Du religieux dans l'art
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- Nombre de pages189
- PrésentationBroché
- Poids0.24 kg
- Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 1,0 cm
- ISBN978-2-296-56937-9
- EAN9782296569379
- Date de parution01/02/2012
- CollectionContrelittérature
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Quel accès peut-on avoir à ce Dieu des Ecritures, à la fois
immanent et transcendant à ses créatures ? Comment le rendre
"visible" à nos coeurs, à nos yeux ? Deux voies s'offrent à
l'homme : l'art et la mystique. Parce que l'art est
nécessairement religieux, sa fonction consiste à provoquer en
l'homme soit la conversion de semblance, soit la perversion de
dissemblance. C'est la présence de l'Esprit, son inhabitation
dans l'homme, qui nous donne la ressemblance et nous met en
conformité avec le Christ.
Le corps et l'âme font l'image ; l'esprit, présence de la grâce incréée, nous fait à la ressemblance. L'homme n'est achevé que lorsqu'il se trouve conforme "à l'image et selon la ressemblance" de Dieu. Dans une optique chrétienne, cet achèvement de l'homme est la fonction de l'art. L'art peut briser en l'homme le lien entre l'image et la ressemblance divine. La dissemblance est une ressemblance coupée de son archétype.
Notre époque aura été celle de la dissemblance. L'homme a obstrué en lui la dimension communielle avec Dieu, il a fermé la voie à la grâce qui, par lui, devait s'épancher sur toute la création : en rejetant le religieux, il a failli à sa vocation artistique.
Le corps et l'âme font l'image ; l'esprit, présence de la grâce incréée, nous fait à la ressemblance. L'homme n'est achevé que lorsqu'il se trouve conforme "à l'image et selon la ressemblance" de Dieu. Dans une optique chrétienne, cet achèvement de l'homme est la fonction de l'art. L'art peut briser en l'homme le lien entre l'image et la ressemblance divine. La dissemblance est une ressemblance coupée de son archétype.
Notre époque aura été celle de la dissemblance. L'homme a obstrué en lui la dimension communielle avec Dieu, il a fermé la voie à la grâce qui, par lui, devait s'épancher sur toute la création : en rejetant le religieux, il a failli à sa vocation artistique.
Quel accès peut-on avoir à ce Dieu des Ecritures, à la fois
immanent et transcendant à ses créatures ? Comment le rendre
"visible" à nos coeurs, à nos yeux ? Deux voies s'offrent à
l'homme : l'art et la mystique. Parce que l'art est
nécessairement religieux, sa fonction consiste à provoquer en
l'homme soit la conversion de semblance, soit la perversion de
dissemblance. C'est la présence de l'Esprit, son inhabitation
dans l'homme, qui nous donne la ressemblance et nous met en
conformité avec le Christ.
Le corps et l'âme font l'image ; l'esprit, présence de la grâce incréée, nous fait à la ressemblance. L'homme n'est achevé que lorsqu'il se trouve conforme "à l'image et selon la ressemblance" de Dieu. Dans une optique chrétienne, cet achèvement de l'homme est la fonction de l'art. L'art peut briser en l'homme le lien entre l'image et la ressemblance divine. La dissemblance est une ressemblance coupée de son archétype.
Notre époque aura été celle de la dissemblance. L'homme a obstrué en lui la dimension communielle avec Dieu, il a fermé la voie à la grâce qui, par lui, devait s'épancher sur toute la création : en rejetant le religieux, il a failli à sa vocation artistique.
Le corps et l'âme font l'image ; l'esprit, présence de la grâce incréée, nous fait à la ressemblance. L'homme n'est achevé que lorsqu'il se trouve conforme "à l'image et selon la ressemblance" de Dieu. Dans une optique chrétienne, cet achèvement de l'homme est la fonction de l'art. L'art peut briser en l'homme le lien entre l'image et la ressemblance divine. La dissemblance est une ressemblance coupée de son archétype.
Notre époque aura été celle de la dissemblance. L'homme a obstrué en lui la dimension communielle avec Dieu, il a fermé la voie à la grâce qui, par lui, devait s'épancher sur toute la création : en rejetant le religieux, il a failli à sa vocation artistique.






