Prix Nobel de Littérature
Notes de Hiroshima
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- Nombre de pages273
- FormatePub
- ISBN978-2-07-246191-0
- EAN9782072461910
- Date de parution16/09/2013
- Protection num.Adobe DRM
- Taille532 Ko
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurEditions Gallimard
- TraducteurDominique Palmé
Résumé
En août 1963, Kenzaburô Ôé, alors brillant écrivain de vingt-huit ans, part à Hiroshima faire un reportage sur la neuvième Conférence mondiale contre les armes nucléaires. Indifférent à la politique politicienne, il est immédiatement sensible aux témoignages des oubliés du 6 août 1945, écartelés entre le "devoir de mémoire" et le "droit de se taire" : vieillards condamnés à la solitude, femmes défigurées, responsables de la presse locale et, surtout, médecins luttant contre le syndrome des atomisés, dont la rencontre allait bouleverser son ouvre et sa vie.
Dans leur héroïsme quotidien, leur refus de succomber à la tentation du suicide, Ôé voit l'image même de la dignité. Quel sens donner à une vie détruite ? Qu'avons-nous retenu de la catastrophe nucléaire ? "À moins d'adopter l'attitude de celui qui ne veut rien voir, rien dire et rien entendre, demande-t-il, qui d'entre nous pourra donc en finir avec cette part de Hiroshima que nous portons en nous-mêmes ?" À aucune de ces questions, toujours d'actualité, Ôé n'apporte de réponse.
Il s'interroge, nous interroge. Ainsi confère-t-il à son reportage la dimension d'un traité d'humanisme d'une portée universelle. Prix Nobel de Littérature
Dans leur héroïsme quotidien, leur refus de succomber à la tentation du suicide, Ôé voit l'image même de la dignité. Quel sens donner à une vie détruite ? Qu'avons-nous retenu de la catastrophe nucléaire ? "À moins d'adopter l'attitude de celui qui ne veut rien voir, rien dire et rien entendre, demande-t-il, qui d'entre nous pourra donc en finir avec cette part de Hiroshima que nous portons en nous-mêmes ?" À aucune de ces questions, toujours d'actualité, Ôé n'apporte de réponse.
Il s'interroge, nous interroge. Ainsi confère-t-il à son reportage la dimension d'un traité d'humanisme d'une portée universelle. Prix Nobel de Littérature
En août 1963, Kenzaburô Ôé, alors brillant écrivain de vingt-huit ans, part à Hiroshima faire un reportage sur la neuvième Conférence mondiale contre les armes nucléaires. Indifférent à la politique politicienne, il est immédiatement sensible aux témoignages des oubliés du 6 août 1945, écartelés entre le "devoir de mémoire" et le "droit de se taire" : vieillards condamnés à la solitude, femmes défigurées, responsables de la presse locale et, surtout, médecins luttant contre le syndrome des atomisés, dont la rencontre allait bouleverser son ouvre et sa vie.
Dans leur héroïsme quotidien, leur refus de succomber à la tentation du suicide, Ôé voit l'image même de la dignité. Quel sens donner à une vie détruite ? Qu'avons-nous retenu de la catastrophe nucléaire ? "À moins d'adopter l'attitude de celui qui ne veut rien voir, rien dire et rien entendre, demande-t-il, qui d'entre nous pourra donc en finir avec cette part de Hiroshima que nous portons en nous-mêmes ?" À aucune de ces questions, toujours d'actualité, Ôé n'apporte de réponse.
Il s'interroge, nous interroge. Ainsi confère-t-il à son reportage la dimension d'un traité d'humanisme d'une portée universelle. Prix Nobel de Littérature
Dans leur héroïsme quotidien, leur refus de succomber à la tentation du suicide, Ôé voit l'image même de la dignité. Quel sens donner à une vie détruite ? Qu'avons-nous retenu de la catastrophe nucléaire ? "À moins d'adopter l'attitude de celui qui ne veut rien voir, rien dire et rien entendre, demande-t-il, qui d'entre nous pourra donc en finir avec cette part de Hiroshima que nous portons en nous-mêmes ?" À aucune de ces questions, toujours d'actualité, Ôé n'apporte de réponse.
Il s'interroge, nous interroge. Ainsi confère-t-il à son reportage la dimension d'un traité d'humanisme d'une portée universelle. Prix Nobel de Littérature