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Tous les secrets de Lovecraft n'ont pas encore été révélés... En trois histoires courtes, les deux maîtres du Manoir Keyhouse, Joe Hill et Gabriel Rodriguez, vous invitent à un voyage dans le temps et l'espace, et lèvent le voile sur les mystères qui entourent les clés et la famille Locke : Open the Moon ! Nommée au Eisner Award 2012 de la meilleure histoire courte Retrouvez la famille Locke le temps d'une nuit d'été aussi tragique que magique, où une nouvelle clé révèle un pouvoir fantastique : celui d'ouvrir la Lune...
Grindhouse ! Des gangsters s'attaquent à la famille Locke, sans savoir que Keyhouse recèle de mystères bien plus redoutables qu'eux... Une histoire grinçante et pleine de suspens, et un habile clin d'oeil aux romans noirs et aux films de série B. In the Can Où l'on prend quelques nouvelles de Bode, Kinsey et Tyler Locke. Immense succès en libraire adapté sur Netflix, Locke & Key déroule le parcours mouvementé de ses héros en six volumes et un recueil d'histoires courtes, bientôt suivis de nouvelles aventures.
" Rarement une bande dessinée aura été autant maîtrisée du début à la fin, avec un scénario ingénieux et une puissance émotionnelle jamais démentie. " Le Figaro " Toute l'habileté de Joe Hill consiste à brouiller les cartes, à ouvrir des pans de récit jusqu'au dernier acte. Rodriguez, lui, insuffle une puissance aux clés, dont chaque apparition donne lieu à une explosion visuelle. " Libération
Encore plus de Keyhouse !!!
Si vous aviez aimé les Locke and key, n’hésitez pas à lire les hors-séries !
La première en particulier. Si les histoires de cette maison sont souvent sombre, celle-ci est son côté lumineux.
Bienvenue dans Keyhouse, dans la ville de Lovecraft, cette fois en 1912, alors que le père Locke, tente comme il peut de prolonger la vie de son fils mourant. Et de lui offrir une chance de vivre une aventure fantastique, avant qu’il ne soit trop tard. Une belle histoire, pleine de poésie fantastique (et steampunk aussi).
J’ai beaucoup aimé.
Suivie de Grindhouse, beaucoup moins poétique. Mais j’aime quand les bourreaux se retrouvent les victimes ! Muahahaha !