Chronique 4.5*
Voici le volume 6 des enquêtes de Konrad que j’ai le plus aimé, pas loin de 5* d’ailleurs et je remercie les Editions Métailié de la constance avec laquelle ils ont accepté mes demandes au fil des ans avec pourtant une opinion très mitigée sur Konrad et son obsession. Mais je n’imaginais pas abandonner la lecture des polars d’Indridason parce que je n’appréciais pas un personnage.
Le personnage de Konrad m’est donc devenu beaucoup plus sympathique, moins concentré sur lui-même et ses problèmes d’enfance. Ceci a permis de le voir faire une réelle enquête qui ne débouche pas sur une réponse à ses interrogations et d’avoir de vraies relations sociales.
Avec des retours en arrière réguliers, l’auteur raconte les relations de Islande, du Danemark et de l’URSS au temps de la Guerre froide, des idéaux radicaux de jeunes islandais. Un très bon point, le passé façonne un pays et ses habitants et influe sur la vie actuelle et Konrad ne supporte pas la retraite et son oisiveté ! Il met le nez dans les affaires d’un teinturier disparu, d’un vieux cadavre réapparu et déterre des souvenirs et des “affaires” que certains auraient voulu laisser dans l’ombre ! Chantage et corruption ne font pas bon ménage avec la vérité.
J’adore la manière dont Arnaldur Indridason implique son héros, lentement, petit à petit, sans grands effets mais efficacement pour une enquête qui s’avère très intéressante et bien menée, plus “Erlendurienne” en fait !
Merci au traducteur, Eric Boury, qui sait si bien mettre en valeur les écrits de l’auteur !
#LesLendemainsquichantent #NetGalleyFrance
Chronique 4.5*
Voici le volume 6 des enquêtes de Konrad que j’ai le plus aimé, pas loin de 5* d’ailleurs et je remercie les Editions Métailié de la constance avec laquelle ils ont accepté mes demandes au fil des ans avec pourtant une opinion très mitigée sur Konrad et son obsession. Mais je n’imaginais pas abandonner la lecture des polars d’Indridason parce que je n’appréciais pas un personnage.
Le personnage de Konrad m’est donc devenu beaucoup plus sympathique, moins concentré sur lui-même et ses problèmes d’enfance. Ceci a permis de le voir faire une réelle enquête qui ne débouche pas sur une réponse à ses interrogations et d’avoir de vraies relations sociales.
Avec des retours en arrière réguliers, l’auteur raconte les relations de Islande, du Danemark et de l’URSS au temps de la Guerre froide, des idéaux radicaux de jeunes islandais. Un très bon point, le passé façonne un pays et ses habitants et influe sur la vie actuelle et Konrad ne supporte pas la retraite et son oisiveté ! Il met le nez dans les affaires d’un teinturier disparu, d’un vieux cadavre réapparu et déterre des souvenirs et des “affaires” que certains auraient voulu laisser dans l’ombre ! Chantage et corruption ne font pas bon ménage avec la vérité.
J’adore la manière dont Arnaldur Indridason implique son héros, lentement, petit à petit, sans grands effets mais efficacement pour une enquête qui s’avère très intéressante et bien menée, plus “Erlendurienne” en fait !
Merci au traducteur, Eric Boury, qui sait si bien mettre en valeur les écrits de l’auteur !
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