Coup de coeur

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  • PrésentationBroché
  • FormatPoche
  • Poids0.301 kg
  • Dimensions1,3 cm × 1,9 cm × 0,3 cm
  • ISBN979-10-226-1236-4
  • EAN9791022612364
  • Date de parution03/06/2022
  • CollectionSuites
  • ÉditeurMétailié

Résumé

A vingt ans, à la naissance de son enfant, Luz commence à avoir des doutes sur ses origines, elle suit son intuition dans une recherche qui lui révélera l'histoire de son pays, l'Argentine. En 1975, sa mère, détenue politique, a accouché en prison. La petite fille a été donnée à la famille d'un des responsables de la répression. Personne n'a su d'où venait Luz, à l'exception de Myriam, la compagne d'un des tortionnaires, qui s'est liée d'amitié avec la prisonnière et a juré de protéger l'enfant.
Luz mène son enquête depuis sa situation troublante d'enfant que personne n'a jamais recherchée. Un thriller loin des clichés dans lequel l'amour cherche la vérité.
A vingt ans, à la naissance de son enfant, Luz commence à avoir des doutes sur ses origines, elle suit son intuition dans une recherche qui lui révélera l'histoire de son pays, l'Argentine. En 1975, sa mère, détenue politique, a accouché en prison. La petite fille a été donnée à la famille d'un des responsables de la répression. Personne n'a su d'où venait Luz, à l'exception de Myriam, la compagne d'un des tortionnaires, qui s'est liée d'amitié avec la prisonnière et a juré de protéger l'enfant.
Luz mène son enquête depuis sa situation troublante d'enfant que personne n'a jamais recherchée. Un thriller loin des clichés dans lequel l'amour cherche la vérité.

Avis libraires
Commentaires laissés par les libraires

2 Coups de cœur
de nos libraires
FabienDecitre Part-Dieu
5/5
A veinte años, Luz
Luz arrive à Madrid avec Ramiro et son fils, elle fixe un rendez-vous à un homme ; elle lui raconte son histoire... «Sur le chemin de ses souvenirs elle était arrivée à l'entrée d'un couloir sombre (...) ». La première partie revient sur l'année 1976, la dictature règne en Argentine : enlèvements, tortures, disparitions, assassinats arbitraires, tout cela s'exerçant en toute impunité par les castes aisées de la junte militaire. Dans la deuxième partie, c'est la période trouble de l'après dictature, tandis que la plupart des criminels sont absous, un mouvement courageux - les Grand-Mères de la Place de Mai - manifeste sa volonté de faire toute la lumière sur le destin des membres de leur famille qui ont disparus. La troisième partie revient aux années 95-98, cette partie-là est plus centrée sur l'enquête proprement dite, comment Luz parvient à remettre ensemble les chaînons manquants de son existence, « il y avait un vide, un manque de quelque chose que je ne connaissais pas. Comme la peur quand il n'y a pas de danger précis. Quelque chose d'informe qui me guette tout le temps », elle y met toute son énergie afin de ne pas se perdre et découvrir enfin qui elle est. La narration s'attache à raconter les origines de Luz, l'histoire des différents acteurs de son destin tragique, comme un exemple sublimé de l'histoire de tout un pays. Le récit est construit, par des retours dans le passé, alternant le point de vue des différents acteurs, à la première ou à la troisième personne, l'italique servant aux commentaires de Luz et de Carlos durant la relation qu'elle est en train de lui faire. Le roman voit intervenir différents couples dont les agissements nous font découvrir un large spectre de la nature humaine, du plus ignoble au plus honorable, l'écriture d'Osorio est toute simple, sans pathos, elle dégage une émotion d'une force qui emporte complètement le lecteur. Lire ce livre c'est comme se pencher sur une abîme de ténèbres qui nous paraît sans fond, on y plonge, s'enfonçant dans une horreur insoutenable, et soudain une petite lumière remonte vers nous, elle nous prend par la main et nous ramène vers la surface. On referme ce livre heureux mais la gorge serrée, les garçons ne pleurent pas ? C'est bien connu, mais c'est des conneries... « C'est sans doute difficile à comprendre, mais cette recherche de mes origines, de mon identité, ne tient pas à la douleur mais à mon bonheur, parce que si je n'étais pas aussi heureuse, je n'aurais pas la force de m'enfoncer dans ces couloirs sombres, et tu y es pour beaucoup, Ramiro, sans toi je ne serais pas en train de me chercher, non seulement à cause de ce que tu m'as raconté, mais de tout ce que je vis avec toi, ton amour, ton amitié inconditionnelle, ton habileté à m'aider, à réfléchir, cette façon de me comprendre et de m'accepter sans me juger, ces câlins géniaux que tu me fais, et quand on fait l'amour (…) C'est de là, de ce lieu, de l'amour et du bonheur (…) que je cherche la vérité ».
Luz arrive à Madrid avec Ramiro et son fils, elle fixe un rendez-vous à un homme ; elle lui raconte son histoire... «Sur le chemin de ses souvenirs elle était arrivée à l'entrée d'un couloir sombre (...) ». La première partie revient sur l'année 1976, la dictature règne en Argentine : enlèvements, tortures, disparitions, assassinats arbitraires, tout cela s'exerçant en toute impunité par les castes aisées de la junte militaire. Dans la deuxième partie, c'est la période trouble de l'après dictature, tandis que la plupart des criminels sont absous, un mouvement courageux - les Grand-Mères de la Place de Mai - manifeste sa volonté de faire toute la lumière sur le destin des membres de leur famille qui ont disparus. La troisième partie revient aux années 95-98, cette partie-là est plus centrée sur l'enquête proprement dite, comment Luz parvient à remettre ensemble les chaînons manquants de son existence, « il y avait un vide, un manque de quelque chose que je ne connaissais pas. Comme la peur quand il n'y a pas de danger précis. Quelque chose d'informe qui me guette tout le temps », elle y met toute son énergie afin de ne pas se perdre et découvrir enfin qui elle est. La narration s'attache à raconter les origines de Luz, l'histoire des différents acteurs de son destin tragique, comme un exemple sublimé de l'histoire de tout un pays. Le récit est construit, par des retours dans le passé, alternant le point de vue des différents acteurs, à la première ou à la troisième personne, l'italique servant aux commentaires de Luz et de Carlos durant la relation qu'elle est en train de lui faire. Le roman voit intervenir différents couples dont les agissements nous font découvrir un large spectre de la nature humaine, du plus ignoble au plus honorable, l'écriture d'Osorio est toute simple, sans pathos, elle dégage une émotion d'une force qui emporte complètement le lecteur. Lire ce livre c'est comme se pencher sur une abîme de ténèbres qui nous paraît sans fond, on y plonge, s'enfonçant dans une horreur insoutenable, et soudain une petite lumière remonte vers nous, elle nous prend par la main et nous ramène vers la surface. On referme ce livre heureux mais la gorge serrée, les garçons ne pleurent pas ? C'est bien connu, mais c'est des conneries... « C'est sans doute difficile à comprendre, mais cette recherche de mes origines, de mon identité, ne tient pas à la douleur mais à mon bonheur, parce que si je n'étais pas aussi heureuse, je n'aurais pas la force de m'enfoncer dans ces couloirs sombres, et tu y es pour beaucoup, Ramiro, sans toi je ne serais pas en train de me chercher, non seulement à cause de ce que tu m'as raconté, mais de tout ce que je vis avec toi, ton amour, ton amitié inconditionnelle, ton habileté à m'aider, à réfléchir, cette façon de me comprendre et de m'accepter sans me juger, ces câlins géniaux que tu me fais, et quand on fait l'amour (…) C'est de là, de ce lieu, de l'amour et du bonheur (…) que je cherche la vérité ».
5/5
En Argentine, de nos jours. Luz, une jeune femme tout juste mère décide de partir à la recherche de ses origines : fille de disparus, elle a été élevée par une famille proche de la dictature militaire. Elsa Osario décrit avec justesse le déchirement de Luz partagée entre ses deux familles, ses sentiments et ses convictions. En partant à la recherche de celle qui lui a donné la vie, elle va découvrir sa mère à travers le récit de ceux qui l'ont aidée, mais aussi un pan douloureux de l'histoire de l'Argentine.
En Argentine, de nos jours. Luz, une jeune femme tout juste mère décide de partir à la recherche de ses origines : fille de disparus, elle a été élevée par une famille proche de la dictature militaire. Elsa Osario décrit avec justesse le déchirement de Luz partagée entre ses deux familles, ses sentiments et ses convictions. En partant à la recherche de celle qui lui a donné la vie, elle va découvrir sa mère à travers le récit de ceux qui l'ont aidée, mais aussi un pan douloureux de l'histoire de l'Argentine.

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

4.8/5
sur 12 notes dont 3 avis lecteurs
Vingt ans pour parvenir à la lumière
Luz est née à Buenos Aires en 1976, au début de la dictature militaire en Argentine. Ce n’est qu’à ses vingt ans, à la naissance de son fils, qu’elle commence à s’interroger sur ses origines. Et si elle n’était pas la petite-fille d’un lieutenant-colonel aux mains sales, mais l’un de ces enfants de « disparus » à qui l’on a volé l’identité ? Commence pour elle une quête difficile, aboutissant à sa rencontre, en 1998, avec son père biologique, opposant politique réfugié à Madrid. Ce livre est le récit de cette fille à son père de tout ce qu’il lui a fallu démêler pour comprendre son histoire et celle de son pays, et, pour, enfin, le retrouver. Usant d’une technique narrative efficace et d’un ton sobre exempt de tout pathos, la narration dévoile peu à peu les méthodes d’extermination utilisées par la junte argentine au nom d’un national-catholicisme justifiant une répression massive, organisée et systématique, des opposants. Des dizaines de milliers de personnes disparurent sans autre forme de procès - parfois de simples adolescents protestant contre les frais d’inscription universitaires -, torturées et exécutées dans des centres clandestins de détention. Des centaines de bébés furent volés à leur naissance dans ces prisons, et, adoptés sous une fausse identité par des familles en mal d’enfant proches du gouvernement, font aujourd’hui encore l’objet de recherches, sous l’égide de l’association des Grands-mères de la Place de mai. Au-delà des atrocités commises, la narration souligne la terreur vécue pendant ces « temps sauvages », l’épaisseur d’un mensonge institutionnalisé qui, quand ce livre paraît, pèse encore sur la société argentine, au travers de situations familiales complexes, douloureuses et violentes, alors qu’après la chute du régime, le gouvernement a amnistié la plupart des militaires impliqués par la Loi de l’Obéissance Due – loi que ne devait être abrogée qu’en 2003 – et que menaces et meurtres ont toujours cours pour réduire au silence les personnes trop entreprenantes dans leur quête de vérité. Dénonciation d’un génocide qui a usé des enfants des détenus assassinés comme de butins de guerre, mais surtout du silence et de la peur qui, en cette fin des années quatre-vingt-dix, entravaient encore la recherche de leur identité, ce livre illustre l’importance et le courage de tous ceux qui, les Grands-Mères en tête, continuent à oeuvrer pour restituer les enfants volés à leurs familles légitimes et pour faire condamner les responsables de ces crimes contre l’humanité. Alors, peut-être, deuil et chagrin pourront-ils un jour être surmontés, fermant, pour les générations futures, le chapitre d’une douleur aggravée par l’impunité des coupables. Coup de coeur.
Luz est née à Buenos Aires en 1976, au début de la dictature militaire en Argentine. Ce n’est qu’à ses vingt ans, à la naissance de son fils, qu’elle commence à s’interroger sur ses origines. Et si elle n’était pas la petite-fille d’un lieutenant-colonel aux mains sales, mais l’un de ces enfants de « disparus » à qui l’on a volé l’identité ? Commence pour elle une quête difficile, aboutissant à sa rencontre, en 1998, avec son père biologique, opposant politique réfugié à Madrid. Ce livre est le récit de cette fille à son père de tout ce qu’il lui a fallu démêler pour comprendre son histoire et celle de son pays, et, pour, enfin, le retrouver. Usant d’une technique narrative efficace et d’un ton sobre exempt de tout pathos, la narration dévoile peu à peu les méthodes d’extermination utilisées par la junte argentine au nom d’un national-catholicisme justifiant une répression massive, organisée et systématique, des opposants. Des dizaines de milliers de personnes disparurent sans autre forme de procès - parfois de simples adolescents protestant contre les frais d’inscription universitaires -, torturées et exécutées dans des centres clandestins de détention. Des centaines de bébés furent volés à leur naissance dans ces prisons, et, adoptés sous une fausse identité par des familles en mal d’enfant proches du gouvernement, font aujourd’hui encore l’objet de recherches, sous l’égide de l’association des Grands-mères de la Place de mai. Au-delà des atrocités commises, la narration souligne la terreur vécue pendant ces « temps sauvages », l’épaisseur d’un mensonge institutionnalisé qui, quand ce livre paraît, pèse encore sur la société argentine, au travers de situations familiales complexes, douloureuses et violentes, alors qu’après la chute du régime, le gouvernement a amnistié la plupart des militaires impliqués par la Loi de l’Obéissance Due – loi que ne devait être abrogée qu’en 2003 – et que menaces et meurtres ont toujours cours pour réduire au silence les personnes trop entreprenantes dans leur quête de vérité. Dénonciation d’un génocide qui a usé des enfants des détenus assassinés comme de butins de guerre, mais surtout du silence et de la peur qui, en cette fin des années quatre-vingt-dix, entravaient encore la recherche de leur identité, ce livre illustre l’importance et le courage de tous ceux qui, les Grands-Mères en tête, continuent à oeuvrer pour restituer les enfants volés à leurs familles légitimes et pour faire condamner les responsables de ces crimes contre l’humanité. Alors, peut-être, deuil et chagrin pourront-ils un jour être surmontés, fermant, pour les générations futures, le chapitre d’une douleur aggravée par l’impunité des coupables. Coup de coeur.
« Combien d’enfants disparus, combien dont on ignore l’existence. »
Luz, née en 1976 en Argentine pendant la dictature militaire, raconte comment elle a découvert qui étaient ses vrais parents. [...] Des années plus tard, Luz raconte la vérité sur sa naissance et sur ses vrais parents. Elle raconte l’impuissance et la douleur des familles dans une époque où rêver de démocratie était une condamnation à mort. Elle raconte l’aveuglement de ceux qui sont proches du pouvoir et qui refusent de voir que l’épuration est perpétrée par leurs maris, leurs pères, leurs frères. Elle raconte aussi l’acharnement des Grands-mères de la place de Mai qui ont tenté de retrouver les enfants disparus, même si peu d’entre eux ont été révélés sous leur vraie identité. On découvre très tôt qui sont les vrais parents de Luz, Elsa Osorio a choisi de raconter les événements de manière chronologique. La teneur du roman n’est pas : qui sont ses vrais parents, mais plutôt, comment va-t-elle remonter la piste de ses origines ? Il n’empêche que l’intensité est au rendez-vous, même si davantage d’éléments historiques concernant la dictature méritaient leur place. D’entrée de jeu, Luz nous plonge dans ses origines obscures, sans répit ni poésie, délivrant la parole de ses parents, de ses oncles et tantes, sur vingt ans d’histoire, usant parfois du “tu” qui dévore le lecteur dans ces horreurs. Voilà donc un roman fort qui fait remonter à la surface les « temps sauvages » de l’Argentine largement impunis, et qu’il ne faut pas effacer des mémoires, d’autant que des horreurs pareilles arrivent encore dans le monde. Si vous vous intéressez à l’Argentine, un détour par ce livre s’impose ! L'article entier sur mon blog : http://www.bibliolingus.fr/luz-ou-le-temps-sauvage-elsa-osorio-a107816780
Luz, née en 1976 en Argentine pendant la dictature militaire, raconte comment elle a découvert qui étaient ses vrais parents. [...] Des années plus tard, Luz raconte la vérité sur sa naissance et sur ses vrais parents. Elle raconte l’impuissance et la douleur des familles dans une époque où rêver de démocratie était une condamnation à mort. Elle raconte l’aveuglement de ceux qui sont proches du pouvoir et qui refusent de voir que l’épuration est perpétrée par leurs maris, leurs pères, leurs frères. Elle raconte aussi l’acharnement des Grands-mères de la place de Mai qui ont tenté de retrouver les enfants disparus, même si peu d’entre eux ont été révélés sous leur vraie identité. On découvre très tôt qui sont les vrais parents de Luz, Elsa Osorio a choisi de raconter les événements de manière chronologique. La teneur du roman n’est pas : qui sont ses vrais parents, mais plutôt, comment va-t-elle remonter la piste de ses origines ? Il n’empêche que l’intensité est au rendez-vous, même si davantage d’éléments historiques concernant la dictature méritaient leur place. D’entrée de jeu, Luz nous plonge dans ses origines obscures, sans répit ni poésie, délivrant la parole de ses parents, de ses oncles et tantes, sur vingt ans d’histoire, usant parfois du “tu” qui dévore le lecteur dans ces horreurs. Voilà donc un roman fort qui fait remonter à la surface les « temps sauvages » de l’Argentine largement impunis, et qu’il ne faut pas effacer des mémoires, d’autant que des horreurs pareilles arrivent encore dans le monde. Si vous vous intéressez à l’Argentine, un détour par ce livre s’impose ! L'article entier sur mon blog : http://www.bibliolingus.fr/luz-ou-le-temps-sauvage-elsa-osorio-a107816780
  • XXe siècle
A lire absolument!!!!
C'est un roman qui se démarque par l'originalité de sa rédaction. En effet, Luz est installée dans un café avec Carlos, son père biologique et lui raconte son histoire. Et l'histoire est "coupée" de passages en italique représentant la conversation présente entre Luz et Carlos faite de commentaires sur des passages de l'histoire racontée par Luz. Ce choix rédactionnel est un peu surprenant au départ et il faut un temps d'adaptation. Mais une fois habitué à ce mode de narration, on entre parfaitement dans le roman et l'histoire devient passionnante, émouvante et on ne peut lâcher Luz et l'histoire de sa vie. Le style est fluide et même si l'écriture est simple, l'auteur parvient parfaitement à faire passer les sentiments des personnages et le caractère dramatique des situations. De plus il n'y a aucune longueur, le rythme n'est pas forcément très actif mais il est continu ce qui facilite la lecture. Chaque passage est important pour comprendre l'intégralité de l'histoire, l'époque, les circonstances et les motivations de chacun. Les personnages sont très bien décrits et très attachants. Même les "méchants" s'attirent un peu de sympathie car quand bien même leurs actes sont hautement répréhensibles, ils peuvent être "justifiés" par l'amour. Bref, c'est un excellent roman qui se lit avec émotion du début à la fin et qu'il est impossible de lâcher avant la dernière ligne. A lire absolument!!!
C'est un roman qui se démarque par l'originalité de sa rédaction. En effet, Luz est installée dans un café avec Carlos, son père biologique et lui raconte son histoire. Et l'histoire est "coupée" de passages en italique représentant la conversation présente entre Luz et Carlos faite de commentaires sur des passages de l'histoire racontée par Luz. Ce choix rédactionnel est un peu surprenant au départ et il faut un temps d'adaptation. Mais une fois habitué à ce mode de narration, on entre parfaitement dans le roman et l'histoire devient passionnante, émouvante et on ne peut lâcher Luz et l'histoire de sa vie. Le style est fluide et même si l'écriture est simple, l'auteur parvient parfaitement à faire passer les sentiments des personnages et le caractère dramatique des situations. De plus il n'y a aucune longueur, le rythme n'est pas forcément très actif mais il est continu ce qui facilite la lecture. Chaque passage est important pour comprendre l'intégralité de l'histoire, l'époque, les circonstances et les motivations de chacun. Les personnages sont très bien décrits et très attachants. Même les "méchants" s'attirent un peu de sympathie car quand bien même leurs actes sont hautement répréhensibles, ils peuvent être "justifiés" par l'amour. Bref, c'est un excellent roman qui se lit avec émotion du début à la fin et qu'il est impossible de lâcher avant la dernière ligne. A lire absolument!!!
  • Passionnant
  • Eblouissant
  • Bouleversant
Luz ou le temps sauvage
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