Lettres choisies

Par : David Herbert Lawrence
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  • Nombre de pages384
  • PrésentationBroché
  • FormatPoche
  • Poids0.195 kg
  • Dimensions11,0 cm × 17,0 cm × 1,5 cm
  • ISBN2-7436-1576-1
  • EAN9782743615765
  • Date de parution13/09/2006
  • CollectionPetite Bibliothèque
  • ÉditeurRivages poche
  • TraducteurThérèse Aubray
  • PréfacierAldous Huxley
  • AnnotateurHenri Fluchère

Résumé

«Trop souvent réduit à un livre sulfureux, D H Lawrence reste un inconnu célèbre. La lecture de sa correspondance devrait l'arracher aux images toutes faites : puritain scandaleux, prophète apocalyptique, apôtre préfasciste de la violence ou mystique du sexe, autant d'étiquettes qui ont souvent brouillé son message. A la différence de celles de Joyce ou de Virginia Woolf, ses lettres ont une rare qualité de jaillissement dans leur violence même.
Chez un être qui mena toujours une vie de nomade, elles sont l'équivalent du journal qu'il était incapable de tenir et donnent à entendre une voix dans toutes ses dissonances. Que ce soit l'imprécateur féroce qui traite Joyce de «cochonnerie journalistique», le visionnaire aux accents à la fois bibliques et nietzschéens, fasciné par le primitif et hanté par la barbarie, l'utopiste social qui veut construire «une grande architecture d'êtres vivants», ou le poète de la «conscience phallique», Lawrence parle ici tout entier dans la moindre de ses phrases, faisant fi des ruses et stratégies, appliquant à lui-même la règle qu'il recommande à Dorothy Brett : «Tout ce qui est partiel est une trahison».
André Topia.
«Trop souvent réduit à un livre sulfureux, D H Lawrence reste un inconnu célèbre. La lecture de sa correspondance devrait l'arracher aux images toutes faites : puritain scandaleux, prophète apocalyptique, apôtre préfasciste de la violence ou mystique du sexe, autant d'étiquettes qui ont souvent brouillé son message. A la différence de celles de Joyce ou de Virginia Woolf, ses lettres ont une rare qualité de jaillissement dans leur violence même.
Chez un être qui mena toujours une vie de nomade, elles sont l'équivalent du journal qu'il était incapable de tenir et donnent à entendre une voix dans toutes ses dissonances. Que ce soit l'imprécateur féroce qui traite Joyce de «cochonnerie journalistique», le visionnaire aux accents à la fois bibliques et nietzschéens, fasciné par le primitif et hanté par la barbarie, l'utopiste social qui veut construire «une grande architecture d'êtres vivants», ou le poète de la «conscience phallique», Lawrence parle ici tout entier dans la moindre de ses phrases, faisant fi des ruses et stratégies, appliquant à lui-même la règle qu'il recommande à Dorothy Brett : «Tout ce qui est partiel est une trahison».
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