Attention, ce roman va très vite, très loin, et très bien !
Vous l’aurez compris, ce thriller sort du cadre. De tous les cadres.
Cette petite pépite de 300 pages se lit à une allure folle, et parvient à nous faire trembler, rire, et surtout réfléchir.
Mais résumons un peu.
- Emploi à pourvoir :
Secrétaire auprès d’un juge d’instruction.
- Description du poste :
Rentrer aussi vite que possible des quantités phénoménales de données dans un logiciel un peu spécial, censé aider la police dans une affaire de disparition d’enfant.
- Candidate :
Émilie. 50 ans. Chômeuse en fin de droits. Veuve. Un adolescent à charge. Habite chez son père, vieux doux-dingue qui perd la tête et fume un peu trop d’herbe.
- L’employeur :
Le juge Tarmon. Proche de la retraite. Accro à sa cigarette électronique. Nerveux. Adepte d’explications aussi concises qu’énigmatique.
- Collègue :
Josiane. Pendant féminin du juge. Aigrie. Jalouse. Aimable comme une porte de prison. Sait préparer le thé.
- AnaCrim :
logiciel « privé » de traitement et de regroupement de données. « Prêté » pour une expérimentation judiciaire, afin de juger de son potentiel.
- Contexte :
Une enfant disparue. Un pays en plein État d’urgence. Un monde proche du point de rupture.
Voilà les ingrédients d’une recette particulièrement réussie.
Jérémy Bouquin nous raconte ici une histoire qui ressemble à s’y méprendre à ce que nous vivons au quotidien.
Sauf qu’il va plus loin. Beaucoup plus loin.
En mettant en parallèle des faits divers (hélas trop fréquents) et une certaine vision de ce vers quoi nous allons pour tenter d’y remédier, il pointe du doigt, non sans humour, les dysfonctionnements d’une société aux abois, adepte de nouvelles technologies au point de se déshumaniser.
Les fans de la génialissime série Person Of Interest se retrouveront complètement dans ce thriller, tout à la fois actuel, visionnaire et particulièrement addictif.
Alors, AnaCrim, est-il le pendant de La Machine ou de Samaritain ?
Demain est-il déjà là ? Ou est-ce... autre chose ?
Pour le savoir, il va vous falloir lire au plus vite ce petit bijou, constamment trépidant, parfois caricatural, et soupoudré d’un soupçon de fantastique.
À ne pas manquer !
Attention, ce roman va très vite, très loin, et très bien !
Vous l’aurez compris, ce thriller sort du cadre. De tous les cadres.
Cette petite pépite de 300 pages se lit à une allure folle, et parvient à nous faire trembler, rire, et surtout réfléchir.
Mais résumons un peu.
- Emploi à pourvoir :
Secrétaire auprès d’un juge d’instruction.
- Description du poste :
Rentrer aussi vite que possible des quantités phénoménales de données dans un logiciel un peu spécial, censé aider la police dans une affaire de disparition d’enfant.
- Candidate :
Émilie. 50 ans. Chômeuse en fin de droits. Veuve. Un adolescent à charge. Habite chez son père, vieux doux-dingue qui perd la tête et fume un peu trop d’herbe.
- L’employeur :
Le juge Tarmon. Proche de la retraite. Accro à sa cigarette électronique. Nerveux. Adepte d’explications aussi concises qu’énigmatique.
- Collègue :
Josiane. Pendant féminin du juge. Aigrie. Jalouse. Aimable comme une porte de prison. Sait préparer le thé.
- AnaCrim :
logiciel « privé » de traitement et de regroupement de données. « Prêté » pour une expérimentation judiciaire, afin de juger de son potentiel.
- Contexte :
Une enfant disparue. Un pays en plein État d’urgence. Un monde proche du point de rupture.
Voilà les ingrédients d’une recette particulièrement réussie.
Jérémy Bouquin nous raconte ici une histoire qui ressemble à s’y méprendre à ce que nous vivons au quotidien.
Sauf qu’il va plus loin. Beaucoup plus loin.
En mettant en parallèle des faits divers (hélas trop fréquents) et une certaine vision de ce vers quoi nous allons pour tenter d’y remédier, il pointe du doigt, non sans humour, les dysfonctionnements d’une société aux abois, adepte de nouvelles technologies au point de se déshumaniser.
Les fans de la génialissime série Person Of Interest se retrouveront complètement dans ce thriller, tout à la fois actuel, visionnaire et particulièrement addictif.
Alors, AnaCrim, est-il le pendant de La Machine ou de Samaritain ?
Demain est-il déjà là ? Ou est-ce... autre chose ?
Pour le savoir, il va vous falloir lire au plus vite ce petit bijou, constamment trépidant, parfois caricatural, et soupoudré d’un soupçon de fantastique.
À ne pas manquer !