Né à Prague le 3 décembre 1875, Rainer Maria Rilke mène une existence errante et solitaire malgré ses rencontres avec Lou Andreas-Salomé en 1896 et Clara Westhoff, élève de Rodin qu'il épouse en 1901. Secrétaire de Rodin, puis traducteur de Gide, il meurt en Suisse le 29 décembre 1926.
Lettres à une amie vénitienne. [1907-1912
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- Nombre de pages91
- PrésentationBroché
- FormatPoche
- Poids0.12 kg
- Dimensions12,6 cm × 19,1 cm × 0,8 cm
- ISBN2-07-070365-7
- EAN9782070703654
- Date de parution01/05/1985
- CollectionArcades
- ÉditeurGallimard
Résumé
Ces lettres qui sont inédites, même en Allemagne, n'ont été publiées que dans une édition restreinte en Italie, pendant la dernière guerre.
Rilke, âgé à l'époque d'une trentaine d'années, a été très amoureux d'une jeune Vénitienne d'une grande beauté. Ces lettres écrites en français entre 1907 et 1912, sont envoyées au cours de voyages incessants, aussi bien de Paris que de Capri, de Brême ou du Château de Duino.
Chez ce grand poète inquiet, en constant déplacement, on retrouve pourtant ses préoccupations permanentes, ses réflexions sur les poètes et surtout sur la poésie : " C'est effrayant de penser qu'il y ait tant de choses qui se font et se défont avec des mots, enfermés dans l'éternel à-peu-près de leur existence secondaire, indifférents à nos extrêmes besoins ; ils reculent au moment où vous les saisissez, ils ont leur vie à eux et nous la nôtre.
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Ces lettres qui sont inédites, même en Allemagne, n'ont été publiées que dans une édition restreinte en Italie, pendant la dernière guerre.
Rilke, âgé à l'époque d'une trentaine d'années, a été très amoureux d'une jeune Vénitienne d'une grande beauté. Ces lettres écrites en français entre 1907 et 1912, sont envoyées au cours de voyages incessants, aussi bien de Paris que de Capri, de Brême ou du Château de Duino.
Chez ce grand poète inquiet, en constant déplacement, on retrouve pourtant ses préoccupations permanentes, ses réflexions sur les poètes et surtout sur la poésie : " C'est effrayant de penser qu'il y ait tant de choses qui se font et se défont avec des mots, enfermés dans l'éternel à-peu-près de leur existence secondaire, indifférents à nos extrêmes besoins ; ils reculent au moment où vous les saisissez, ils ont leur vie à eux et nous la nôtre.
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