Original, dépaysant, profond, ce dernier roman d'Anne Laure Bondoux (qui ne m'a jamais déçue) me semble aussi le plus personnel. C'est un conte à la fois sombre et lumineux. Il nous propulse au coeur d'un monde désolé où les hommes n'ont plus grand chose à espérer. Seul l'amour qui lie les deux personnages principaux de l'histoire est une petite lumière. Et les rencontres improbables mais profondément attachantes qui jalonnent leur parcours. Avec un style magnifiquement poétique et puissant, l'auteur nous parle de vies sans cesses chamboulées, où l'imprévu nourrit le quotidien, où la force de vivre et l'amitié permettent d'en surmonter les cotés les plus tragiques, et de s'adapter aux circonstances pour pouvoir avancer et grandir. Et où cette phrase qui revient lancinante dans tout le roman nous plonge dans une réflexion sans fin:"Tu crois qu'il faut toujours perdre une part de soi pour que la vie continue?"
Original, dépaysant, profond, ce dernier roman d'Anne Laure Bondoux (qui ne m'a jamais déçue) me semble aussi le plus personnel. C'est un conte à la fois sombre et lumineux. Il nous propulse au coeur d'un monde désolé où les hommes n'ont plus grand chose à espérer. Seul l'amour qui lie les deux personnages principaux de l'histoire est une petite lumière. Et les rencontres improbables mais profondément attachantes qui jalonnent leur parcours. Avec un style magnifiquement poétique et puissant, l'auteur nous parle de vies sans cesses chamboulées, où l'imprévu nourrit le quotidien, où la force de vivre et l'amitié permettent d'en surmonter les cotés les plus tragiques, et de s'adapter aux circonstances pour pouvoir avancer et grandir. Et où cette phrase qui revient lancinante dans tout le roman nous plonge dans une réflexion sans fin:"Tu crois qu'il faut toujours perdre une part de soi pour que la vie continue?"