originales. C'est un vrai régal de pénétrer ainsi dans le quotidien et l'inventivité des sourds". "La culture des mains, pour reprendre le titre suggestif de Charles Gaucher, qui est déploiement dans le visuel, possède la légèreté de la danse et la plasticité du geste. Il serait contradictoire d'en faire le symbole d'une fixité et d'un repli sur soi." (Extraits de la préface de Henri-Jacques Stiker).
"Revenir aux sourds eux-mêmes ne consiste pas seulement à analyser la sémantique de leurs diverses langues des signes (LSQ, LSF, et toutes les autres) - démarche somme toute assez récente que Mottez pratiquait, mais spécialement développée par l'anthropologue Yves Delaporte -, il faut aussi prendre en compte ce que Charles Gaucher nomme les fondements expérientiels de l'identité sourde. Sous ce titre, il montre comment se construit cette identité irrécusable et indispensable, mais pourtant plus souple qu'un discours convenu le laisserait penser.
Ces analyses sont pleines d'aspects inattendus et sont révélatrices de pratiques originales. C'est un vrai régal de pénétrer ainsi dans le quotidien et l'inventivité des sourds". "La culture des mains, pour reprendre le titre suggestif de Charles Gaucher, qui est déploiement dans le visuel, possède la légèreté de la danse et la plasticité du geste. Il serait contradictoire d'en faire le symbole d'une fixité et d'un repli sur soi." (Extraits de la préface de Henri-Jacques Stiker).