Prix Nobel de Littérature
Lettres aux années de nostalgie
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- Nombre de pages480
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.485 kg
- Dimensions14,2 cm × 20,5 cm × 3,0 cm
- ISBN2-07-072707-6
- EAN9782070727070
- Date de parution01/02/1993
- CollectionDu monde entier
- ÉditeurGallimard
Résumé
Dans ce nouvel ouvrage, plus proche de l'autobiographie que du roman, Kenzaburô Oé emprunte à sa propre vie, à sa famille, à son village natal, à son passé sentimental, littéraire et politique, de nombreux éléments, toutefois transfigurés par son art de conteur. Il s'interroge sur la relation passionnée et tourmentée qui l'a uni à un homme mystérieux, à la fois maître et démon, qu'il surnomme Frère-Gii.
Frère-Gii, ce fut d'abord l'aîné qui, chaque après-midi d'un été désormais lointain, lui apprit à réfléchir, à lire, à découvrir la poésie anglaise. Ce fut le critique impitoyable de chacune des publications d'Oé. Ce fut aussi celui qui vécut de l'autre côté, en prison, purgeant une peine pour un crime que peut-être il ne commit jamais. Ce fut enfin l'initiateur d'un projet de rénovation de la vallée.
Mais le roman révèle davantage : grand connaisseur de Dante, Frère-Gii conduit l'auteur à lire tout destin humain comme la traversée d'un miroir, à la recherche d'un autre monde. Une interprétation originale de La Divine Comédie parcourt, en effet, tout le récit dont chaque épisode, pourtant lié à l'histoire personnelle de l'auteur et à l'histoire politique du Japon, a son équivalent dans le cheminement de Dante et de Virgile.
Oé va et vient entre sa propre expérience (qui nous entraîne jusqu'au Mexique) et les visions de son guide sévère, insaisissable et toujours présent.
Frère-Gii, ce fut d'abord l'aîné qui, chaque après-midi d'un été désormais lointain, lui apprit à réfléchir, à lire, à découvrir la poésie anglaise. Ce fut le critique impitoyable de chacune des publications d'Oé. Ce fut aussi celui qui vécut de l'autre côté, en prison, purgeant une peine pour un crime que peut-être il ne commit jamais. Ce fut enfin l'initiateur d'un projet de rénovation de la vallée.
Mais le roman révèle davantage : grand connaisseur de Dante, Frère-Gii conduit l'auteur à lire tout destin humain comme la traversée d'un miroir, à la recherche d'un autre monde. Une interprétation originale de La Divine Comédie parcourt, en effet, tout le récit dont chaque épisode, pourtant lié à l'histoire personnelle de l'auteur et à l'histoire politique du Japon, a son équivalent dans le cheminement de Dante et de Virgile.
Oé va et vient entre sa propre expérience (qui nous entraîne jusqu'au Mexique) et les visions de son guide sévère, insaisissable et toujours présent.
Dans ce nouvel ouvrage, plus proche de l'autobiographie que du roman, Kenzaburô Oé emprunte à sa propre vie, à sa famille, à son village natal, à son passé sentimental, littéraire et politique, de nombreux éléments, toutefois transfigurés par son art de conteur. Il s'interroge sur la relation passionnée et tourmentée qui l'a uni à un homme mystérieux, à la fois maître et démon, qu'il surnomme Frère-Gii.
Frère-Gii, ce fut d'abord l'aîné qui, chaque après-midi d'un été désormais lointain, lui apprit à réfléchir, à lire, à découvrir la poésie anglaise. Ce fut le critique impitoyable de chacune des publications d'Oé. Ce fut aussi celui qui vécut de l'autre côté, en prison, purgeant une peine pour un crime que peut-être il ne commit jamais. Ce fut enfin l'initiateur d'un projet de rénovation de la vallée.
Mais le roman révèle davantage : grand connaisseur de Dante, Frère-Gii conduit l'auteur à lire tout destin humain comme la traversée d'un miroir, à la recherche d'un autre monde. Une interprétation originale de La Divine Comédie parcourt, en effet, tout le récit dont chaque épisode, pourtant lié à l'histoire personnelle de l'auteur et à l'histoire politique du Japon, a son équivalent dans le cheminement de Dante et de Virgile.
Oé va et vient entre sa propre expérience (qui nous entraîne jusqu'au Mexique) et les visions de son guide sévère, insaisissable et toujours présent.
Frère-Gii, ce fut d'abord l'aîné qui, chaque après-midi d'un été désormais lointain, lui apprit à réfléchir, à lire, à découvrir la poésie anglaise. Ce fut le critique impitoyable de chacune des publications d'Oé. Ce fut aussi celui qui vécut de l'autre côté, en prison, purgeant une peine pour un crime que peut-être il ne commit jamais. Ce fut enfin l'initiateur d'un projet de rénovation de la vallée.
Mais le roman révèle davantage : grand connaisseur de Dante, Frère-Gii conduit l'auteur à lire tout destin humain comme la traversée d'un miroir, à la recherche d'un autre monde. Une interprétation originale de La Divine Comédie parcourt, en effet, tout le récit dont chaque épisode, pourtant lié à l'histoire personnelle de l'auteur et à l'histoire politique du Japon, a son équivalent dans le cheminement de Dante et de Virgile.
Oé va et vient entre sa propre expérience (qui nous entraîne jusqu'au Mexique) et les visions de son guide sévère, insaisissable et toujours présent.