Lettres choisies

Par : David Herbert Lawrence
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  • Nombre de pages384
  • PrésentationBroché
  • FormatPoche
  • Poids0.195 kg
  • Dimensions11,0 cm × 17,0 cm × 1,5 cm
  • ISBN2-7436-1576-1
  • EAN9782743615765
  • Date de parution13/09/2006
  • CollectionPetite Bibliothèque
  • ÉditeurRivages poche
  • TraducteurThérèse Aubray
  • PréfacierAldous Huxley
  • AnnotateurHenri Fluchère

Résumé

""Vos lettres font autant d'effet qu'une visite agréable". Lettre à Ernest Collings, 1913 "Je dis toujours que ma devise c'est : L'art pour moi". Ces mots sont tirés d'une lettre de Lawrence avant la guerre. Pour Lawrence (Eastwood, 1885 - Vence, 1930), la vie était une incessante convalescence ; c'était comme si chaque jour de son existence, il renaissait d'une maladie mortelle. Il voyait plus qu'un être humain ne devrait voir.
Peut-être est-ce pourquoi il détestait tant l'humanité. C'est pourquoi, aussi, il l'aimait tant. Car où il regardât, il apercevait plus qu'un être humain ne devrait apercevoir ; et par conséquent, aimait et haïssait davantage. Il se trouvait que Lawrence avait un don extraordinaire pour établir des relations intimes avec presque tous ceux qu'il rencontrait. Maiss
""Vos lettres font autant d'effet qu'une visite agréable". Lettre à Ernest Collings, 1913 "Je dis toujours que ma devise c'est : L'art pour moi". Ces mots sont tirés d'une lettre de Lawrence avant la guerre. Pour Lawrence (Eastwood, 1885 - Vence, 1930), la vie était une incessante convalescence ; c'était comme si chaque jour de son existence, il renaissait d'une maladie mortelle. Il voyait plus qu'un être humain ne devrait voir.
Peut-être est-ce pourquoi il détestait tant l'humanité. C'est pourquoi, aussi, il l'aimait tant. Car où il regardât, il apercevait plus qu'un être humain ne devrait apercevoir ; et par conséquent, aimait et haïssait davantage. Il se trouvait que Lawrence avait un don extraordinaire pour établir des relations intimes avec presque tous ceux qu'il rencontrait. Maiss
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