Les Sept Fils du Derviche. Suivi du Manifeste contrelittéraire

Par : Alain Santacreu
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  • Nombre de pages169
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.22 kg
  • Dimensions13,0 cm × 22,0 cm × 1,0 cm
  • ISBN978-2-916492-28-5
  • EAN9782916492285
  • Date de parution08/09/2007
  • CollectionContrelittérature
  • ÉditeurLe Grand Souffle Editions

Résumé

Quand un homme meurt, disent les Upanishads sa parole se résorbe dans le sens intérieur. Cette saveur inconnue d'un post mortem de la parole humaine, Les Sept Fils du. Derviche nous la restitue dans la tradition retrouvée d'un grand récit visionnaire. " L'instant d'avant, pourtant, j'ai atteint le désespoir, le point du souffle, cet orifice vide de la serrure par où l'œil ouvre la porte au-delà. Hagard, je m'abandonne à la mort, jetant un dernier coup d'œil en arrière : la vie me quitte... Suis-je seulement né, moi qui voudrais mourir ? " L'action commence à Toulouse pour se poursuivre à Istanbul et en Mie mineure. Mais, en apparence seulement, car l'évocation progressive de la " caverne aux Sept Dormants " n'est peut-être pas qu'une lointaine légende du passé... Le voyage a d'abord lieu dans le mouvement même du récit, dans cette façon si singulièrement simple, quasi imperceptible et musicale d'emporter son lecteur dans le tourbillon vide en lui faisant danser le Nom du souffle de sa vie.
Quand un homme meurt, disent les Upanishads sa parole se résorbe dans le sens intérieur. Cette saveur inconnue d'un post mortem de la parole humaine, Les Sept Fils du. Derviche nous la restitue dans la tradition retrouvée d'un grand récit visionnaire. " L'instant d'avant, pourtant, j'ai atteint le désespoir, le point du souffle, cet orifice vide de la serrure par où l'œil ouvre la porte au-delà. Hagard, je m'abandonne à la mort, jetant un dernier coup d'œil en arrière : la vie me quitte... Suis-je seulement né, moi qui voudrais mourir ? " L'action commence à Toulouse pour se poursuivre à Istanbul et en Mie mineure. Mais, en apparence seulement, car l'évocation progressive de la " caverne aux Sept Dormants " n'est peut-être pas qu'une lointaine légende du passé... Le voyage a d'abord lieu dans le mouvement même du récit, dans cette façon si singulièrement simple, quasi imperceptible et musicale d'emporter son lecteur dans le tourbillon vide en lui faisant danser le Nom du souffle de sa vie.
Du religieux dans l'art
Alain Santacreu
E-book
14,99 €