En cours de chargement...
Paolo Poloverdo est un enfant sauvage. Angel Allegria est un assassin sans pitié. Mais quand leurs chemins se croisent, un étrange lien se tisse entre eux... Même les assassins ont des remords. L'homme et la femme Poloverdo avaient un enfant qui poussait comme le reste sur cette terre, c'est-à-dire pas très bien. Il passait ses journées à courir après les serpents. Il avait de la terre sous les ongles, les oreilles décollées à force d'être rabattues par les rafales de vent, et s'appelait Paolo.
Paolo Poloverdo. C'est lui qui vit venir l'homme, là-bas, sur le chemin, par un jour chaud de janvier. Cette fois-là, ce n'était ni un géologue, ni un marchand de voyages, et encore moins un poète. C'était Angel Allegria... .
Au format cadeau comme en poche, un joyau.
Implacable, dur, et pourtant absolument splendide, ce roman d’Anne Laure Bondoux est un de mes souvenirs de lecture les plus puissants, les plus bouleversants, de ceux qui vous hantent longtemps après l’avoir refermé.
Il vous renvoie à ce que l’homme a de pire en lui, mais il sait aussi vous apporter une note d’espoir.
Réflexion profonde sur la violence gratuite, la culpabilité, la rédemption, l’auteure explore sans concession les défaillances de l’être humain dans cette histoire qui prend les tripes et tient le lecteur en apnée du début à la fin.
Devenu un incontournable de la littérature ados, ne laissez passer sous aucun prétexte ce roman magistral.