Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
En 1979 paraissaient chez Droz les lettres de Max Jacob à Marcel Jouhandeau. Anne Kimball complète désormais cette correspondance en publiant les lettres...
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Livré chez vous entre le 10 octobre et le 24 octobre
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Résumé
En 1979 paraissaient chez Droz les lettres de Max Jacob à Marcel Jouhandeau. Anne Kimball complète désormais cette correspondance en publiant les lettres que Marcel Jouhandeau a adressées à Max Jacob entre 1923 et 1927, à l'époque de la retraite de ce dernier à Saint-Benoît-sur-Loire, et que l'on croyait perdues. En dépit du souhait de Max Jacob que ses lettres soient détruites après sa disparition, cette correspondance a été conservée à la Bibliothèque nationale de France. Elle fournit des indications biographiques sur Jouhandeau et livre de précieux indices sur son œuvre, notamment sur Les Pincengrain et Monsieur Godeau intime. La personnalité de Jacob se dégage plus précisément ; le rôle qu'il a joué dans certains drames de la vie de Jouhandeau apparaît avec évidence. L'intérêt de leur correspondance se majore des références faites à Cocteau, à Morhange, aux surréalistes, comme aux protagonistes de l'Action Française. Elle souligne enfin la place unique que tiennent les deux hommes dans l'histoire de la littérature française ; comme l'a dit Max Jacob : " Nous sommes des gens d'angle ".