Les sables bitumineux : la honte du Canada
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- Nombre de pages312
- PrésentationBroché
- Poids0.415 kg
- Dimensions14,0 cm × 21,5 cm × 1,9 cm
- ISBN978-2-923165-68-4
- EAN9782923165684
- Date de parution01/03/2011
- ÉditeurEcosociété (Editions)
- PréfacierThomas Mulcair
- TraducteurMarianne Champagne
Résumé
En entrant dans l'ère du bitume dans les années 1990, le Canada a pris un virage pétrolier d'une capacité de destruction sans précédent. Les sables bitumineux de l'Alberta font partie des derniers gisements pétroliers de la planète et les multinationales avides ont foncé tête baissée dans cette extraction, pour satisfaire notre aveugle dépendance. Pourtant, ce dangereux projet énergétique crée un fardeau écologique, social et économique colossal pour le pays et le reste du monde.
Dans une zone de 140 000 km2 de forêt boréale rasée, qui représente un investissement de plus de 200 milliards de dollars, qui utilise 3 millions de barils d'eau par jour et consomme quotidiennement assez de gaz naturel pour chauffer une ville de 6 millions d'habitants, s'entasse une population croissante, dans des conditions rappelant le Far West. Cette industrie sale et coûteuse ne pourra jamais satisfaire la demande pétrolière actuelle et aggrave considérablement les changements climatiques.
Sa croissance déréglée, encouragée par les États-Unis, fait du Canada un État pétrolier à la santé démocratique aujourd'hui menacée. Nous ne pouvons plus plaider l'ignorance ; le temps est venu de regarder le monstre bitumineux en face. La publication de la version française de l'ouvrage magistral d'Andrew Nikiforuk sur les sables bitumineux constitue un fait marquant dans l'histoire environnementale au Canada.
Ce travail exceptionnellement bien documenté demeure d'abord et avant tout un cri du coeur.
Dans une zone de 140 000 km2 de forêt boréale rasée, qui représente un investissement de plus de 200 milliards de dollars, qui utilise 3 millions de barils d'eau par jour et consomme quotidiennement assez de gaz naturel pour chauffer une ville de 6 millions d'habitants, s'entasse une population croissante, dans des conditions rappelant le Far West. Cette industrie sale et coûteuse ne pourra jamais satisfaire la demande pétrolière actuelle et aggrave considérablement les changements climatiques.
Sa croissance déréglée, encouragée par les États-Unis, fait du Canada un État pétrolier à la santé démocratique aujourd'hui menacée. Nous ne pouvons plus plaider l'ignorance ; le temps est venu de regarder le monstre bitumineux en face. La publication de la version française de l'ouvrage magistral d'Andrew Nikiforuk sur les sables bitumineux constitue un fait marquant dans l'histoire environnementale au Canada.
Ce travail exceptionnellement bien documenté demeure d'abord et avant tout un cri du coeur.
En entrant dans l'ère du bitume dans les années 1990, le Canada a pris un virage pétrolier d'une capacité de destruction sans précédent. Les sables bitumineux de l'Alberta font partie des derniers gisements pétroliers de la planète et les multinationales avides ont foncé tête baissée dans cette extraction, pour satisfaire notre aveugle dépendance. Pourtant, ce dangereux projet énergétique crée un fardeau écologique, social et économique colossal pour le pays et le reste du monde.
Dans une zone de 140 000 km2 de forêt boréale rasée, qui représente un investissement de plus de 200 milliards de dollars, qui utilise 3 millions de barils d'eau par jour et consomme quotidiennement assez de gaz naturel pour chauffer une ville de 6 millions d'habitants, s'entasse une population croissante, dans des conditions rappelant le Far West. Cette industrie sale et coûteuse ne pourra jamais satisfaire la demande pétrolière actuelle et aggrave considérablement les changements climatiques.
Sa croissance déréglée, encouragée par les États-Unis, fait du Canada un État pétrolier à la santé démocratique aujourd'hui menacée. Nous ne pouvons plus plaider l'ignorance ; le temps est venu de regarder le monstre bitumineux en face. La publication de la version française de l'ouvrage magistral d'Andrew Nikiforuk sur les sables bitumineux constitue un fait marquant dans l'histoire environnementale au Canada.
Ce travail exceptionnellement bien documenté demeure d'abord et avant tout un cri du coeur.
Dans une zone de 140 000 km2 de forêt boréale rasée, qui représente un investissement de plus de 200 milliards de dollars, qui utilise 3 millions de barils d'eau par jour et consomme quotidiennement assez de gaz naturel pour chauffer une ville de 6 millions d'habitants, s'entasse une population croissante, dans des conditions rappelant le Far West. Cette industrie sale et coûteuse ne pourra jamais satisfaire la demande pétrolière actuelle et aggrave considérablement les changements climatiques.
Sa croissance déréglée, encouragée par les États-Unis, fait du Canada un État pétrolier à la santé démocratique aujourd'hui menacée. Nous ne pouvons plus plaider l'ignorance ; le temps est venu de regarder le monstre bitumineux en face. La publication de la version française de l'ouvrage magistral d'Andrew Nikiforuk sur les sables bitumineux constitue un fait marquant dans l'histoire environnementale au Canada.
Ce travail exceptionnellement bien documenté demeure d'abord et avant tout un cri du coeur.