Une histoire de sabres magiques dans un Japon qui jamais ne fut, avec des duels épiques, où les Yokai et autres créatures du folklore japonais sont présent... C'est vrai que tout cela vend du rêve et plante le décor de ce roman d'une très belle manière.
Mais selon moi, la force du roman s'arrête là, écrasée par LE défaut de son histoire : les deux personnages centraux et leur relation ambiguë. Isao vit seul avec son maître Shiro, le Héron Blanc, porteur du Sabre de Neige. On raconte que les Porteurs de Sabres Sacrés servent la volonté des kami. Ils ne sont pas immortels, mais vieillissent différemment, s’éloignant peu à peu de l’humanité... Et le jeune Isao aime éperdument son maître, âgé de 5 siècles ! De plus, celui-ci semble jouer avec les sentiments de son apprenti... Une relation que l'on pourrait qualifier de toxique, ou, en tout cas, qui a de quoi mettre mal à l'aise. De plus, notre personnage principal, Isao, a une forte tendance à se mettre dans le pétrin au début et a espéré que son "beau et parfait Héron Blanc" vienne le sauver... Bref, un personnage très mièvre qui m'a fait soupirer un nombre incalculable de fois (insupportable), au point où je souhaitais pouvoir entrer dans le roman pour le secouer un peu, ou que son maître ne meurt dès le début pour lui faire un électrochoc et le faire avancer.
En conclusion, ce livre est une déception. Il avait de quoi être une réussite : une bonne intrigue, un monde inspiré du Japon qui n'est pas si exploité en Fantasy, l'idée des sabres magiques qui n'est pas inintéressante, et le folklore bien présent ! Mais cela est entaché par une relation Maître/élève trop présente et mal tourné.
Je n'ai pas aimé... Mais le roman peut peut-être plaire aux novices de fantasy, et surtout de Romantasy, fans de l'imagerie japonaise...
Une histoire de sabres magiques dans un Japon qui jamais ne fut, avec des duels épiques, où les Yokai et autres créatures du folklore japonais sont présent... C'est vrai que tout cela vend du rêve et plante le décor de ce roman d'une très belle manière.
Mais selon moi, la force du roman s'arrête là, écrasée par LE défaut de son histoire : les deux personnages centraux et leur relation ambiguë. Isao vit seul avec son maître Shiro, le Héron Blanc, porteur du Sabre de Neige. On raconte que les Porteurs de Sabres Sacrés servent la volonté des kami. Ils ne sont pas immortels, mais vieillissent différemment, s’éloignant peu à peu de l’humanité... Et le jeune Isao aime éperdument son maître, âgé de 5 siècles ! De plus, celui-ci semble jouer avec les sentiments de son apprenti... Une relation que l'on pourrait qualifier de toxique, ou, en tout cas, qui a de quoi mettre mal à l'aise. De plus, notre personnage principal, Isao, a une forte tendance à se mettre dans le pétrin au début et a espéré que son "beau et parfait Héron Blanc" vienne le sauver... Bref, un personnage très mièvre qui m'a fait soupirer un nombre incalculable de fois (insupportable), au point où je souhaitais pouvoir entrer dans le roman pour le secouer un peu, ou que son maître ne meurt dès le début pour lui faire un électrochoc et le faire avancer.
En conclusion, ce livre est une déception. Il avait de quoi être une réussite : une bonne intrigue, un monde inspiré du Japon qui n'est pas si exploité en Fantasy, l'idée des sabres magiques qui n'est pas inintéressante, et le folklore bien présent ! Mais cela est entaché par une relation Maître/élève trop présente et mal tourné.
Je n'ai pas aimé... Mais le roman peut peut-être plaire aux novices de fantasy, et surtout de Romantasy, fans de l'imagerie japonaise...