Le temps d'un match de football, la finale de la coupe d'Europe 1976 Saint-Étienne – Bayern de Munich, Laurent Seyer nous emmène vers ses contrées lointaines : l'adolescence !
Il y a l'excitation du match, les poils qui se dressent, l'attente infinie du coup d'envoi par monsieur l'arbitre.
Il y a ces frémissements quand le ballon vient heurter le poteau, le frisson de désir de voir son équipe l'emporter;
Il y a cette beauté du spectacle, quand le une-deux devient une arme fatale, le dribble la fusion du corps et de l'espace, la barre transversale un ennemi.
Il y a ces foules qui
se hérissent à la moindre occasion, manquée ou réussie.
Et puis, au milieu de tout ça, il y a l'histoire de ce jeune Nicolas, 13 ans et demi, qui voit un jour de match sa vie se disloquer. Sa mère s'en va. Son père s'installe avec la belle-doche Virginie et son fils répugnant.
Comment combler l'absence de la mère ?
Pour Nicolas, le football, et plus précisément, l'A.S Saint-Étienne.
De rouge, le cœur passe au vert !
Entremêlé de manière très réjouissante à l'intérieur des 90 minutes réglementaires : les souvenirs, les découvertes de soi, la critique acerbe d'un père trop mou pour que l'on puisse s'identifier à lui, le désir d'exister par soi-même, les bribes d'un voyage en Écosse,...
D'une tendresse fébrile servie par une écriture aigre-douce, un très beau roman sur la fièvre footballistique et sur les turpitudes de l'adolescence !
De rouge, le coeur passe au vert !
Le temps d'un match de football, la finale de la coupe d'Europe 1976 Saint-Étienne – Bayern de Munich, Laurent Seyer nous emmène vers ses contrées lointaines : l'adolescence !
Il y a l'excitation du match, les poils qui se dressent, l'attente infinie du coup d'envoi par monsieur l'arbitre.
Il y a ces frémissements quand le ballon vient heurter le poteau, le frisson de désir de voir son équipe l'emporter;
Il y a cette beauté du spectacle, quand le une-deux devient une arme fatale, le dribble la fusion du corps et de l'espace, la barre transversale un ennemi.
Il y a ces foules qui se hérissent à la moindre occasion, manquée ou réussie.
Et puis, au milieu de tout ça, il y a l'histoire de ce jeune Nicolas, 13 ans et demi, qui voit un jour de match sa vie se disloquer. Sa mère s'en va. Son père s'installe avec la belle-doche Virginie et son fils répugnant.
Comment combler l'absence de la mère ?
Pour Nicolas, le football, et plus précisément, l'A.S Saint-Étienne.
De rouge, le cœur passe au vert !
Entremêlé de manière très réjouissante à l'intérieur des 90 minutes réglementaires : les souvenirs, les découvertes de soi, la critique acerbe d'un père trop mou pour que l'on puisse s'identifier à lui, le désir d'exister par soi-même, les bribes d'un voyage en Écosse,...
D'une tendresse fébrile servie par une écriture aigre-douce, un très beau roman sur la fièvre footballistique et sur les turpitudes de l'adolescence !