Les Pères de l'Eglise face à la science médicale de leur temps
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- Nombre de pages582
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.74 kg
- Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 4,5 cm
- ISBN2-7010-1484-0
- EAN9782701014845
- Date de parution18/05/2005
- CollectionThéologie historique
- ÉditeurBeauchesne (éditions)
Résumé
Médecine et médecins occupent une place importante dans la littérature patristique : la culture médicale dans l'Antiquité ne faisait-elle pas partie du "bagage intellectuel" de tout homme cultivé, et le médecin, dans la culture populaire, n'était-il pas une figure aussi familière que celles du paysan, du soldat ou du marin ? Cependant, jugés trop "médicaux" pour les patrologues, trop "théologiques" pour les historiens de la médecine, les exposés physiologiques des Pères ont été quelque peu négligés à ce jour.
C'est cette lacune que se propose de combler le présent colloque, le troisième organisé en commun par l'Institut catholique de Paris et l'Université de Tours, qui ont associé à leur entreprise l'équipe UMR-CNRS "Médecine grecque", dans le dessein d'étudier la physiologie des Pères non seulement pour elle-même, comme une vulgarisation des doctrines élaborées par les différentes écoles de médecine, mais aussi dans le lien qu'elle entretient avec ce qui fait le propre de nos études : la théologie, l'anthropologie et l'éthique.
C'est cette lacune que se propose de combler le présent colloque, le troisième organisé en commun par l'Institut catholique de Paris et l'Université de Tours, qui ont associé à leur entreprise l'équipe UMR-CNRS "Médecine grecque", dans le dessein d'étudier la physiologie des Pères non seulement pour elle-même, comme une vulgarisation des doctrines élaborées par les différentes écoles de médecine, mais aussi dans le lien qu'elle entretient avec ce qui fait le propre de nos études : la théologie, l'anthropologie et l'éthique.
Médecine et médecins occupent une place importante dans la littérature patristique : la culture médicale dans l'Antiquité ne faisait-elle pas partie du "bagage intellectuel" de tout homme cultivé, et le médecin, dans la culture populaire, n'était-il pas une figure aussi familière que celles du paysan, du soldat ou du marin ? Cependant, jugés trop "médicaux" pour les patrologues, trop "théologiques" pour les historiens de la médecine, les exposés physiologiques des Pères ont été quelque peu négligés à ce jour.
C'est cette lacune que se propose de combler le présent colloque, le troisième organisé en commun par l'Institut catholique de Paris et l'Université de Tours, qui ont associé à leur entreprise l'équipe UMR-CNRS "Médecine grecque", dans le dessein d'étudier la physiologie des Pères non seulement pour elle-même, comme une vulgarisation des doctrines élaborées par les différentes écoles de médecine, mais aussi dans le lien qu'elle entretient avec ce qui fait le propre de nos études : la théologie, l'anthropologie et l'éthique.
C'est cette lacune que se propose de combler le présent colloque, le troisième organisé en commun par l'Institut catholique de Paris et l'Université de Tours, qui ont associé à leur entreprise l'équipe UMR-CNRS "Médecine grecque", dans le dessein d'étudier la physiologie des Pères non seulement pour elle-même, comme une vulgarisation des doctrines élaborées par les différentes écoles de médecine, mais aussi dans le lien qu'elle entretient avec ce qui fait le propre de nos études : la théologie, l'anthropologie et l'éthique.